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jeudi 17 avril 2014

Piège à rats



 Peu de chose ont attiré tant d’attention des innovateurs comme les pièges à souris et rats. En passant, un morceau de fromage n’est pas le meilleur leurre. Les vrais experts utilisent du beurre d'arachide. Si Nutella fonctionne aussi bien m’est inconnu.

Cependant, le monde progresse et maintenant c’est le piège électronique qui compte.

 Le piège est connecté au réseau mobile.
1.     Le piège est placé dans une bouche d'égout.
2.     Capteurs qui mesurent la vitesse, la température et la forme de l'animal.
3.     Si c'est un rat 14 clous se lancent sur l'animal qui meurt instantanément.
4.     L'eau rince le rat mort.

Le piège a été conçu par l’entreprise danoise WiseCon.

Les rats migrent en hordes. Les canalisations d'eaux usées servent comme des autoroutes pour ces désagréables rongeurs. Le bon placement pour pièges est par conséquence dans les égouts.

Un piège à souris électronique est assez chère, environ 2 500 euros. Pourtant, pour ceux qui travaillent dans le domaine antiparasitaire ils sont profitables. L’entreprise suédoise, Anticimex, a déjà installé 1 500 de ces appareilles.

Les avantages sont nombreux. Parce que les rats sont tués mécaniquement il y a moins besoin de pesticides, qui évidemment est un avantage environnemental majeur. Les migrations des rats, à cause de fuites d’eau ou autres, sont aussi possibles à suivre sur une carte. En effet, en fonction de rats tues, Anticimex peut avertir les autorités de problèmes potentielles dans les canalisations.

Le piège doit résister à un environnement difficile. Les clous sont réalisés en Kevlar pour préserver la netteté et la batterie est bien encapsulée. Les appareils sont connectés au réseau sans fil via une carte dite M2M, (Machine to Machine). Ceci un exemple un peu insolite du développement vers internet des choses.

À part de le complexe problème de gérer les capteurs il y a beaucoup de fonctionnement informatique sur le côté extérieure. Avant d’écrire le code il faut un plan architectural.

Les donnés doivent évidemment être stocké. Le lieu, (coordinats géographiques), le lieu compréhensible, (numéro, rue), le nom d’appareille, (un numéro), rats tués, (date et temps), le niveau de la batterie, (par exemple une échelle 1 à 10) et cetera. En cas où des informations complémentaires seront nécessaires, il vaut mieux laisser quelques colonnes vides. Puis, il faut décider combien de temps les donnés doivent être conservés. Pour de la bonne statistique plusieurs années sont évidemment nécessaires.

La présentation des donnés sur un écran est un autre défi. Des chiffres sont peu compréhensibles pour humains, il vaut mieux utiliser des images. Pour pouvoir localiser le piège il faut une carte. Une connexion avec un site qui peut fournir cette information est donc nécessaire.

Ensuite, la statistique doit être présentée dans une manière facilement compréhensible, pour les pièges individuelles et, pour mieux pouvoir suivre des migrations, aussi ensemble.

De bien faire fonctionner un piège de rats nécessite donc un effort de programmation considérable. D’autre appareilles connectés ont un problématique similaire. Le besoin d’informaticiens monte en flèche

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