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lundi 20 mars 2017

De se gratter est parfois contagieuse



De la recherche n’a pas encore clarifié pourquoi on se gratte la tête quand confronté à un problème. Par contre, il existe une autre forme de grattement, « le sociale », que maintenant a été élucidé.

Comme très suivant c’est une expérience fait avec des souris qui a mis des chercheurs de Washington University sur la bonne piste. Leur technique était assez simple.

L'équipe mettait une souris dans un enclos avec un écran d'un ordinateur qui montrait une vidéo d’une autre souris qui se grattait. En quelques secondes, la souris dans l'enclos a commencé à se gratter. C'était un peu surprenant car les souris sont connues pour leur mauvaise vision. Ils utilisent plutôt l'odorat et des touchers pour explorer une zone inconnue. Les souris ont non seulement vu la vidéo mais aussi l’image de la souris qui se grattait.

Ensuite, les chercheurs ont identifié une structure appelée le noyau supra chiasmatique, (NSC), une région du cerveau qui contrôle l’endormissement et le réveillement. Le NSC est devenu très actif lorsque la souris a regardé la vidéo.

Quand la souris a vu l'autre se gratter, le NSC a libéré une substance chimique appelée la bombésine. Elle est un émetteur clé pour les signaux de grattement sur la peau découvert en 2007.

L’équipe a aussi utilisé diverses méthodes pour bloquer l’impact de la bomdésine. Dans ces tests les souris ne se grattaient pas lorsqu’ils ont vu une autre le faire mais elles maintenaient la faculté de le faire normalement lorsque exposés à des substances qui induisait des démangeaisons.

Donc, le souris ne voit pas une l’autre souris se gratter et pense qu’il serait une bonne idée. La réaction est automatique et au dehors de contrôle conscient.

La prochaine fois que vous vous grattez ou bâillez en réponse à quelqu'un d'autre, vous n’a vraiment pas le choix. Ces rections sont simplement câblées dans le cerveau.

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