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jeudi 31 juillet 2014

Hen



La rubrique ne signifie pas « poule » en anglais mais un nouveau pronom personnel suédois. Le mot a été en circulation pendant quelques décennies mais maintenant il est officiellement reconnu et inscrit dans le dictionnaire de l’académie suédois, 125 00 mots sur 1130 pages pesant 1020 grammes.

Le figure sur l’image est un hen, c’est-à-dire un il, (han), ou un elle, (hon), aux choix. L’idée du livre est de ne pas habituer des enfants avec des stéréotypes.

Pour ceux qui sont un peu moins militantes en regard de la parité entre sexes, le mot remplace des constructions peut convenantes tel que il/elle.

Le problème se pose en beaucoup de langues. Certains ont un ou plusieurs neutres, (en suédois ils sont deux), dans les pronoms pour la troisième personne singulière. Le neutre serrait un bon candidat pour contourner le problème de sexe mais inopportunément cela collisionnerait avec la règle que seulement des choses peuvent être neutres. D’utiliser le neutre pour une personne est dégradant et ne se fait pas.

Le débat sur le mot a été intense et un linguiste a même écrit une thèse dessus. Il constate que le fond de la résistance au pronom « hen » et qu’il nous oblige de regarder le monde autrement. La plus grande résistance vient de ceux qui ont une vision plus conservatrice sur les espaces d’actions que les deux sexes devraient avoir.

Un contre-argument est qu’en finnois le il et le elle sont le même mot, hän et que la Finlande à cause de cette particularité n’est pas un pays en chaos.

Par conséquence le suédois comprend maintenant 5 pronoms pour la troisième personne singulière : Han, hon, hen, den et det. C’est probablement un record. Il faut compléter les livres de grammaires, qui prendra du temps.

Par ailleurs, le problème est le même en français. Pourquoi ne pas compléter  il et elle avec un ol ?  

mercredi 30 juillet 2014

Récolte d’énergie



Nous sommes en train d’entrer dans l’ère d’internet des objets. Concrètement c’est un monde où des choses communiquent soit entre eux, soit avec nous. Les conteurs de électricité qui envoient leurs valeurs de mesures par radio ondes est un exemple déjà existant mais ce n’est qu’un timide début. Un des plus grands fournisseurs de hubs d’internet, Cisco, estime que 50 milliards appareils et objets seront connectés d'ici à 2020.

Cependant, il faut trouver des bonnes solutions technologiques pour réaliser le changement. Un des facteurs critiques est l’alimentation d’énergie. En petites quantités il y a de l’énergie par tout, par exemple dans la lumière, dans les vibrations et dans les ondes de radio. La difficulté est de récolter suffisamment pour alimenter des choses électroniques dans en manière peu cher.


Le premier à récolter l’énergie qui nous entoure a été James Cox. Dans les années 1760 il a réussi de concevoir une horloge, Cox's timepiece, qui fonctionne sur l’énergie extradé des variations de la pression atmosphérique. Peut-être une idée pour certains applications plus modernes ?
        
Dans une vidéo de l'Université de Linköping, Suédé, des chercheurs montre maintenant comment les ondes émit par un portable peut activer un capteur imprimé et alimenter un petite écran. Il est bien connu comment capturer ces ondes par une antenne, mais de le faire d’une façon peu cher et de transformer le courant alternant à un courant continu à pendant longtemps était considéré difficile.

Un des conséquences de cette innovation est qu’il désormais est possible d’alimenter des étiquettes imprimé avec un portable, une application phare dans Internet des objets.

Au cœur de l’innovation est une diode capable à redresser des fréquences tant hautes que 1.6 gigahertz, (longueur d'onde de 18,8 cm). La recette est simple, une pâte contenant niobsilicide, (NbSi2), est imprimé sur une autre pâte riche en silicone.

Même s’il encore reste beaucoup à faire dans électronique imprimé, la performance de cette technologie commence à s’approcher des conceptions plus conventionnelles.

Le résultat a été publié le périodique scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences, PNAS.

mardi 29 juillet 2014

Divorces



http://www.touteleurope.eu/actualite/les-mariages-et-divorces-dans-les-etats-membres.html
 De plus en plus de mariages finissent par un divorce et cela surtout après une cohabitation serré à l'été. On le voit bien dans la statistique car les applications de divorces ont un pic en Septembre et Octobre. Le taux de divorces en Suède est de 55% et la durée moyenne d'un mariage est de 10,9 années. Il y a 16 ans, il était de 12,2 ans. La situation semble similaire dans la majorité des pays d’Europe.

La vie de vacances, d’être proche 24/24 heure, semble compromettre la relation. Il y a donc des raisons à croire que cette période de repos dans beaucoup de cas est moins idyllique que dans les brochures.

Le mariage n’est apparemment pas un lit de rose. Où est le problème est que faire ? Alain de Botton, philosophe, journaliste et écrivain suisse, a des propos.

Il fait valoir que la raison principale de tant de ruptures et simplement que nous faisons des mauvais choix et cela parce que nous nous ne connaissons pas nous même. Nous ne savons simplement pas, qui nous sommes, que nous voulons et quelles sont nos besoins. Nous nous ne comprenons pas et par conséquence nous ne comprenons notre partenaire non plus. Et, parce qu’elle probablement ne comprend pas qui elle est, elle ne peut pas l’expliquer.

Nous sommes des mystères l’un à l'autre. Au début d'une relation nous sommes obsédés d’essayer à nous comprendre. Nous rencontrons des amis et la famille de l'autre, nous visitons la maison d'enfance et nous nous expliquons nous nourritures et nous couleurs préférées. Peu utile dit Botton, parce que rien de cela n’explique qui nous sommes vraiment.

Selon Botton nous devons au lieu, dès le premier rencontre demandé : « Dans quelle manière es-tu fou ». Car Botton note que nous sommes tous un peu singles dans une façon ou l’autre. L’astuce est de trouver une personne avec le type de folie que nous pouvons vivre avec.  

« Un bon partenariat n'est pas tant entre deux individus équilibrés, (il n'y a pas beaucoup sur la planète), comme il est entre deux personnes perturbées qui ont eu la chance de trouver un équilibre dans leur folies ».

La volonté et la capacité de reconnaître nous propres fautes est un bon début pour une relation qui fonctionne. Le problème est que ce comportement est contre-instinctif. Nous voulons instinctivement cacher tous les laideurs pour la personne dont nous avons des sentiments chauds. Le début d'une relation est souvent lourd en auto-tromperies et en mensonges.

Nous ne pouvons pas, dit de Botton, laisser quelque chose d'aussi important que le mariage au hasard et aux sentiments. Il propose des tests psychologiques avancés pour accoupler des bonnes partenaires.