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vendredi 31 juillet 2015

Des cerveaux fatigués ont les meilleures idées



On pourrait penser que les meilleures idées arrivent dans des cerveaux bien reposés et alertes. Pourtant, selon une étude américaine la créativité est favorisée quand nous ne sommes pas au top dans de notre rythme circadien.

Les chercheures laissaient 428 élèves résoudre différents types de taches en différents moments de la journée. Ils faisaient tous à peu près aussi bon en problèmes analytiques classiques, qui nécessitent des solutions  systématiques, à n’importe quelle heure de la journée et indépendamment si les sujets se disaient être plus vigiles les matins ou les soirs.

Cependant, quand il s’agissait de problèmes qui nécessitaient une certaine perspicacité, le résultat était complètement différent. Quand fatigués les élèves avaient des meilleurs résultats pour des problèmes qui nécessitent une réflexion «en dehors de la boîte».

L'explication serait que le cerveau est phénoménal à trier des distractions quand nous sommes à le sommé de notre rythme circadien. A quelle heure ce pic se produit dépend de l'horloge biologique, qui contrôlent si nous sommes plus alerte les matins ou les soirs. Ce rythme affecte à la fois les processus physiologiques et les fonctions intellectuelles. Quand le cerveau est un peu flou, il n’est plus bon à filtrer les distractions. Il est dans cet état que des vues supplémentaires et des connexions inattendues ont plus de probabilités d’apparaitre.

jeudi 30 juillet 2015

La honte était autrefois une partie importante de la peine



La peine de pilori était fréquente en Europe au moyen âge et surtout si le coupable était pauvre. Cela parce qu’il souvent été possible d’échapper une punition publique en payant un amende, évidemment un effet d’une société super-corrompu. En France cette forme de peine a été supprimée par un décret aussi tard que le 12 avril 1848.

Un des but de la peine du pilori était de donner le coupable honte qui en tant que telle constituait une partie essentielle de la peine. L’idée étant que cette honte publique était un châtiment que payerait le coupable pour son infraction et qu’il alors pouvait se réintégrer la vie sociale normale. Si quelqu’un avaient offensé un édit religieux l’église pratiquait aussi des punitions similaires.

Des rituelles de honte avaient une place importante dans la société publique médiévale pour la simple raison que les gens de l’époque étaient beaucoup plus interdépendants qu'aujourd'hui. Il fallait donc résoudre les conflits sociaux avec des conséquences à la fois palpables mais aussi à court terme. La honte faisait mal mais n’avait pas des conséquences corporelles. Quand fini les personnes concernés pouvaient mettre l'épisode derrière eux.

Beaucoup des femmes infidèles suédois ont étaient condamné à des peines de honte, par exemple de traverser la ville avec des lourdes pierres attaché sur leurs poitrines. C’est-à-dire qu’en payant elles pouvaient en échapper. Mais, donné qu’il généralement était le mari trompé qui contrôlait la caisse les épouses infidèles vivaient dans un temps difficile.

Par contre, il n’existe aucune preuve historique qu’un mari infidèle a du souffrir le même genre de peine de honte.

mercredi 29 juillet 2015

Un petit bouton



L’entreprise Shortcut Labs a inventé un petit bouton appelé Flic. Le but de ce gadget est de déclencher des applications dans les smartphones sans les toucher.

Car, le Flic communique avec le portable via le système Bluetooth, (si appelé d’après un roi danois qui a unifié un partie de la Scandinavie).

Chaque Flic peut être activé en 3 différentes façons : Clic simple, clic double et pression. D’abord, avant de utilisé le Flic, il faut programmer, qui se fait avec une application dans le smartphone.

Par exemple :

Un clic simple pour déclencher un service de musique, pratique sur un vélo.

Un clic double pour déclencher la sonnerie de téléphone en cas de lieu oubli.

Une pression pour déclencher un message qu’on arrive à la maison dans 5 minutes, très convenaient au volant.

L’entreprise a été fondée avec un financement participatif et des propositions d’applications ne manquent pas : Contrôler la lumière d’une pièce, alarme pour personnes fragiles, prendre des photos… Les première 200 boutons ont déjà été fabriqués et envoyés. La production en grand échelle a débuté et les 50 000 boutons précommandes seront bientôt posté aux clients.

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Je me souviens de ce que nous avons fait avant que le TV, les portables et les boutons n'eussent eu envahi nos vies. Nous roulions à vélo ou mobylette tout en exploitant nos entourages. Nous nagions dans les lacs, péchions, mangions des œufs de goélands et campions dans les forêts. Nous savions tant sur les oiseaux, les élans et les chevreuils. Parce que nous refusions de rester à la maison à lire des vieux contes, des vieillards grincheux nous appelèrent de la jeunesse perdu et antisociale. Un film de de cette jeunesse inadéquat et inutile a même été fait.  

Le monde a changé. Et oui, ces boutons sont pratiques mais je ne les laisserais pas dominer ma vie.