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mercredi 30 novembre 2016

Du carburant vert à partir de micro algues



Nous utilisons déjà du biocarburant. Dans le SP95 il y a 5–10% d’éthanol. Pourtant, parce que issue de plantes cultivé sur des champs qui pourrait produire de la nourriture ce pratique est controversé. Peut-être y-t-il une autre manière à produire du bio-carburant ? C’est que propose des chercheurs de Cornell University.

L’idée est d’utiliser des micro-algues de la mer qui sont au fond de la chaine alimentaire. Elles sont riches en lipides et ce gras peut servir comme un bas pour produire du biocarburant. De plus, la biomasse dégraissée est riche en protéines et pourrait nourrir des animaux tels que poulets, porcs, saumons ou crevettes.

Pour produire une quantité d'algues correspondant à la totalité de la demande mondiale de combustibles, il faut un surface d’environ 2 100 mille kilomètres carré, ou 3,3 fois la superficie de la France. Le produit secondaire serait 2,4 milliards de tonnes de protéines, ce qui est environ 10 fois la production mondial annuelle de soja.

Cependant, l’avantage des micro-algues marines est qu’elles ne sont pas en concurrence avec l'agriculture terrestre, ni ont elles besoin de l’eau douce. Beaucoup, régions subtropicales arides, par exemple en Mexique, Afrique du Nord, Moyen-Orient et Australie, sont des endroits appropriés pour une production à grande échelle.

Une installation pour la production de micro-algues avec une surface d'environ 2 500 ares coûterait environ 400 et 500 millions $. Selon les calculs des auteurs elle serait rentable.

Il est évidente que des carburants extrais d’algues ne peuvent pas concurrencer avec des sources de pétroles qui produise à un prix autour de 20 $/baril. Mais, l’étude est intéressante et montre qu’avec de la bonne technologie notre avenir n’est pas si menaçante que certains débatteurs essayent à nous faire croire.

mardi 29 novembre 2016

Des mots émotionnels ne fonctionnent pas dans les tribunaux



Des mots émotionnels ne fonctionnent pas du tout dans la Cour suprême des États-Unis. Les avocats qui s'expriment d’une manière appropriée et sans exagération ont des meilleures chances à gagner leur cas. C’est que montre une étude publiée dans la revue Journal of Law and Courts.

Le style émotionnel de Donald Trump dans l’élection présidentielle a apparemment été apprécié par les électeurs. Mais, la même façon de s’exprimé aurait mal fonctionné à la Cour suprême. Dans cet environnement c’est l'objectivité qui triomphe.

4 politologues américains ont maintenant étudié la langue dans 1677 cas traité par la Cour suprême entre 1984 et 2007. Ils ont pris aide d'un logiciel capable d’identifié des mots émotionnellement chargé tels que outrageous,  (scandaleux), apprehensive (inquiétant), wonderful, (merveilleuse) et glorious, (glorieuse).

Les avocats qui remplissaient leurs discours avec ce type de mots gagnaient rarement leur cas. Ceux qui s’exprimaient d’une façon plus neutres et s’abstenaient d'excès avaient beaucoup plus de chances à réussir. Selon les chercheurs la raison est que les juges seulement considèrent des arguments logiques.

lundi 28 novembre 2016

Le fil à broder qui est coloré maille par maille



Quand j’étais tout petit ma mère brodait encore mon liche avec mes initiales, ÅM. Même si seulement composé de 2 lettres, il lui a fallu des heures pour l’accomplir. Puis, dans le choix incompatible entre temps, esthétique et fonctionnalité, elle a opté pour une méthode plus rapide, encre de Chine. Je le lui ne reproche pas. De broder à la main est un travail lent mais pour le plaisir il existe sans doute encore quelques personnes qui le font.

Depuis quelques décennies il y a maintenant des machines à broder programmables. La taille varie, pour les ménages elles sont assez petites et elles n’ont qu’une aiguille. Dans l’industrie elles sont des gros appareils qui peuvent avoir jusqu’au 56 aiguilles.

Les machines les plus avancés peuvent maintenant aussi broder avec plusieurs couleurs. La complication est qu’elles aussi ont une bobine de fil pour chaque couleur, qui peuvent être tant que 16. Donné que ces bobines doivent être remplacés manuellement et qu’il faut un important stock de fils de différents couleurs, elles sont compliqués à maitriser. Le changement de bobines entre les commandes est un processus manuel et fastidieux qui prend beaucoup de temps. Un problème additionnel et que si seulement une aiguille encontre une difficulté, toutes les autre s’arrêtent. .

L’entreprise Coloreel a l’ambition d’éliminer ces problèmes. Leur innovation est un fil blanc qui pendant le processus de broder est coloré avec encre stocké en cartouches. L’idée fondamentale est la même que pour des imprimantes.

Mais le chemin d’y arriver a été long. De colorer un fil qui passe n’est pas facile. Il y a eu tant de problèmes à résoudre par exemple comment éliminer des gouttes secondaires. Pour réussir il a aussi fallu développer un fil blanc composé de 2 faisceaux torsadés de 80 mono-filaments de polyester. La couleur doit non pas seulement entrer dans le fil mais aussi entièrement colorer chaque filament.

Le plan de Coloreel est, comme pour les fabricants d’imprimantes, de ne pas seulement vendre les machines mais aussi les couleurs et le fil.

Dans l’avenir l’entreprise a l’ambition d’aussi s’intéresser aux métiers à tisser, dont le problème de couleurs est un peu les mêmes.