Même si les réserves d’énergies fossiles
sont importantes, il est clair que nous ne pouvons plus continuer de les brûler
dans le même taux qu’actuellement. La terre simplement ne le supporterait pas.
Il faut donc trouver un moyenne de propulser
nos engins roulants autrement. Plusieurs systèmes sont en compétition et il
aura un gagnant mais le quelle - personne ne le sait. Même si les progrès technologiques
du domaine premièrement intéressent les ingénieures on pourrait penser que les
médias s’intéresseraient pour la dramaturgie de la chose mais il n’est
malheureusement pas le cas en France.
Test d’alimentation électrique par sol en
hiver.
Il n’a pas longtemps que l’option d’électrifier
les routes est apparu dans des discussions sérieuses. Une méthode proposée est alimentation par
sol. L’avantage est qu’elle permet d’alimenter toutes
sortes de véhicules. Cependant pour éviter des court-circuits et accidents le
courant doit être automatiquement coupé par tout sauf en dessous les véhicules,
ce qui rend les installations complexes.
Une autre option son deux caténaires. Le
principe est depuis longtemps employé par des trolleybus qui actuellement sont environ
44 000 dans le monde. Cependant, la version moderne doit être conçue pour des
vitesses jusqu’au 100 km/h au lieu des 50 – 60 km/h pour les trolleybus. Un
désavantage est que les voitures ne peuvent pas se connecter parce que ces câbles
sont à 5 métrés au-dessus la chaussé. Mais, donné les progrès rapides de la
technologie des batteries, certains estiment que cela ne soit pas nécessaire.
Siemens a déjà
évalué la technologie dans une installation d'essai en Allemagne. Des tests sur des réseaux routiers réels sont planifiés
en Californie et en Suède mais la réalisation de la première a été retardée.
Il est donc sur 2 km de route, près de la ville Sandviken,
que ces tests bientôt auront lieu. La construction est en cour et selon le plan
les premiers camions électrifiés pourront commencer à rouler dans le mois de
mai.
Cependant, le système coûte environ 2 millions euro/km, à
comparer avec le prix d’une autoroute de 3 million euro/km. Il faut donc se
contenter d’électrifier les axes les plus fréquentés. Les carminions qui
éventuellement profiteront du système doit par conséquence être hybrides.
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