Le cannibalisme a été
documentée chez près de 2000 espèces représentant
presque tous les grands groupes
d'animaux - de insectes à poissons, amphibiens,
oiseaux et grands mammifères. La faim peut conduire la
plupart des carnivores et omnivores de devenir cannibales
- cela signifie que des cas isolés de cannibalisme peuvent se produire chez les espèces qui
normalement ne mangent pas leur propre espèce. Un exemple a récemment été
documenté chez les lémuriens à Madagascar.
Le
microcèbe
de Goodman est
généralement haut placé
sur les listes des plus mignons
des animaux du monde.
Ils
sont minuscule, ont des yeux énormes et vivent
pour la plupart de fruits et insectes.
Un chercheur allemand a récemment assisté à un événement qui contredit
cette image de
gentillesse.
Il a
vu
un mâle en train de
manger le cerveau et les organes internes d'une femelle de son propre espèce. Il
a eu lieu pendant la saison sèche quand il y a peu de nourriture.
La femelle était probablement déjà morte quand le mâle l'a trouvée. De manger leur propre espèce qui déjà sont mort et parfois appelé
cannibalisme passive. Il arrive chez les charognards, ceux qui mangent des
carcasses. Mais, il existe aussi des animaux qui sont cannibales prononcés
–ils chassent des individués de leur
propre espèce, qui peuvent constituer une partie importante de leur alimentation. Évidemment, il faut des circonstances tout à fait particulières
pour que cela soit une stratégie réussi.
D’être cannibale
comprend quelques avantages évidents.
Il augmente la disponibilité de la
nourriture tout en faisant disparaître
de la concurrence. Mais, il y a aussi des inconvénients. D'attaquer des membres de son espèce peuvent être dangereux, surtout s’il s’agit des individus de la même taille.
De plus, il existe une probabilité que ces victimes soient leur progéniture, ce qui éviterait la propagation génétique du chasseur. Pour que le cannibalisme soit une stratégie réussie il faut que les
avantages soient plus importants que les inconvénients.
Chez les poissons, les
coléoptères et les araignées il y a une abondance
d’espèces qui pratique le cannibalisme.
C’est une stratégie réussie façonné
par la sélection naturelle, mais qui ont
évolué pour des raisons différentes.
Des poissons grandissent tout au long
de leur vie et l’augmentation peut être énorme. Un saumon, qui a débuté la vie avec une
taille de 1 gr, peut 10 ans plus tard peser 10 kg. Il ne peut évidemment
pas reconnaitre son progéniture, qui sur le point de vu génétique est un
désavantage. Mais, le saumon compense cet inaptitude avec de la quantité. Une
femelle de 10 kg peut pondre environ 10 000 œufs.
De nombreuses espèces d'insectes ont quatre stades de développement : œuf, larve, nymphe
et adulte. Ce cycle crée les conditions pour multiples types de cannibalisme : les œufs peuvent être attaqués par les larves et les adultes et les larves
peuvent être attaquées par des adultes. Pourtant,
la plupart de ces espèces ne
pratique pas cannibalisme simplement parce que les individus dans les distincts stades de
développement vivent dans des environnements différents.
Parmi les coléoptères
il y existe pourtant beaucoup d'espèces qui passent
toute les cycles de leur vie dans le même
environnement. Pour des
espèces herbivores,
l'environnement peut être
une seule type de plante hôte. La
chrysomèle de
l'asclépiade est une. Elle vit exclusivement sur l’asclépiade de Syrie.
Mais malgré qu’elle
soit considérée
comme principalement
herbivore, elle pratique
plusieurs formes
de cannibalisme.
La femelle met ces œufs sur les
feuilles. Des larves nouvellement écloses se nourrissent principalement sur la plante mais
elles peuvent aussi manger des œufs de sa propre portée. Les œufs sont également consommés par les larves
de portées précédentes. Le plus important qu’est la quantité
d’œufs, le plus ils sont mangés. Ce fait indique qu'il existe
une concurrence de la nourriture qui
pousse le cannibalisme. Les
larves survivant ont donc plus à manger de la
plante mais ces sont les cannibales
qui remporte la plus grande avantage,
parce qu'ils remportent une nutrition supplémentaires.
Il arrive que les
femelles adultes mangent les œufs
d'autres femelles. Ce fait réduise le risque de leurs propres
œufs soient mangé par des larves
d’autre femelle. Il a été observé que plus de 50% des attaques sur les œufs
sont fait par chrysomèle de l'asclépiade eux-mêmes. Il semble donc que cet
insecte aussi est son pire ennemi.
Chez des nombreux invertébrés
les femelles sont plus grandes que les
mâles. Cette différence de taille peut conduire au cannibalisme sexuel. Pour le cas des araignées, cela se produit à
l'accouplement.
Pour les araignées
qui font des filets, la disponibilité de
nourriture est incertaine. Elles doivent se contenter d'attendre jusqu’au un insecte est coincé. Quand
un mâle fait un contact des modèles mathématiques montrent que le résultat de la visite dépend
de la disponibilité des proies et
le nombre de possibilités d'accouplement.
Pour une femelles qui capture peu de proie mais reçoive
beaucoup de visites de mâles il est avantageux de les manger. Tandis que dans
la situation contraire elles doivent faire attention de ne pas compromettre sa fécondité.
Chez l’agelenopsis près de 40% des premières visites des mâles sont consommés avant l’accouplement. Puis, la femelle ce calme et elle ne mange
plus que de 5% des prochaines visites.
Les mâles qui
ne sont pas consommés
peuvent s’accoupler avec le bonus que la nutrition du premier mâle
augmente les chances de survie des œufs. De plus, il n’a pas besoin de ce inquiéter d’être mangé, car il
peut emmètre un
sécrètent qui temporairement paralyse
la femelle.
Les araignées sont des
chasseurs et cet instinct des femelles est stimulé par
un certain intervalle de tailles.
Cela signifie que la sélection naturelle
peut favoriser des tout petits
mâles qui en plus ont l’avantage d’arriver à l’âge adulte plus rapidement.
Il existe aussi des espèces d'araignées sans
différence de taille. Dans ces cas la relation peut être
le contraire, les mâles qui mangent les femelles.
D'un point de vue
purement évolutionnaire, l’accouplement
est une manière de propager les gènes aux générations futures. La sélection naturelle devrait favoriser les mécanismes
qui augmentent les chances pour la
progéniture de survivre. Pourtant, chez les araignées
ont un comportement qui semble être
en conflit direct avec ce but, cannibalisme
entre les nouveaux nées.
La famine est
considérée comme la principale cause de cannibalisme chez les araignées. Les modèles théoriques montrent que le cannibalisme entre frères et sœurs
peut être une stratégie bénéfique
en période de pénurie alimentaire.
Quelques survivants cannibales est un
meilleur résultat tous meurt.
Il semble donc que le cannibalisme est un
instinct qui se réveille quand il y a peu à manger et quand les différences de
tailles dans la même espèce sont considérables.
Pour l’empêcher la nature a développé un
autre mécanisme, la protection de ces propres progénitures. Beaucoup de
poissons protègent leur
progéniture contre toutes les formes d'attaque et ce phénomène existe aussi chez certains coléoptères. Le
facteur de protection contre cannibalisme le plus important que la nature a
développé est néanmoins de laisser les différents
groupes d'âge vivre dans des différents environnements.