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mercredi 31 décembre 2014

Aniara



Comme une option à décrire le bonheur avec les plaisirs de la table on peut utiliser la nature. Dans ce cas par une région en l’est de Finlande même si les circonstances sous-jacentes sont un peu spéciales.

Le plus belle parmi les belles échappées est vu dans la lueur de Carélie,
comme le reflet d’eau entre les arbres, comme l'eau d'été allégé,
dans le temps Juin-lumière quand la soirée à peine a le temps à faire sombre
avant le coucou en bois flûte clairement crie à Aino le douce
.

Une guerre fait rage sur la Terre et les gens fuient vers Mars. Un des vaisseaux spatiaux, Aniara, porte 8000 émigrants. Le navire rencontre un astéroïde et doit faire une manœuvre d'évitement. Ce qu'il met sur une trajectoire hyperbolique dans le système solaire vers la constellation de la lyre, sans espoir de retour. L’histoire décrit les tentatives des émigrants à faire face à leur sort. L'hédonisme, la religion, la science et cetera sont entrecoupés avec des réminiscences de la guerre et des moments antécédentes heureux, d’où le poème.

Un rôle central est joué par l'ordinateur du navire, le Mima, qui ne est pas seulement intellectuellement supérieur à n’importe quel humain, elle abrite aussi des émotions profondes et meurt de chagrin quand il voit la destruction de la Terre. Après 20 ans, le vaisseau a seulement parcouru 16 heures-lumière et il se trouve à la périphérie du système solaire. Le dernier passager meurt après 25 ans et le destin du vaisseau est de voyager encore 15 000 années avant d'atteindre le voisinage d'une autre étoile.

L’auteur compare le vaisseau avec « une bulle dans le verre de l'esprit de Dieu », en se référant aux les lents mouvements de bulles dans le verre.

L’histoire est écrite par Harry Martinson, prix Nobel de littérature 1974, « pour des écrits qui capture des gouttes rosées et reflètent le cosmos ».

Le compositeur Karl-Birger Blomdahl a été très touché par l’histoire et il en a fait un opérera. La musique ne me semble pas fait pour être agréable mais ni est le destine des passagers sur le vaisseau spatiale d’Aniara.  
 

mardi 30 décembre 2014

Une forme rare de gel



Mon diplôme inclut une thèse sur la croissance de gel sur des surfaces froides. Il y a plus de 20 ans mais à mon grand plaisir mon nom apparaisse de temps en temps dans ce contexte.


Le gel est une matière poreuses et les densités que je mesurais enjambaient un peu près de 80 - 500 kg/m3 à comparer avec de la pur glace de 917 kg/m3. Une progression rapide, c’est-à-dire haute humidité dans l’air, et une basse vélocité, favorisent la croissance de faibles densités.


Une autre caractéristique et que les cristaux peuvent attendre tant de différentes formes même si le synchronisme de 6 peut être discerné dans toutes les formes.

L’image tout en haut montre une forme de gel rare. Il ressemble de la barbe à papa ou peut-être celle du père noël. Cette forme de gel est en Scandinavie connu sur plusieurs noms : Laine de glace, Coton de glace et Barbe de gnome.

Le phénomène mythique se produit lorsque des branches morts et imbibées de l'eau gèlent. Ce processus commence évidement sur la surface et parce que la glace dilate le volume, l’eau à l’intérieure, qui n’a pas encore été gelé, subit une pression. Via des fissures elle est poussée vers la surface où elle gèle et forme ces cristaux remarquables.

Parce que toutes ces conditions doivent être réunis, le phénomène est rare. 

lundi 29 décembre 2014

Le monstre marin



Pourrait-il même flotter ? Un an après l’éclatement de la guerre civil entre les États du Nord et Sud d’Amérique la domination du côté Nord sur la route maritime vers l'Europe était menacée. C’est dans cette situation que le Nord a eu un grand espoir sur la capacité d’un bateau de guerre fortement remis en question - construit par un suédois, John Ericsson.

