La voiture autonome, ne pas si facile à réaliser

Le jour de 25 heures, c’est la vision pour les voitures autonomes qui sont en développement chez Volvo. Déjà l'année prochaine ce constructeur d’automobiles aura 100 voitures sur des routes sélectionnées autour de leur siège principal, la ville de Göteborg.

Leur projet est appelé « Drive Me ». Le groupe d’automobilistes ciblé est les navetteurs de banlieues qui n’auront plus besoin de conduire leurs voitures et pendant le voyage pourront consacrer leur temps à d’autres activités. C’est pendant ce parcours qu’ils gagneront l’heure de plus. L’intérêt des clients est déjà visible dans la statistique d’accidents, parce qu’en envoyant des messages de textes et en manipulant leurs smartphones, beaucoup de conducteurs grignotent clairement sur ce temps.

Avec une voiture qui a la responsabilité pour le parcours, les distractions d’aujourd’hui seront les activités principales d’avenir. Ce luxe coûtera initialement entre 8 000 et 10 000 d’euros mais dès que ces voitures seront plus vendues, le prix abaissera.

Une grande partie du coût est les prix pour des matériaux tels que les capteurs nécessaires pour l’orientation. Ils ressemblent ceux qui déjà sont utilisés dans des voitures de Volvo qui actuellement aident les conducteurs à identifier des obstacles, par exemple en stationnant. Cependant, pour les voitures autonomes, tout doit être conçu avec de la redondance pour répondre aux exigences de sécurité.

Il s’agit de caméras et radars qui tout le temps impérativement doivent être en mesure de surveiller l’environnement et faire des choix sécuritaires pendant le parcours. De plus, il faut développer des logiciels super-sûrs.

Le système doit être robuste, car la marque de Volvo est basée sur la conception de la sécurité en première ligne. La sécurité est donc le facture limitants. Au début, les voitures ne pourront que conduire sur des routes choisies, sans piétons et avec une barrière qui sépare les files de sens inverses.

Cependant, il y a d’autres limitations. Avant qu’une voiture passe en mode auto-conduite, elle devra obtenir l'approbation du service du nuage informatique de Volvo. Il héberge des données sur les conditions météorologiques et informations venant d'autres voitures Volvo dans la région. S’il existe un risque de tempêtes de neige, l’option autonome ne sera pas permise, ou s’il y a un accident ou d’autres obstacles, par exemple des travaux sur le parcours.

En 2020, il est prévu que la première Volvo autonome sera mise sur le marché.