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mercredi 31 janvier 2018

Volvo lancera un camion électrique en 2019



Camion de livraison électrique de Daimler

Pour l'instant le fabricant de camions Volvo AB, (à ne pas confondre avec Volvo Cars), n’a qu'un véhicule entièrement électrique, le bus 7900 Electric. Il est de 12 m long et roule en circulation régulière depuis cet été. La portée est d'environ 200 km et l’option des batteries les plus énergétiques est de 250 kWh. La recharge se fait par une prise CCS ou un pantographe sur le toit.

Volvo a maintenant annoncé qu'un camion électrique sera sur le marché en 2019 et que certains clients de référence sélectionnés le testeront déjà en 2018. Le besoin identifié par Volvo est pour trafics urbains où les exigences en matière de bruits et d'émissions sont en train de mettre à termes aux gros camions de distribution, surtout la nuit.

L'expérience de la distribution proche est que les parcours de leurs véhicules généralement ne dépassent pas plus que 200 km par jour. En plus, il y a beaucoup d’arrêts et départs qui font que leur mode à rouler est semblables aux autobus urbains. Au point de vu d’installations électriques il y a donc des synergies.

La différence est que le bus suit une distance prédéterminée, ce qui facilite la recharge. Cependant, avec environ 200 km dans les batteries une grande partie des camions pour distribution proche peut rouler tout une journée sans recharge.

Parce que la propulsion électrique encore est relativement tôt dans son développement le prix d'achat est plus élevé que pour un diesel. Mais, donné que l’énergie électrique est moins cher que le diesel le coût supplémentaire est justifiable. De plus, il existe d'autres avantages, par exemple de pouvoir circuler pendant la nuit.

Il existe déjà des camions électriques mais ils sont pour la plus part des diesels converties. Dans ce projet il s’agit d’un camion conçu pour propulsion électrique et produit en grand nombre. Mais, il y aura de la concurrence, par exemple de Daimler et Renault.  

Volvo n'exclut pas de concevoir un camion électrique pour long distances mais pense que l'alternative la plus appropriée au diesel en dehors de la ville est gaz naturelle liquéfié.

mardi 30 janvier 2018

Des stations de recharge moins chères.



Il coûte cher de creuser pour installer des stations de chargement pour voitures électriques sur un stationnement. Cependant, le mode de propulsion électrique se développe graduellement et de installer ces stations sur tous les places au même temps n’est peut-être pas économiquement sage.

L’entreprise Unimi, qui est un installateur de stations de recharges, a maintenant développé un fondement qui permette de les installer graduellement. La conception est tout simple. C'est une pièce en béton de 60 cm haut et de 40 cm en diamètre qui pèse100 kilos. Le but est de fournir un fondement stable pour stations de chargement.

L’idée est de creuser est installer les câbles électriques et ces fondement un fois pour tout. Via un adaptateur il est ensuite seulement nécessaire d’insérer le nombre de stations qu’il faut. En attendant, les autres fondements sont couverts avec des couvercles.

Cette simple solution semble économiquement attractive, car Unimi a déjà vendu 1 500 fondements. Les clients sont principalement des fournisseurs d'énergies en divers pays mais le marché le plus important est la Norvège.

lundi 29 janvier 2018

La génération C64 apprenait à coder plus tôt que la jeunesse d'aujourd'hui



Il est souvent dit que les premières ordinatrices personnelle, telles que Commodore 64 et Amiga 500, ont eu une grande importance pour le développement de l’industrie moderne. Cette perception a maintenant été confirmée par une enquête sur l’échelle mondiale menée par la société Hackerrank. Le rapport montre que les programmeurs qui étaient jeunes dans les années 80 ont été les premiers à apprendre à coder.

Parmi les développeurs qui aujourd'hui ont entre 45 à 54 ans autant que 47% ont commencé avant l’âge de 16 ans. Dans la génération millénium, des gens âges de de 25 à 34 ans aujourd’hui, ils ne sont qu’environ 25% à  avoir débuté avant 16 ans.

L’explication est simple. Dans le début des années 80 les systèmes d’exploitation étaient encore assez primitifs et la vaste gamme d'applications et de jeux sur Internet n’existaient pas. Il n'y avait pas d'autre choix que d'écrire ses propres codes ou les copier d’une revue PC.

Cependant, parmi les informaticiens qui sont actives aujourd’hui il y a 25% qui ont commencé avant 16 ans et 75% avant 21 ans.

On peut maintenant admirer ces premières ordinateurs personnelles dans des musés. Pourtant, ce qui aussi a changé, et qui est moins visible, est la façon à coder. Aujourd’hui on ne tape plus les codes de la première ligne à la dernière. Au lieu le travail consiste à bien structurer et ensuite tricoter des blocs de fonctionnalités déjà existant de la façon qu’ils agissent bien ensemble.