L’USS Monitor avait été construit à la hâte en seulement 100 jours et ce bateau ne ressemblait rien d’autre. Le concepteur, né en 1803 à Värmland, Suède, était considéré comme un excentrique.

La conception était parfois appelé audacieuse, parfois stupide. Le bateau à vapeur flottait si bas dans l'eau que seulement la tourelle de canon rotant, un cylindre de 6 mètres, pénétrait la surface. Si conçu il avait deux avantage, un mince profile de coup et le machines et l'équipage bien protégé sous l’eau.


Cependant, cette improbable forfaitaire d’acier a réussi à mettre fin à l'horreur Merrimac, le navire monstre de la confédération Sud. Après un duel de 4 heures, en 9 Mars 1862, dans le golfe Hampton Roads, au large de la Virginie, la victoire a transposé John Ericsson à un héros national d’un jour à l’autre.

La guerre civile avait éclaté en 1861. Les lignes de front sur le sol étaient coincées et aucune des deux parties ne pouvait avancer. Mais, la marine du côté Nord avait réussi à mettre les ports du côté Sud en blocage.

Ce blocus avait effectivement coupé les exportations vitales de coton vers l'Europe, ainsi que les possibilités d’importer armes et munitions. Le chemin vers un épuisement du côté Sud semblait évidant.

Mais la connaissance d’un nouveau navire construit par la confédération Sud a changé la donne. Le Merrimac, (plus tard rebaptisé CSS Virginia), construit en acier et avec des canons forts, avait la capacité de pulvériser la flotte du côté nord uniquement composé de navires en bois. Cette menace risquait de transformer la guerre en faveur des rebelles.

De la panique a éclaté dans la direction de guerre à Washington. Pour se doté avec un navire qui pourrait rivaliser le Merrimac, elle a annoncé un concours. Le Monitor de John Ericsson était l'un des trois gagnants.

John Ericsson avait conçu ce navire depuis plusieurs années. Déjà au milieu des années 1850, il avait construit un modèle du bateau avec le but de le vendre à Napoléon III, qui, cependant, n’était pas intéressé.

Le si rapidement construit et non testé Monitor avait un tel bas centre de gravité qu'il presque coulait quand il est sorti du chantier naval de New York. Le but était de autant rapidement que possible soulager la flotte, en attaqué du monstre Merrimac.

Une fois en place sur le camp de bataille à Hampton Roads, l’équipage de Monitor était épuisé. Ils avaient franchi une mer très agitée et pour maintenir le navire à flot ils ont dû travailler en continu pendant le deux jours long voyage.

A l'aube le lendemain matin le Monitor a pris chemin directement vers le haut et le beaucoup plus grand navire de l’ennemie, le Merrimac. Les deux bateaux ont sans cesse changé des tirs de canons sans être en mesure de faire beaucoup de dégâts. Les balles ont juste rebondi sur les plaques de blindage épais.

Le petit et facile à manœuvrer Monitor a efficacement pu éviter l’éperon, l’arme fatale du plus maladroite Merrimac, une sorte de baïonnette géant avec la capacité d’écraser l’adversaire.

Finalement le Merrimac s’est retiré. La bataille a été déclarée sans vainqueur. Mais, la terreur de Merrimac avait été neutralisée et le blocus des ports pouvait continuer.


La bataille navale de Hampton Roads a été la première fois que deux bateaux à vapeur se sont confrontés et elle a marqué le début d'une nouvelle ère dans l'art de la construction navale militaire. Il n’a pas duré longtemps avants que la flotte britannique, le plus puissant du monde, complètement a abandonné des bateaux en bois.  

L'auréole de héro de John Ericsson s’est mise à guingois deux ans plus tard. Dans cette occasion une armada de neuf cuirassés, la majorité de type Monitor, a échoué une tentative de reprendre l’importance lieu stratégique de Fort Sumter dans le port de Charleston, Caroline du Sud. La flotte a été forcée de se retirer avec des blessures brutales, même si le fort avait été bombardé en morceaux.