Ne blâmez la testostérone pour la violence

De la testostérone en forme cristallisée.

De toutes les hormones impliquées dans la régulation des processus métaboliques comme la croissance, la régulation de la pression artérielle et cetera, la testostérone a une place tellement particulière et mythique. Les perceptions sur les fonctions de cette hormone sont largement façonnées par les médias où elle suivant est associé avec de la masculinité, libido et gros muscles.

Que l’agressivité soit lié avec la testostérone est une fausse idée. Au contraire. Des hommes qui ont un déficit de testostérone montrent plus d'agressivité. D’autres expériences avec des doses allant de la normale à très élevé, ont trouvé nulle tendance à agressivité. En ce qui concerne le désir sexuel, la performance et l'activité a un seuil de puissance maximale qui est à la limite inférieure de la normale. Des niveaux plus élevés n’offrent pas d'effet supplémentaire.

Pendant l'enfance jusqu'à la puberté le niveau de testostérone chez des garçons est faible et au même niveau que chez les filles. Il y a une exception qui arrive juste après la naissance quand les garçons ont une forte mais bref augmentation de la testostérone, jusqu’au faibles niveau des adultes. Cette période dure environ un mois, après quoi le taux baisse à des niveaux indétectables.

Pendant la période fœtale se produit chez les garçons une activation précoce de la production de testostérone testiculaire. Elle arrive à partir de la semaine 6-7 et elle est essentielle pour le développement sexuel des garçons. Ce développement continue jusqu’au la 13éme semaine. Pendant le reste de la période fœtale les testicules  produisent de la testostérone en petite quantités, mais suffisante pour influencer le développement du cerveau.

Durant la vie comme adultes les hommes ont toujours des niveaux plus élevés de testostérone que les femmes. En revanche, les hommes ont des niveaux d'œstrogène plus élevés que les femmes qui ont passé la ménopause.