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mercredi 31 août 2016

Les couleurs qui mieux maintien la valeur d’une voiture



En 1984, quand j’ai acheté ma première nouvelle voiture on pouvait encore librement choisir la couleur, sauf les métallisées qui coutaient un peu plus. Sur le conseille de ma sueur, psychologue, j’ai choisi une rouge qui selon des tests est la couleur le plus facilement visible et donc aussi la couleur la plus sûr.

Ce que je ne savais pas à l’époque était que le rouge aussi est le couleur qui s’abime le plus vite. Le rouge et rouge parce qu’il absorbe le bleu qui sont des rayons les plus énergétiques. Le problème est moins grave pour des voitures modernes qui maintenant sont couvert d’une couche anti-oxydation. Pourtant, les bus rouges, introduits à Marseille il y environs 2 ans, sont déjà assez abimés.

Actuellement j’ai une voiture beige. Pour que la saleté se voit le moins bien j’ai voulu une gris mais finalement j’ai trouvé que les 400 euro plus pour ce confort étaient un peu cher.

Le site américain iSeeCars.com révèle maintenant que la couleur d’une voiture aussi a un impact sur la valeur d'occasion.

Noir, gris et argent sont des couleurs qui perdent le plus. Les plus sur contre la dépression couleurique de la valeur sont jaune, orange et vert. L'explication serait en partie que ces dernières sont utilisées pour voitures de sport exclusives, qui roulent moins que celles de tous les jours.

      Déprécions de valeur après 5 ans :
Jaune
26,2%
Orange
27,6%
Vert
31,3%
Sarcelle
31,4%
Rouge
31,7%
Beige, Marron, Or
33,3%
Bleu
33,6%
Blanc
33,7%
Argent
34,0%
Gris
34,2%
Noir
34,4%


Moyenne
33,6%

mardi 30 août 2016

Messages secrets dissimulé dans la musique



La stéganographie est la science de dissimuler des messages dans par exemple images ou audio.

Une nouvelle technique à le faire a récemment été présentée par le chercheur Krzysztof Szczypiorski à l'Université de Varsovie. Il appelle sa méthode StegIbiza, nommé d'après le style de musique électronique Ibiza Trance. La méthode est basée sur des variations de tempo si fable qu’ils sont indétectable pour l’oreille humain. Non plus peuvent-ils être joué sur n’importe instrument. Il faut passer par un appareille électronique spécialement conçu pour la tâche.
Le alphabète Morse est utilisé pour le message. Il faut donc inclure 3 variations de tempo dans la musique, correspondant à des traits courtes des traits long et des pauses. Il est fait en changent le rythme, soit en haut, en bas ou pas de tout, avec des variations si fable que 2%, qui sont impossibles à détecter sans un appareille spécial.

Pour tester sa méthode, Szczypiorski a utilisé l'un des logiciels les plus courants pour la musique, Il l’a programmé avec quelques chansons célèbres dans le style techno mais avec un rythme variant selon le message dissimulé. Dans le rapport, il écrit que la méthode encore est en développement et que la prochaine étape sera d’écrire un logiciel capable d’automatiquement coder et décoder la StegIbiza.

Cependant, la méthode a ces limites. Pour dissimuler 30 à 50 mots il faut environ un morceau de musique de 5 minutes avec un rythme de 120 coups par minutes.

Dans la future il aura peut-être des messages utiles cachés dans la musique par exemple le titre et d’autres informations d’intérêts.

lundi 29 août 2016

Les antibiotiques augmentent le risque de diabète



Le nombre d'enfants atteints de diabète de type 1 a significativement augmenté ces dernières années. En Suède il y eu presque un doublement depuis les années 1980. La cause de cette maladie est que le système immunitaire détruit les cellules qui produisent l'insuline dans le pancréas.

Dans la revue Nature Microbiology des chercheurs rapportent maintenant que le fait pourrait être dû à l’usage d’antibiotiques.

L’équipe a étudié les effets de antibiotiques sur de bébés souris avec une vulnérabilité génétique pour le diabète de type 1. Des traitements répétés d'antibiotiques ont conduit au développement de la maladie chez plus de 50% des souris. Dans un groupe de contrôle ils n’étaient que 25%.

Les souris médicalisées avaient aussi une flore intestinale plus pauvre. Certaines bactéries, connues pour contribuer au développement d'un système immunitaire normal, n’existaient presque pas.

Pour examiner si c’est vraiment la flore intestinale qui est au fond du problème, les chercheurs ont transféré des flores intestinales appauvries aux souris nourris sans antibiotiques. Comme prévu ils ont constaté des changements similaires et néfastes dans leur système immunitaire.