Plus riche mais aussi plus pauvre. C’est une
caractéristique de ce que nous mettons sur nos assettes. Plus riche, parce que
nous somme en train de développer un taux de surpoids alarmant. Plus pauvre,
parce que nous mangeons de moins et moins d’espèces.
Voici un constat de CIAT :
Les régimes à travers le monde sont
devenus beaucoup plus similaire dans sa composition
au cours des cinq dernières décennies,
en s'appuyant de plus en plus sur un
nombre limité de grandes cultures.
Des fouilles d'anciens sites de chasseurs/collecteurs à l’âge de pierre,
vieux de 10 000 à 8 000 ans, ont révélé beaucoup sur leurs habitudes alimentaires. Le résultat
est une longue liste qui entre autres comprend mollusques, poissons, oiseaux, mammifères, pommes
sauvages, une grande variété de baies et des noisettes que nos ancêtres semblent avoir grillé au feu.
Il y a certes eu beaucoup plus d'espèces dans leur régime mais beaucoup ne laissent pas de traces possibles à détecter.
Il y a certes eu beaucoup plus d'espèces dans leur régime mais beaucoup ne laissent pas de traces possibles à détecter.
Les agriculteurs qui ont succédé les chasseurs/collecteurs
avaient moins de variété dans leur nourriture. Pourtant, parce qu’ils vivaient
en différentes zones climatiques et devraient s’adaptées à
leurs conditions locales, la diversité était
encore considérable.
Cela a changé d’une façon spectaculaire
les dernières 50 années. Partout dans le monde les gens ont la tendance de manger des produits issus
d’une variété d’espèces limitée. Quelques peu types domine, telles que le blé, le maïs, le soja, l'huile de palme et le bœuf. Une des conséquences
est que des produits adaptés aux conditions régionales, telles que le mil, le
sorgho, l'igname et le seigle sont moins cultivés.
Les sages du domaine constatent que ce développement est un danger pour
la sécurité alimentaire. Quand nous dépendons de
quelques peu espèces telles que sur le
blé, le soja et les vaches, nous deviendrons aussi
plus vulnérables aux changements
climatiques et maladies des
plantes.
De plus, cette unilatérale nourriture occidentale augment le risque de nombreuses maladies, comme obésité, maladies cardiovasculaires et diabète. Pour le bon de la planète et la santé personnelle il faut donc essayer de manger une plus grande variété d’espèces. Le nombre qu’on mange pour le petit déjeuner est un indicateur.
De plus, cette unilatérale nourriture occidentale augment le risque de nombreuses maladies, comme obésité, maladies cardiovasculaires et diabète. Pour le bon de la planète et la santé personnelle il faut donc essayer de manger une plus grande variété d’espèces. Le nombre qu’on mange pour le petit déjeuner est un indicateur.
Je suis dans le rustique et les produits somptueux sur l'image ne m’attirent pas. Généralement je mange un
pain de seigle avec houmous complétés d’une tasse de thé vert.
Dans le pain il y a de la farine, de la levure et du sel,
(qui n’est pas une espèce). L’houmous est composé de pois chiches, huile de
colza, purée de sésame, fromage blanc et 5 « E », dont au moins 1 est
naturel, le jus de citron. Le thé contient une petite portion d’aromes naturels.
Si seulement les ingrédients principaux
comptent, mon petit déjeuner est composé de seulement 6 espèces !
Une amie dit qu’elle en mange environs 30. Elle
se dit tant diversifié parce qu’elle mange du miel réclamé d’être à l’origine
d’autour de 20 fleures différentes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.