Dans les pays où les
disparités de revenus sont importantes, la richesse et la pauvreté sont à une
plus grande mesure héritée d’une génération à l’autre. La corrélation est
appelée courbe de Gatsby. Le fait est rependu et il n’existe pas seulement sur
le niveau national mais aussi sur le niveau régional, ce qui maintenant a été documenté en Suède.
Depuis les années 1980 et
dans de grandes parties du monde, les disparités de revenus sont en train d’augmenter.
Des études ont montré qu'il aussi existe un lien entre des grands écarts
économiques et une faible mobilité sociale.
La corrélation est nommée Gatsby d'après le roman de 1925 de Scott Fitzgerald. Ainsi,
dans les pays ou les régions où les écarts de revenus sont importants, la
richesse et la pauvreté sont héritées d’une génération à l’autre La France n’en
échappe pas car dans ce pays il faut selon l’OCDE 6 génération pour avancer de revenus basses à revenus moyennes.
En comparant 125 régions
du marché du travail les économistes ont maintenant aussi trouvé ce lien au
niveau local en Suède. L'analyse est basée sur deux groupes d'hommes, nés en
1961 et 1980 et leurs pères nés en 1920 est 1960. Les fils dans des régions où
la répartition des revenus était plus importante avaient des revenus plus
similaires à ceux de leurs pères. Cependant, dans les régions où les
différences de revenus étaient moins étendues, les cas de l’ascenseur social étaient
plus courants.
La difficulté de l’étude
est qu’elle est descriptive. Cela signifie que la corrélation avec des revenus des
pères n’est pas le seul paramètre. La structure de la pyramide d’âge et la
répartition professionnelle régionale pourrait aussi être important.
Pour trouver les
mécanismes derrière ces lacunes, l’auteur a aussi analysé la durée de
l’éducation des fils et leurs résultats dans les tests pour l’inscription au
service milliaire. Le résultat de cette analyse et que les revenus des pères a
un impact très important sur les résultats de ces tests et la durée de
l'éducation dans les régions où les différences de revenus sont importantes.
La recette proposée pour
contrarier cette tendance déprimant est une école t plus égalitaire offrant l’égalité
des chances pour tout le monde.
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