Le ferryboat qui traverse le vieux port à Marseille a été la
mise en service le 3 juin 1880 par Mouche IV. Quand je suis venu en 2000
c’était le César, (1953 – 2008). Puis, la ville a compris qu’il fallait être
moderne et elle a fait construire un bateau électrique qui curieusement ne
semble pas avoir un nom.
Comme toutes technologies nouvelles ce bateau a eu des
problèmes d’enfance. Un a été des vibrations atour les moteurs mais il a pu été
réglé avec des fortifications. Cependant, le problème de dérives en fort vents est
plus fondamental et quand le mistral souffle le ferryboat doit rester au quai.
En Stockholm ils sont moins modère, car tous les ferrys qui
parcourent des distances de quelques centaine de mètres fonctionnent encore sur
gazole. Pourtant, il y a des ambitions car le gouvernement a décidé d’investir
des sommes considérables pour améliorer l’environnement dans les villes. Il
s’agit de passer aux trams, bus électriques et construire des milliers de
stations de recharge pour voitures électriques.
La plupart de la propulsion de voitures, bus et navires se
fait aujourd'hui avec des moteurs à combustion, qui émettent du dioxyde de
carbone (CO2), oxydes d'azote (NOx) et de fines particules (FP). Le débat sur
ce que nous pouvons faire au sujet de ces émissions est suivant une source de
confusions. Il existe des buts pour l'efficacité énergétique et pour plus
utiliser des carburants durables de sources non fossiles. Mais, il semble
difficile à distinguer entre les conséquences pour le climat et pour l'environnement
proche.
Simplement expliqué, la discussion climatique est sur le CO2
et de son impact sur le climat, et le débat de l'environnement sur la pollution
de l'air par les NOx et les FP. Le sujet climatique est donc un problème mondial
tandis que le sujet environnemental est très local.
Selon l’Agence
européenne pour l'environnement 500 000 européens meurent prématurément
en raison des émissions de NOx et de FP. Ce chiffre donné, il a été estimé que
les dégâts fait par les émissions de NOx dans la ville de Stockholm coûtent environ
4 euro/ kg et les émissions FP 1 260 euros/ kg !
Les activités marines générer donc des grandes émissions
locales. Surtout parce que il le plus suivant est fait par des moteurs diesel
âges. Ils sont permis parce que les nomes d’émissions pour bateaux sont moins
sévères que pour véhicules. La ligne bateau-navette le plus utilisé en
Stockholm consomme environ 125 000 litres de diesel/an correspondant à 5 000 kg
de NOx et 75 kg de FP par an. De électrifier une telle ligne économiserait donc
des dégâts sanitaires d’environ 114 500 euro/an. C’est un coût social équivalent
à environ 0,9 euro/litre de diesel à comparer avec le prix d'exploitant qui
actuellement est à 0,35 – 0,4 euro/litre.
Le ferryboat à Marseille a couté autour de 600 000 euro
à construire. Si un bateau électrique en Stockholm aurait le même prix, et
seulement considérant l’économie dans le secteur de la santé, le temps de
remboursement pour l’investissement serait autour de 5 ans.
Économique ou non, tout dépend de la calcule.
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