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jeudi 30 juin 2016

Pas un hasard si les médecins mangent gratuitement



Les entreprises pharmaceutiques qui en États-Unis offrent des repas, ou d’autres avantages, doivent par la loi enregistrer leurs dépenses, leurs natures et les personnes qui en profite dans une base de données. Les chercheurs américains ont maintenant comparé ces données avec des informations sur les médicaments prescrivent par ces médecins. La tendance est claire.

Ceux qui reçoit un repas d'une valeur jusqu’au 16 $ sont plus enclin de prescrire un médicament fabriqué par l’entreprise qui a payé la note. Pour par exemple un remède contre des problèmes dépressifs, la probabilité était plus que le double. Le plus chers qu’a été le repas le plus signifiante était aussi la tendance.

La corrélation trouvée ne signifie nécessairement pas que les médecins se laissent corrompre. Une autre possibilité est qu’ils déjà soient positifs à un certain médicament et participent dans des séminaires parrainés par l'industrie où un repas est inclus.

Les chercheurs rapportent leurs résultats dans le revu JAMA Internal Medicine. L’étude comprend 4 médicaments cibles d’un total de 279 669 médecins qui ont reçu 63 524 repas avec une valeur moyenne de moins de 20 $.

Le rédacteur en chef de la revue souligne dans un éditorial qu'il y a une contradiction entre les profits des compagnies pharmaceutiques et l’indépendance des médecins et qu'il serait préférable de dépenser cet argent à la recherche.

mercredi 29 juin 2016

L’avantage de mimétisme



L’imitation est un phénomène très rependu. Sans imitations nous seront complètement perdu et nous avons tous commencé nos vies avec imitations. En effet, tous genres d’apprentissages soient-ils de langues, de mathématiques ou de jouer au foot ne sont que des imitations. Evidemment, c’est aussi les élèves qui mieux savent imiter leurs professeurs qui ont les meilleurs notes.

De imiter est parfois aussi considéré comme un mauvais comportement, par exemple dans l’art. Cependant, d’imiter une modèle dans un défilé de mode est par beaucoup considéré comme du bon goût.

Un forme d’imitation dans la nature est appelé mimétisme. Il existe en différentes formes. Pour éviter d’être mangé un papillon peut par exemple imiter une feuille morte. Pourtant, les plus spectaculaires exemples d’imitations sont peut-être les insectes qui imitent les insectes.

Gap ou mouche syrphes, (mouche de fleur) ? Il n’est pas si facile à voir la différence. La lézarde qui essaye à manger un gap aura une langue gonflée et elle ne fera plus cette erreur. En imitant l’allure d’un gap certaines espèces de mouches de fleurs utilisent cette aversion pour se protéger. Cependant, s’il y a 100 mouches pour 1 gap, la tricherie du camouflage ne fonctionne plus. Beaucoup de mouche seront mangé et la nature autocorrigera cette disproportionnalité.

Les combinaisons typiques de couleurs qui avertissent un danger sont noir et jaune ou noir et rouge. Parfois ces trois couleurs sont combinés et la couleur blanc est parfois aussi présent.

Quand une coccinelle est attaqué elle sécrète un liquide de ces genoux qui est toxiques a aussi a un goût très amer. C’est pourquoi les coccinelles sont assez populaires à imiter.  

Une arêtière qui porte une protection coccinelle

On a longtemps pensé que le mimétisme était un phénomène limité au monde des insectes. C’est apparemment faut car les botanistes ont maintenant trouvé un plant que le pratique.

mardi 28 juin 2016

Une nouvelles joyeuse pour les amateurs de chocolat



Pour fabriquer une tablette de chocolat les fèves de cacao sont fermentées, torréfiées et broyées jusqu'à 'ils forment une pâte. Une matière grasse, appelée beurre de cacao, est extrait d’un partie de cette pâte. L’autre partie est puis mélangée avec la beurre de cacao et éventuellement d’autres ingrédients comme le sucre.

Ce chocolat peut contenir plus de 50% de matière gras. Elle est donc très riche en calories et les amateurs de ce gouté doivent faire attention de ne pas trop manger.

Cependant, il est difficile à fabriquer du chocolat avec moins de gras. Car, avant de prendre la forme de tablettes, le chocolat doit passer par des tuyaux, et cela n’est pas possible au moins que la viscosité a été diminuée par un important taux de gras.

Mais, maintenant les chercheurs de l'Université Temple à Philadelphie ont développé une méthode électrique qui permet de réduire la teneur en matières grasses, jusqu'à 20% selon les innovateurs.

Il est devenu possible parce que à une température un peu élevé le chocolat devint un fluide électrorhéologique. Ce type de fluide, découvert en 1947, est caractérisé par une suspension de particules fins et conductrices dispersées dans un fluide isolant. En réponse à un champ électrique la viscosité d’un tel fluide peut changer considérablement.

Outre de la réduction en teneur caloriques, le chocolat fabriqué avec cette méthode est dit plus savoureux.