A intervalles réguliers
nous somme forcé à payer pour les conséquences d’erreurs chimiques. L'un de ces
derniers est retardateurs de flamme. De nombreuses substances dans ces produits
ont maintenant été jugées dangereuses pour la santé et la nature, particulièrement
les retardateurs de flamme bromés. C’est pourquoi des chercheurs chez Central
Michigan University maintenant cherchent d’autres substances moins toxiques dans le règne végétal.
Parmi les ingrédients à
base de plantes, on trouve l’acide gallique, présent dans des noix et des
feuilles de thé. Une autre candidate est l’acide benzoïque dans le sarrasin. Suit
à un traitement d’oxychlorure de phosphore, ces substances se convertissent en
organophosphate, un retardateur de flammes.
Cependant, les chercheurs
n’ont pas encore effectué d’essais toxicologiques sur cette substance mais les
substances extraites de matériaux naturels sont généralement moins toxiques.
Les premières expériences
sont néanmoins encourageantes. Les chercheurs mélangeaient son retardateur avec
une résine utilisée dans la fabrication de produits pour électroniques,
voitures et avions. Les morceaux du matériau traité ont pris plus de temps à
s'enflammer que les échantillons non traités et une fois en flammes, le feu n’a
duré que 10 secondes. Les morceaux non traités ont tous brûlé.
Parce que les matières
premières sont peu cher et le processus chimique simple, les chercheurs pensent
qu'e la substance serait assez facile à fabriquer. Cependant, pour y arriver il
faut passer par plus de tests et particulièrement des comparaisons avec retardateurs
de flammes existants.
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