De nombreux écrivains et amateurs de poésie ont au fil des temps
fait valoir que la poésie peut être appréciée sans être compris. C’est-à-dire
que le rythme et les sons par eux-mêmes sont attirants. C’est une perception
que des scientifiques gallois maintenant pensent
avoir prouvé.
Pour étudier la sensibilité de la poésie, les participants
ont écouté des phrases en gallois dont les règles du cynghanedd étaient soit suivi ou négligé. Le cynghanedd est un
mètre de la poésie traditionnelle galloise qui a des racines médiévales. Il est
habituellement décrit comme l'un des mètres de versets le plus complexe basé
sur des règles inextricables pour les rimes et les allitérations.
Les participants étaient libres à classer des phrases comme bonnes ou mauvaises. Il s’est avéré que les réalisations qui suivaient les règles de cynghanedd constamment recevaient des notions positives tandis que celles qui les violaient étaient moins estimées.
Les participants étaient libres à classer des phrases comme bonnes ou mauvaises. Il s’est avéré que les réalisations qui suivaient les règles de cynghanedd constamment recevaient des notions positives tandis que celles qui les violaient étaient moins estimées.
Les chercheurs étudiaient aussi les activités cérébrales des participants. Quand ils entendaient des phrases construites selon les bonnes règles de cynghanedd, leurs cerveaux réagissaient avec des signales électro-physiologiques qui ne se produisait pas en cas de non conformités. Même lorsque les participants entendaient des phrases qu’ils n’avaient pas tellement aimées, mais qui suivaient les règles de cynghanedd, il y avait une réponse cervicale.
Il existe donc dans les mètres de la poésie quelque chose qui provoque des activités cervicales, même si nous n’en sommes pas conscients.
Il existe donc dans les mètres de la poésie quelque chose qui provoque des activités cervicales, même si nous n’en sommes pas conscients.
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