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dimanche 30 juin 2013

Une nouvelle dimension politique


La démocratie est née en Grèce antique. Le mot signifie « souveraineté du peuple ». Pourtant, le peuple n’avait pas la même signification comme aujourd’hui. Ni les femmes, ni les esclaves et ni les métèques, (les personnes qui habitent dans un lieu dont il n’est pas originaire), avaient le droit de participer.

Il a fallu du temps pour la démocratie de se développer en France. L’esclavagé a duré jusqu’à en 1848, les femmes n’ont pas pu voter avant 1944 et le droit de participation des métèques est encore discuté. Mais, nous somme très fière de notre démocratie et nous volons servir comme modèle pour d’autres peuples moins bien lotie. 

La réponse claire, à la fois par ceux qui s’intéressés aux fondamentaux de la justice politique et à la déclaration des droits de l'homme, a été que la légitimité politique est créé par les droits démocratiques. Si seulement les gens auraient le droit de voter, s'ils auraient le droit de se présenter et s’ils pourraient s’exprimer et se rassembler librement, la légitimité politique serait automatique. C’est-à-dire que les citoyens dans un tel environnement accepteront d’être gouvernés par leurs représentants.

On se demande pourquoi cette bonne idée ne fonctionne pas dans de nombreux pays démocratiques où des manifestations violents se déroulent sur les rues, dernièrement en Brésil.

La recherche sociale a récemment pu fournir un résultat très différent et plutôt surprenant sur ​​la légitimité politique. Il est basé sur les donnés les plus complètes du monde, le world value study, avec plus de 70 pays comme participants.

L’analyse montre qu’une juste administration est beaucoup plus importante que les droits démocratiques. Les facteurs principaux qui produisent la légitimité politiques sont un faible niveau de corruption, équité dans l'exercice du pouvoir et égalité devant la loi. Les droits démocratiques n’ont qu’un rôle secondaire.  

Ce résultat est surprenant et contraire de ce qui depuis longtemps a été considéré comme vrai mais il n’est pas difficile à expliquer. Beaucoup de gens dans des pays démocraties ne votent pas. Peut-être parce qu’ils considèrent que leur vote ne concerne que marginalement leurs vies.

Par contre, si les médecins exigent un pot de vin pour soigner leurs enfants, si les pompiers refusent à venir parce que le quartier est troublé, si les droits sociaux leur sont refusés à cause du nom de la famille, ils réagissent fortement.

Favoritismes et de discriminations de ces types sont fréquents dans beaucoup de pays démocratique, surtout en Amérique latine. Malgré la démocratie et l’économie croissant du Brésil il ne faut pas s’étonner que les gens protestent.

samedi 29 juin 2013

La poésie de code 2

Partie 1

Les langues de haut niveau ressemblait pendant long temps des listes de commendes à exécuter, l’un après l’autre. Cette structure imitait en quelque sort le fonctionnement du processeur, d'abord si, puis ça, dans une liste longue et monotone. 

Bientôt, il est devenu de plus en plus populaire d’organiser les programmes en sous-programmes ou fonctions. Cela rendait les logicielles plus structurés, et surtout, ces petites rutines était facilement réutilisable. Les informaticiens sont devenus maitre de recyclage. Un certain nombre de telles langues sont apparus et ont connu des degrés de popularité variable.

 
Code écrit en C

La langue Pascal est apparue dans les années 1970 80. Elle a vite était accepté comme la langue des professionnels, bien au dessus les autres. Mais, chez les profondément initiés cette position n’a pas duré longtemps. La langue C avec son aura de hacker a bientôt pris la tête chez eux. Elle semblait très compliqué et savante à cause des nombreux parenthèses accolades sur différentes niveaux qui la rendait presque illisible pour les non inities.

Sub Factorial_Call()
 n = InputBox("Type the value for n:", "VB Samples: n!")
 If IsNumeric(n) = True Then
  If Int(n) = n Then 
      valReala = Factorial_Iterativ(n)
      Raspuns = MsgBox("The Factorial is: " & valReala, vbInformation + vbOKOnly)
      valReala = Factorial(n)
      Raspuns = MsgBox("The Factorial is: " & valReala, vbInformation + vbOKOnly)
   End If
  End If
End Sub

Code en BASIC

Au plus bas sur l'échelle de véhémence était BASIC, Beginners All-purpose Symbolic Instruction Code. La simplicité et manque finesses structurelles donnait les utilisateurs un aura de amateurs. Aujourd'hui, il existe des dialectes de BASIC modernes qui sont excellemment structurée mais cette langue a du mal à se libérer de son stigmatisation.

Des nouvelles idées sont constamment apparues sur la façon dont on devrait décrire la communication avec les ordinateurs. Une était la programmation fonctionnelle qui est basé sur l’idée que plus ou moins tout dans un logiciel peut se décrire avec des fonctions, un peu comme une langue exclusivement basé sur verbes. Un équivalent dans le monde de langues parlées serrait les langues sémitiques, l'hébreu et l'arabe, où les verbes ont des conjurations énormément complexe.

