Tout le monde en Suède n’aime pas des élans et surtout les
propriétaires de forêts. Car, après une exploitation,
qui maintenant se fait avec des machines sur des vaste surfaces, il faut
replanter et en hiver ces jeune plantes sont une nourriture préféré par des
élans.
Beaucoup de propriétaires de maisons avec jardins n’aiment
pas les élans non plus. En automne il y a des élans qui entre dans les jardins
pour manger des pommes tombées, qui après une nuit avec givres ont commencé à
fermenté. Le contenu d’alcool est certes faible mais les élans ne se contentent
pas avec une seule pomme. Ils se soulent et à part des dégâts fait dans le
jardin ils peuvent devenir agressifs.
Par contre, une catégorie qui aime les élans est des
chasseurs. Ils veulent que les élans soient tant nombreux que possible.
Autour de 100 000 élans sont abattues chaque année.
Le conflit d’intérêts est évidente et les arguments pour
ou contre ne manquent pas. Un des derniers vient d’un professeur d’une
université agricole qui réclame que les élans sont plus mauvais pour le climat
que l’aviation domestique.
« J’ai a calculé que les élans dans les forêts suédois mange tant d’arbres qui pourraient absorber 2 fois plus de CO2 que l'aviation domestique émet. De manger la viande d’élans est directement défavorable pour le climat, à moins que leurs nombre ne soit réduit à le moitié »
Un porte-parole pour les chasseurs a fait valoir que l’industrie
foresterie elle-même dégrade beaucoup plus que les élans. « Les scies de
débroussaillage sont pires pour le climat que les élans », dit-il.
Les défendeurs de loups n’ont pas encore exprimé leur
avis mais cela ne va pas tarder.
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