« Ils sont venu viennent à travers la manche : les Angles, les Saxons et les Jutes. Des foules se versait le
sur l'Angleterre. Les Saxons se sont installé à l'ouest de Londres et les Jutes
l'est. Les Angles
ont continué vers la côte est dans le nord du pays ».
C’est un texte qui, comme un manuscrit d’un film, dramatise
les évènements qui ont conduit à la naissance de la langue anglais. Je pense qu’il
a figuré dans petite exposition sur la langue anglaise nommée, The English effect,
à British
council de Londres. A cause de sont style animant elle a attiré
un record d'audience. Une des expériences est que les livres et d'autres articles montrés
étaient moins populaires que les matières
interactives.
Dans toute sa simplicité l’exposition
a montré comment il est possible créer un grand intérêt avec des ressources limitées. Sur
quelques panneaux les visiteurs étaient invités à se poser des questions et trouver les bonnes réponses. L’exposition
a maintenant inspiré les anglais à planifier un musé permanent sur
leur langue. Le budget n’est pas modeste, de 25 million euros.
Il y a donc un intérêt et la langue est en
train de prendre son place comme thème de musée. Ils sont en train d’apparaitre
un peut par tout, surtout en Europe. Les thèmes ne manquent pas, la langue
du pays, une langue minoritaire, une langue mondialement répandu et pourquoi ne
pas toutes les langues du monde.
En São Paulo, Brésil,
c’est déjà une réalité. Le Museu da língua
portuguesa a été inauguré
en 2006. Dans ce grand musée, installé
dans une ancienne gare, des mots sont projetée sur les murs. Un
mur est couvert par un écran plus de 100 mètres de long. Dans l’entrè se dresse un arbre
de langues haut de 3 étages.
Etonnement il n’y a rein pareille en
Etats-Unis où tout autrement est très gros. Le National
Museum of Language est localisé dans une
banlieue de Washington. Il a ouvert ces portes en 2008 mais il est tout modeste avec ces trois pièces et ouvertures 2
jours par semaine.
En France il semble être deux : Un Musée des Langues qui
plutôt est une exposition mobile et Mundolingua,
une initiative privé qui a ouverte ses portes en 2013.
Les pays nordiques sont
modestement représentés. Depuis 2000 il existe un centre culturel en Norvège, le Ivar
Aasen-tun, qui aussi inclut un musée sur le néo-norvégien,
un dialecte avec statue comme langue officielle. En 2017 il est
prévu d’ouvrir un musée sur toutes les
langues du monde au Danemark.
Les musées sont en
train de se libérer du mot musé.
Au lieu ils sont appelés centres, centre d’activité, centre culturel et cetera. L'offre n’est plus des
objets poussiéreux dans des stands fermés, mais des expériences pour tous les sens et toute la famille. Elles sont diffusées comme
bruits et odeurs, projetés sur des écrans selon des boutons appuyés et exposés
pour être touchés. L’idée fondamentale est d’amuser en apprenant. L’inspiration
vient de l'industrie du divertissement.
De figurer une langue, de lui donner vie
et activer les visiteurs est un important défi. La solution est dans l’informatique. Tous les musées
de langues prévues sont basées sur
la possibilité d’entendre la langue, voir la propagation
sur des cartes et des jeux linguistiques.
Par fois aussi la possibilité de donner une contribution orale.
Les visiteurs peuvent par exemple porter des
écouteurs sans fil et choisir ce qu'ils
veulent entendre. Et, pourquoi ne pas communiquer par Smartphones. Une variante à venir est des lunettes de
Google.
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