Les dernières décennies la technologie
d’information, TI, a fait son entrée dans tant de domaines. Certains secteurs
l’ont accepté assez vite. Par exemple la commerce qui s’est douté avec des
logiciels qui tracent leurs produits et collectionnent des informations,
parfois assez intimes, sur leurs clients. Le secteur de transport s’est aussi bien
équipé. En quelques mètres près les positions de leurs véhicules sont
maintenant centralement connue. Pourtant, dans le secteur de soins les choses n’ont
pas avancé si vite, qui fait que les améliorations potentielles sont
importantes.
Voici quelques critères d’un bon
système :
Échange d'informations. Les fournisseurs de soins de santé publics et privés, et même des organismes municipaux, doivent être en mesure
d'échanger des informations.
Utilisation de données pour supporter décisions. La prise en charge a besoin d'informations
qui montrent l’efficacité de chaque type de traitement, les
risques et les contre-indications. Pour la planification il faut aussi de la
bonne statistique sur les types et le nombre des interventions prévu dans chaque hôpital car ils varient
selon la localisation et la saison.
Des fonctionnalités intelligentes
dans les systèmes de dossiers de patients. Ils devraient par exemple
automatiquement indiquer s’il parmi des médicaments prescrits existe des
incompatibilités.
Support pour soins de valeur.
C’est le dernier concept à la mode pour les
structures des soins. L’idée est de se concentrer sur
la façon dont les patients reçoivent leurs traitements et comment les remettre en bonne santé, au lieu
de compter le nombre d’heures de soin produit. Le système courant conduit par exemple souvent à des visites
supplémentaires inutiles.
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Le projet est évidemment gigantesque. Pour mieux partager
les coûts il serait préférable de le faire sur le niveau européen.
Malheureusement il ne semble pas être le cas et un des raisons est la diversité
des administrations.
En Scandinavie les citoyens sont par exemple identifiés avec
un nombre personnel, dans d’autre pays avec leurs noms. Il n’est pas impossible
de résoudre ce problème mais il complique énormément. Puis, il y a les noms de
médicaments qui varient selon les pays. Existe-t-il un numéro d’identification pour
des médicaments sur l’échelle européens ?