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mardi 1 avril 2014

Combien d'espèces pour le petit déjeuner



Plus riche mais aussi plus pauvre. C’est une caractéristique de ce que nous mettons sur nos assettes. Plus riche, parce que nous somme en train de développer un taux de surpoids alarmant. Plus pauvre, parce que nous mangeons de moins et moins d’espèces.

Voici un constat de CIAT : Les régimes à travers le monde sont devenus beaucoup plus similaire dans sa composition au cours des cinq dernières décennies, en s'appuyant de plus en plus sur un nombre limité de grandes cultures.

Des fouilles d'anciens sites de chasseurs/collecteurs à l’âge de pierre, vieux de 10 000 à 8 000 ans, ont révélé beaucoup sur leurs habitudes alimentaires. Le résultat est une longue liste qui entre autres comprend mollusques, poissons, oiseaux, mammifères, pommes sauvages, une grande variété de baies et des noisettes que nos ancêtres semblent avoir grillé au feu.  

Il y a certes eu beaucoup plus d'espèces dans leur régime mais beaucoup ne laissent pas de traces possibles à détecter.

Les agriculteurs qui ont succédé les chasseurs/collecteurs avaient moins de variété dans leur nourriture. Pourtant, parce qu’ils vivaient en différentes zones climatiques et devraient s’adaptées à leurs conditions locales, la diversité était encore considérable.

Cela a changé d’une façon spectaculaire les dernières 50 années. Partout dans le monde les gens ont la tendance de manger des produits issus d’une variété d’espèces limitée. Quelques peu types domine, telles que le blé, le maïs, le soja, l'huile de palme et le bœuf. Une des conséquences est que des produits adaptés aux conditions régionales, telles que le mil, le sorgho, l'igname et le seigle sont moins cultivés.

Les sages du domaine constatent que ce développement est un danger pour la sécurité alimentaire. Quand nous dépendons de quelques peu espèces telles que sur le blé, le soja et les vaches, nous deviendrons aussi plus vulnérables aux changements climatiques et maladies des plantes.

De plus, cette unilatérale nourriture occidentale augment le risque de nombreuses maladies, comme obésité, maladies cardiovasculaires et diabète. Pour le bon de la planète et la santé personnelle il faut donc essayer de manger une plus grande variété d’espèces. Le nombre qu’on mange pour le petit déjeuner est un indicateur.

Je suis dans le rustique et les produits somptueux sur l'image ne m’attirent pas. Généralement je mange un pain de seigle avec houmous complétés d’une tasse de thé vert.

Dans le pain il y a de la farine, de la levure et du sel, (qui n’est pas une espèce). L’houmous est composé de pois chiches, huile de colza, purée de sésame, fromage blanc et 5 « E », dont au moins 1 est naturel, le jus de citron. Le thé contient une petite portion d’aromes naturels.

Si seulement les ingrédients principaux comptent, mon petit déjeuner est composé de seulement 6 espèces !

Une amie dit qu’elle en mange environs 30. Elle se dit tant diversifié parce qu’elle mange du miel réclamé d’être à l’origine d’autour de 20 fleures différentes.

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