Peu de chose ont attiré tant d’attention des innovateurs
comme les pièges à souris et rats. En passant, un morceau de fromage n’est pas le
meilleur leurre. Les vrais
experts utilisent du beurre d'arachide. Si Nutella fonctionne aussi bien m’est inconnu.
Cependant, le monde progresse et
maintenant c’est le piège électronique qui compte.
Le piège est connecté au réseau
mobile.
1.
Le piège est placé dans une bouche d'égout.
2.
Capteurs qui mesurent la vitesse, la température et la forme de l'animal.
3.
Si c'est un rat
14 clous se lancent sur l'animal qui
meurt instantanément.
4.
L'eau rince le rat mort.
Le piège a été conçu par l’entreprise danoise WiseCon.
Les rats migrent
en hordes. Les canalisations
d'eaux usées servent comme des autoroutes pour ces désagréables rongeurs. Le bon
placement pour pièges est par conséquence dans les égouts.
Un piège à souris
électronique est assez chère, environ 2 500 euros. Pourtant, pour ceux qui
travaillent dans le domaine antiparasitaire ils sont profitables.
L’entreprise suédoise, Anticimex, a déjà installé 1 500 de ces appareilles.
Les avantages sont nombreux. Parce que
les rats sont tués mécaniquement il y a moins besoin de pesticides,
qui évidemment est un avantage environnemental majeur. Les migrations des rats,
à cause de fuites d’eau ou autres, sont aussi possibles à suivre sur une carte.
En effet, en fonction de rats tues, Anticimex peut avertir
les autorités de problèmes potentielles dans les canalisations.
Le piège doit résister
à un environnement difficile. Les
clous sont réalisés en Kevlar
pour préserver la netteté et la batterie est bien encapsulée. Les appareils sont connectés
au réseau sans fil via une carte dite M2M, (Machine to Machine). Ceci un exemple
un peu insolite du développement vers internet des
choses.
À part de le complexe problème de gérer les
capteurs il y a beaucoup de fonctionnement informatique sur le côté extérieure.
Avant d’écrire le code il faut un plan architectural.
Les donnés doivent évidemment être stocké.
Le lieu, (coordinats géographiques), le lieu compréhensible, (numéro, rue), le
nom d’appareille, (un numéro), rats tués, (date et temps), le niveau de la
batterie, (par exemple une échelle 1 à 10) et cetera. En cas où des
informations complémentaires seront nécessaires, il vaut mieux laisser quelques
colonnes vides. Puis, il faut décider combien de temps les donnés doivent être
conservés. Pour de la bonne statistique plusieurs années sont évidemment
nécessaires.
La présentation des donnés sur un écran est un autre défi. Des chiffres sont peu
compréhensibles pour humains, il vaut mieux utiliser des images. Pour pouvoir
localiser le piège il faut une carte. Une connexion avec un site qui peut
fournir cette information est donc nécessaire.
Ensuite, la statistique doit être présentée dans
une manière facilement compréhensible, pour les pièges individuelles et, pour mieux
pouvoir suivre des migrations, aussi ensemble.
De bien faire fonctionner un piège de rats nécessite donc un effort de programmation considérable. D’autre appareilles connectés ont un problématique similaire. Le besoin d’informaticiens monte en flèche
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