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mardi 31 juillet 2018

Notre bonheur


Un thème courant dans les divers média est que nous ne sont pas contents. Voici un exemple :

« Le pays est prospère, les magasins sont remplies, tout le monde a ce dont il a besoin et même plus. Pourtant, les cyclopes ne sont pas contents ».

Si les cyclopes sont des gens qui vivent dans le nord et l’ouest d’Europe s’est faux et le World Happiness Report 2018 le montre clairement. Les plus contents vivent en Suisse mais les scandinaves et les français sont aussi haut sur la liste. Par contre, les syriens est les togolais ne partagent pas de tout ce sentiment de satisfaction.

Le rapport est focalisé sur le bien-être subjectif, ce que nous aussi appelons le bonheur. Les auteurs du rapport ont eu accès aux des séries d’enquêtés chronologiques qui a rendu possible de à la fois découvrir les changements géographies et le niveau de bonheurs au cours des dix dernières années. Le rapport se base principalement sur des enquêtes menées auprès de 3 000 personnes par pays, provenant de 158 pays.

Selon les chercheurs du rapport il y a un effet important à conclure sur le niveau de confidence. Elle réfléchisse la manière dont une société peut faire  face à une crise majeure. Ces sont les conditions en termes de confiance et de force institutionnelle qui expliquent comment une société réagisse quand confrontée à une crise. Elles expliquent par exemple pourquoi des pays dans le sud d’Europe comme la Grèce, l’Italie et l’Espagne ont perdu beaucoup dans leurs niveaux de bien-être suivant la crise économique de 2007, tandis que l’Islande et l’Irlande, qui aussi ont été durement touchées, n’ont pas perdu beaucoup.

L’Islande est un exemple exceptionnel. Après la Suisse elle est selon le rapport le deuxième pays le plus heureux au monde. Un nombre record de 95% de personnes dans ce pays déclarait avoir quelqu'un sur qui elles peuvent compter en cas de crise. La moyenne mondiale est de 80%.

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Rédactrice et traductrice Italien-Français à votre service

lundi 30 juillet 2018

Pénurie de matières premières pour batteries


La fabrique de Northvolt commencera à produire en 2020 et quand 
complète, en 2023, aura une capacité de 32 GWh
 L’entreprise Northvolt a décidé d’établir une fabrique pour batteries lithium-ion en Skellefteå, Suède. La taille sera du même ordre que la fabrique de Tesla un États-Unis, de 32 GWh par an. C’est gigantesque et pour maintenir une production sur un tel niveau il faut entre autre 35 000 tonne de graphite et 25 tonne de nickel par an. 

Pourtant, des gisements pour beaucoup des matières primaires nécessaires existent en Suède mais aucune n’est actuellement exploitée. Il aura possiblement une ouverture pour le graphite qui a été exploité jusqu’au 2015 mais la mine est depuis fermé à cause de prix trop bas. Le lithium était produit avant la guerre mais cette mine est maintenant dans un état très vétuste.

Il y a des indicateurs important que d’autres matières primaires existent dans les substrats rocheux du pays, tels que le cobalt et la manganèse, mais pour d’ouvrir une mine il faut environ 10 ans.

La pousse pour trouver c’est matière vient de l'accord de Paris et de l'Agenda 2030. Les voitures électriques sont une force motrice puissante pour ce changement nécessaire, mais les constructeurs n'ont pas bien aperçu le problème des matières primaires. Maintenant, ils se réveillent et commencent à réaliser que l’actuelle capacité de production ne correspond pas aux besoins.

Dans un perspective de quelques années il semble donc que la production de voitures électriques sera sérieusement limités, ne pas à cause de manque de gisements de matières primaires, mais parce que il faut du temps pour les exploiter.

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Rédactrice et traductrice Italien-Français à votre service

dimanche 29 juillet 2018

Un nouveau record par un véhicule électrique

Sur Pikes Peak, une montagne haute de 4 300 m en Colorado, États-Unis, il y a chaque années une compétition pour voitures et motos, appelée Pikes Peak International Hill Climb. La piste mesure 19,99 km avec un montée de 1 440 m.

Sébastien Loeb a battu le record en 2003 quand il a franchi la distance en 8 min, 13 sec et 878 msec, (146 km/h), avec une Peugeot 208 T16 spécialement conçue. Il a fallu attendre cette année pour combattre ce record et il a été fait par une Volkswagen ID R, conduit par Romain Duma, qui a parcouru le piste en 7 min, 57 sec et 148 msec, soit 17 sec plus rapide.

VW ID R est une 4X4 avec 680 CV et un couple de 650 Nm. Il est bien connu que des voitures électriques peuvent accélérer plus vite que les voitures à moteurs thermique. Pourtant, il n'est pas le seul avantage dans une compétition comme Pikes Peak. La basse pression d’air au sommet fait que les moteurs thermiques perdent 30% de leurs puissances.


Ces types de record a un certain intérêt mais ce qui compte pour l’avenir sans combustibles fossiles sont de batteries plus énergétiques. La recherche dans le domaine est intense et des progrès sont faits.

Un exemple est l’anode développé par des chercheurs norvégiens, décrit dans ce blog. Elle a le potentiel à rendre les batteries lithium-ion 3 à 5 fois plus énergétiques. Un des chercheurs donne maintenant plus d’information sur le site de l’institut.

Des tests à l'échelle laboratoire ont maintenant montrés que la conception fonctionne et le projet est depuis soutenu par le Conseil de Recherche Norvégien. La recherche à va se faire avec des partenaires industriels internationaux. Le but sera d’examiner comment la fabrication à grand échelle peut être réalisée. Ce projet, qui vise à mettre le nouveau matériau sur le marché et il a été nommé SiliconX.

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Rédactrice et traductrice Italien-Français à votre service