Des thérapies cognitivo-comportementales, TCC, sont apparu
au milieu du dernière siècle. Au fond il y avait les célèbres expériences
d'Ivan Pavlov sur des conditionnements de chiens. Il donnait à manger aux
chiens et sonnait au même temps une cloche. Suivant quelques
itérations les chiens ont appris d’associer le son de la cloche avec de la
nourriture et ils commençaient à saliver
déjà quand la cloche sonnait.
Dans la TCC moderne ils n’utilisent plus des cloches. En
gros, ce thérapie essaye de changer le model de penser
de personnes qui souffre mentalement. Ou, simplement exprimé :
« réparer le filtre ». La méthode, qui au fond est un
reconditionnement, a été critiquée pour traiter des humains comme des chiens.
Un autre
critique est qu’elle ne fait que supprimer les symptômes.
Cependant, dans la pratique psychiatrique le
TTC existe en parallèle d’autre méthodes comme les pharmacologiques et
les psychodynamiques. La tonalité dans les discussions entre les représentants
de ces formes de thérapies a été aiguë mais elle semble maintenant avoir se calmer.
Car, aucune ne peut montrer des très bons résultats. Pour le traitement de la dépression
le taux de réussite est par exemple pour tous autour de
30%.
Un avantage avec la thérapie TCC est néanmoins qu’elle est
possible à pratiquer via internet ou téléphones portables.
Dans une étude publié dans le revu PLOS
one, des chercheurs divisaient les 93 participants
souffrant de dépressions en deux groupes.
Un groupe prenait parti
de séances de TCC classiques
de 10 heures.
L’autre groupe a reçu 4 séances de TCC, principalement dans quels types d'activités les sujets se sentaient bien. Ces 4 heures étaient complétées avec une application
pour smartphones qui rappelait les participants des conseils de
la thérapeute. L'application
comprenait aussi 54 instructions
générales de comportements antidépresseurs. Deux fois par semaine les
participants recevaient aussi des messages SMS dans lesquels le
thérapeute brièvement les informait
sur leurs progrès.
Suivant 9 semaines, les deux groupes montraient les mêmes résultats. Ceci malgré le
fait qu'un groupe avait eu
47% moins de temps avec le thérapeute.
Il semble que l’explication est qu'un
traitement est beaucoup plus efficace en dehors de la salle de thérapie parce que c’est dans la vie quotidienne que les
changements se produisent. Et, c’est la technologie moderne qui le rend
possible.
Dans la perspective d’un trésorier,
il s’agit d’une augmentation de la productivité d’un facteur 2 ! C’est un
rêve pour n’importe quelle économiste.
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