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vendredi 30 septembre 2016

Pommes et oranges



Comment exprimer qu’on ne doit pas confondre torchons et serviettes en anglais. La bonne expression est apples and oranges, (pommes et oranges).

L’idiome n’est pas unique. Au Québec francophone ils font comme les anglophones et comparent pommes et oranges. En France cette option semble aussi coexister avec pommes et poires. La dernière expression est aussi la plus fréquente et apparaisse en danois, néerlandais, allemand, espagnol, suédois, croate, tchèque, roumain, hongrois, italien, et slovène. Pourtant, en Amérique du sud ils préfèrent papas y boniatos, (pommes de terre et patates douces).  

N’importe la forme l’idée fondamental est assez facile à comprendre. Deux objets qui partagent quelques caractéristiques ne sont pas nécessairement comparables.

Dans le monde anglophone ils ont par conséquence depuis de nombreuses années considéré que les pommes et les oranges soient très différents. Pourtant, une étude a montré que l’antinomie n’est pas si importante qu’une inspection superficielle peut faire croire.

Les échantillons secs des deux fruits étaient mélangés avec du bromure de potassium et broyé. Des échantillons, (100 mg), de chacun étaient ensuite pressés comme pastilles circulaire d’un diamètre de 1 cm. Ensuit les spectres étaient comparé. La figure montre les fréquences de 400 - 4000 cm-1 qui est dans l’infrarouge et correspond à 2,5-25 µm.

Les chercheurs chez Sandford nous ont donc montré que les pommes et les oranges non seulement peuvent être comparés mais qu’ils sont remarquablement similaires.

jeudi 29 septembre 2016

Le déversement du café vu par la science



L'idée de plus profondément investiguer le déversement du café est né lors d'une conférence dont les gens beaucoup souillaient leurs vêtements et documents avec du café qui ne voulait pas rester dans leurs tasses. Cependant, Rouslan Krechetnikov, chercheur à l'Université de Californie, à Santa Barbara a vite se  rendu compte que la physique du café déversé est très compliqué.

Tout d'abord, il faut tenir compte la façon dont une personne marche, qui est liés à l'âge, sexe et état de santé. De plus, les phénomènes qui se produisent dans une tasse de café porté sont extrêmement compliqués et dépend de facteurs tels que la taille de la tasse, la tension à la surface et l'accélération.

Dans son laboratoire Krechetnikov a recruté un de ses élèves pour les expérimentations concrètes. Sa tâche a était d’aller et venir à des vitesses différentes avec une tasse pleine de café dans la main tandis qu’il soit regardait la tasse, soit regardait tout droit. Ses mouvements étaient filmés et des capteurs  enregistraient la moindre goutte perdue.

Un article dans la revue Physical Review E décrit comment les tailles normales de tasses de café d'une manière regrettable et totalement aléatoire ont une géométrie qui amplifie des ondulations et par conséquence aussi des déversements.

C’est-à-dire que si on marche naturellement en portant une tasse de café qui est de 10 centimètres de haut et de 7 cm de large, (elles sont gros en Ètats.Unis), il est presque autodéterminé que des mouvements pendulaires s’amplifient pour finalement causer des déversements. Ils apparaissent généralement entre le 7éme et le 10éme pas.

En attendant des tasses d’autres formes, les auteurs n’ont que le conseil qu’il faut se concentrer sur la tâche et marcher lentement.

mercredi 28 septembre 2016

Les véhicules électriques donneront un coup de pouce aux panneaux solaires



En Göteborg, Suède, ils sont en train de construire un quartier de bâtiments futuristes qui auront de panneaux solaires sur les toits. Le problème général avec panneaux solaires est qu’ils produisent énergie pendant la journée mais ne pas les soirs quand le besoin est maximal. Une solution évidant est de stocker le surplus d’énergie généré dans des batteries. Elle est techniquement bonne mais ajoute un coût de plus aux panneaux solaires déjà cher.

D’où l’idée de utiliser des batteries usés par des véhicules électriques. Pour chaque cycle de recherche ces batteries perdent un peu de leur capacité et quand il en reste 70 – 80% elles doivent être changées. Cependant, cette dégradation ne les disqualifie pas de servir comme stockage d’énergie dans des réseaux électriques. En effet, parce que les courants dans cette usage sont moins brutales, il a été estimé qu’elles auront un duré de vie de 10 à 15 ans.

En Göteborg il a donc maintenant été décidé que le projet immobilier futuriste utilisera les batteries de la ligne électrique de bus 55, qui doivent être changé en 2018.

En hiver, quand les panneaux solaire ne produiront que très peu, les batteries peuvent aussi être chargé pendant la nuit, quand le prix est bas, et de cette manière contribuer à l’économie énergétique.

Avec cet arrangement l’économie des panneaux solaires profitent sur les véhicules électriques. Mais, l’inverse est aussi vrai car les batteries usées dans des véhicules auront une certaine valeur. Peut-être 10% de leurs prix initiales ?