Les chauffeurs de taxis en France protestent car ils sont
menacés par le service Uber qui pour les consommateurs est plus facile et moins
chère. Le problème en France ne semble pas être le service fournit mais que les
conducteurs d’Uber n’on pas besoin d’autorisations, qui sont un forme de
contrôle, et que Uber favorise le travail noir.
Uber est un exemple d’une technologie perturbant
conçu autour une nouvelle moyenne informatique, le Big Data.
Parfois il est considéré comme la 4éme révolution industrielle suivant le
vapeur, l’électricité et l’informatique.
D’avoir accès au tant des donnés permet Uber
de mieux corréler leur service avec les besoins d’individués qui varient avec l’heure,
le temps, programme de TV et beaucoup d’autre paramètres. Il permet aussi
d’organiser de voyages partagés. Pour les consommateurs il n’a que des gains.
« Là où la marche conquérante de la
machine progresse lentement, elle afflige de la misère chronique les rangs
ouvriers forcés de lui faire concurrence; là où elle est rapide, la misère
devient aigüe et fait des ravages terribles. », Karl Marx.
Dans la confrontation entre Big Data et
hommes, l’ancienne méthode de sabotage, c’est-à-dire mettre un sabot dans la
machinerie, n’est plus applicable, ni efficace. Il faut des responsables bien
informé sur l’avenir, que je doute soit le cas en France, qui savent
transformer la société pour que les progrès technologiques nous donnerons des
meilleurs vies.
Entre autre je me demande pourquoi le
travail soit taxé quand il est fait par humains mais non pas par robots ?
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