Nous utilisons déjà du biocarburant. Dans le SP95 il y a 5–10%
d’éthanol. Pourtant, parce que issue de plantes cultivé sur des champs qui
pourrait produire de la nourriture ce pratique est controversé. Peut-être
y-t-il une autre manière à produire du bio-carburant ? C’est que propose
des chercheurs
de Cornell University.
L’idée est d’utiliser des micro-algues de la mer qui sont au
fond de la chaine alimentaire. Elles sont riches en lipides et ce gras peut servir
comme un bas pour produire du biocarburant. De plus, la biomasse dégraissée est
riche en protéines et pourrait nourrir des animaux tels que poulets, porcs,
saumons ou crevettes.
Pour produire une quantité d'algues correspondant à la totalité de la demande mondiale de combustibles, il faut un surface d’environ 2 100 mille kilomètres carré, ou 3,3 fois la superficie de la France. Le produit secondaire serait 2,4 milliards de tonnes de protéines, ce qui est environ 10 fois la production mondial annuelle de soja.
Pour produire une quantité d'algues correspondant à la totalité de la demande mondiale de combustibles, il faut un surface d’environ 2 100 mille kilomètres carré, ou 3,3 fois la superficie de la France. Le produit secondaire serait 2,4 milliards de tonnes de protéines, ce qui est environ 10 fois la production mondial annuelle de soja.
Cependant, l’avantage des micro-algues marines est qu’elles
ne sont pas en concurrence avec l'agriculture terrestre, ni ont elles besoin de
l’eau douce. Beaucoup, régions subtropicales arides, par exemple en Mexique, Afrique
du Nord, Moyen-Orient et Australie, sont des endroits appropriés pour une
production à grande échelle.
Une installation pour la production de micro-algues avec une
surface d'environ 2 500 ares coûterait environ 400 et 500 millions $. Selon les
calculs des auteurs elle serait rentable.
Il est évidente que des carburants extrais d’algues ne
peuvent pas concurrencer avec des sources de pétroles qui produise à un prix
autour de 20 $/baril. Mais, l’étude est intéressante et montre qu’avec de la
bonne technologie notre avenir n’est pas si menaçante que certains débatteurs
essayent à nous faire croire.