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dimanche 31 mars 2019

Les universités suédoises émettent beaucoup de CO2


À cause de beaucoup de voyages aériens les universités suédois sont les structure publiques qui émettent le plus de CO2. Les organisations étudiantes souhaitent une réduction.

Chaque année 190 structures publiques doivent communiquer leurs émissions de CO2 à l'Agence Suédoise de Protection de l'Environnement. Selon les derniers chiffres, ils rejetaient totalement 100 000 tonnes CO2 au cours de l’an 2017. Plus de la moitié de ces émissions provenaient de structures sous le Ministère de l'Éducation avec l’université médicale, Karolinska Institutet, (KI), en top.

Selon le coordinateur de voyages chez KI, cela est dû au fait que l’université est engagé dans beaucoup de recherche internationale. Parce que les chercheurs suédois sont en demande sur le plan international ils voyagent beaucoup en avion.

L’organisation d’étudiantes de l'université de Lund réclame que l'université doit réduire ses émissions à moitié d'ici à 4 ans. Leur porte-parole a dit que :  « Les universités devraient assumer une plus grande responsabilité morale pour rendre leur propre recherche sur comportements et changements climatiques crédible »

samedi 30 mars 2019

Un avion hybride triplan


Un avion hybride assez innovateur a été conçu par la start-up britannique Faradair qui prévoit à lancer des essais en vol dans 3 ans. Il sera construit en composite de fibre de carbone et capable à porter 18 passagers ou 3 conteneurs de fret.

Le but pour l’entreprise, démarré il y a 5 ans, est de concevoir «l'avion le plus écologique au monde». Suivant les années passés de développement, simulations et tests en petites échelles, Faradair estime que leur modèle, appelé BEHA M1H, sera prêt pour certification en 2025.

BEHA signifie Bio-Electric-Hybrid-Aircraft. Des batteries sont utilisées pour tourner des moteurs électriques lors de décollage et atterrissage. Mais, en air c’est un turbopropulseur, alimenté par carburante d’aviation ordinaire ou du biocarburant, de 1 000 kW qui prend le relais. Assisté par des panneaux solaires sur les ailes, ce moteur alimente aussi les batteries.

La propulsion provient de deux hélices encapsulés et contrarotatives. La vitesse est estimée à 370 km/h. En cas d'urgence, l'avion peut voler sur batteries pendant 15 minutes.

La conception de 3 ailes, triple box-wing, rend possible à décaler et atterrir sur des pistes de la taille 300 m.

Le BEHA est conçu pour pouvoir retirer les sièges en 15 min ce que rend possible à porter 3 conteneurs de fret LD3, 4,2 mètres cubes, et un poids total de 5 tonnes.

Le niveau de bruit est un problème d'actualité pour le secteur du transport aérien. Parce que les hélices sont encapsulées le BEHA peut décaler avec un niveau sonore équivalent de 60 dBA, à comparer avec un avion conventionnel sur 140 dBA.  

Faradair espère que la possibilité de rapidement convertir l'avion, en combinaison avec le bas niveau de bruit, ouvrera pour la possibilité de fréter des marchandises les nuits.

Le prix est estimé à 3,7 millions d’euro.

vendredi 29 mars 2019

Les noms de famille déterminent la confiance des analystes boursières


Il n'y a pas de différence dans la qualité des analyses. Mais, il y a une différence entre la manière dont les acteurs sur le marché financier américain réagissent aux analyses fait par personnes avec des noms associés au Moyen-Orient. Ils les donnent moins de confiance que les autres.

Quatre chercheurs de divers domaines économiques ont étudié la manière dont le marché financier américain réagit aux analyses boursières. L'étude comprend un total de 762 780 analyses, signées par 5 516 auteurs entre 1996 et 2014. Parmi les analystes il y avait 3 983 noms de famille différents.

Les chercheurs identifiaient ces noms comme typiques pour divers langues, telles qu’allemand, français ou arabe. Donné l’histoire de la bourse ils pouvaient aussi juger la qualité des analyses. Il n’y avait aucun lien entre les noms la qualité. Par contre, la corrélation entre les noms de famille et la réaction du marché était fort.

Suivant les attaques terroristes contre les États-Unis le 11 septembre 2001, les acteurs boursiers prenaient de moins en moins note des analyses faites par auteurs avec noms perçus comme d’origine du Moyen-Orient. Selon les chercheurs, ces noms érodaient la crédibilité des analyses.

Un développement similaire, mais moins fort, était observé pendant l'invasion de l'Irak, à laquelle les français et les allemands se opposées. Dans ce cas il était des auteurs avec noms typiques de ces pays qui ont souffert de crédibilité.