(defun factorial (n)
  (if (= n 1)
      1
      (* n (factorial (- n 1)))))

Un fonction écrit en LISP

Le plus connu dans cette catégorie est LISP où le code dans sa plus grand partie consiste à « defun », l’ingérasse pour une définition d’une fonction. L’énorme quantité de parenthèses est vite devenue un problème. Mais, les éditeurs modernes sont malin et quand le souries et sur un d’elle son correspondant, soit à gauche ou à droit change du couleur. Les adeptes de programmation dans cette manière montraient parfois un dévouement extrême. Un exemple est une chanson avec le titre God wrote in Lisp.  À une autre époque on croyait que Dieu parlait l'hébreu, mais les temps ont changés.

Ces langues folles de verbes en impérative, faites ceci faites cela, ont eu la concurrence de langues qui commençaient à apprécier le charme de ce qu'on pourrait appeler les noms du monde informatique. Le résultat de cette évolution a été la programmation dite orientée vers objets. Tout a commencé en Norvège, où ils ont créé le Simula une langue qui contrairement à beaucoup programmation précédente à considérer des choses comme l’élément central, non seulement des événements.

Les objets sont des représentations abstraites des phénomènes remplie des choses. Un objet peut héberger un peut de tout, variables fonctions et même d’autre objets. Un objet pour un bouton sur l’écran  peut par exemple héberger la taille, la couleur, le texte et une fonction qui changent les ombres des bordures quant il a été appuyé. Il est facile à réutilisé et la complexité ne salit pas les essentielles dans la logiciel. Les langages de programmation ont finalement atteint que les noms sont des choses, comme vélo, ballon et bouton, et la possibilité de décrire ce qui se réellement doit se passer avec eux.

Des langues influents orientée vers objets tels que C + +, (prononcé : C-plus-plus), ont fait une tempête dans les années 1990. Remplie d’objets et classes, (une collection d’objet mais parfois l’objet lui-même), ils sont devenus progressivement carrément artistique. La langue Java est encore si intransigeante que le logiciel lui-même est une classe.

Bien que les langues de programmation soient devenues plus performantes et plus complexes, celui que je personnellement trouve le plus esthétiquement fascinant est la Forth. Elle n’est pas si populaire aujourd'hui, mais elle a eu son heure de gloire. Le Forth serrait Fourth pour exprimer une langue de la 4eme génération mais le «u» manquant s’explique par manque de place dans des ordinateurs encore assez primitives. Surtout, cette langue utilise ce qu'on appelle la notation polonaise inversé. Quand on dans une langue normal écrirt A=2+3 le formule en Forth est 2 3 + A =.  Cette langue est aussi connue pour être exceptionnellement compact mais malheureusement aussi presque impossible à lire. Un petit programme, (intitulé GCD et écrit par Hans Lunell), qui calcule le plus grand diviseur commun de deux nombres en Forth peut s’écrire par la formulation concise suivant :

: GCD BEGIN SWAP OVER MOD ?DUP 0 = UNTIL ;

Si cela n’est pas de la poésie, que l’est ?

vendredi 28 juin 2013

La poésie de code 1

De communiquer avec des ordinateurs dans leur langue maternelle, le code binaire, n'est pas le plus facile. Pour ceux qui déroute sur l'humour de maths ringard : Il y a 10 sortes de gens, ceux qui comprennent les nombres binaires et ceux qui ne le font pas.

La langue d’un ordinateur est le code binaire. C’est un code entièrement composé de uns et zéros. Le processeur de l'ordinateur, le cerveau, ne comprend que ces chiffres qui sont des commendes pour effectuer quelques taches. Au fond ils sont peu nombreux et très simples. Le minimum est 7 instructions arithmétiques, dont addition, comparassions, manipulation du mémoire et quelques autres. Sur ce niveau le processeur est bette mais très travailleur. Mais, presque tous les processeurs sont entourés par des centaines de séquencés programmés qui à partir des instructions les plus primitives sont capable à faire plus, par exemple multiplication.

Ces instructions constituent la langue maternelle, celles qu’un processeur dispos depuis sa naissance. Peu de monde écrit aujourd'hui des instructions dans ce code mais dans la jeunesse de l’informatique il a parfois été nécessaire.

Cela était difficile, fastidieux et n’a pas laissé beaucoup de place pour créativités linguistiques. Pour le processeur de Motorola 68000 le message 0100 1110 0111 0101 signifiait par exemple qu’il fallait revenir au programme principal à partir d'un sous-programme.

Pour faciliter la tache il est possible de passer dans un autre système de numération, le hexadécimal. Il est dit que les extraterrestres ont 16 doigts et qu’ils par cette accident de la nature serraient plus alaise dans ce système. Il s’agit de remplacer les chiffres 10 à 15 avec icones, n’importe lesquelles, mais pour la simplicité les lettres A à F. La traduction du message ci-dessus devint dans ce cas plus compact mais naturellement toujours complètement incompréhensible pour les non initiés, 4E75.

La première communication entre hommes et machines qui avait une faible ressemblance avec une langue s’est produit avec la naissance d’assembleur. Ce terme désigne une langue où les instructions digitales sont remplacées par des petites sténographies symboliques. Donc, RTS ou lieu de 4E75. Pourtant, le processeur n’en comprend rien et pour le traduire il faut un logicielle. Dans la terminologie des informaticiens il est appelé un compilateur. Il traduit la langue assembleur en code hexadécimal, qui par un autre traducteur, inclus dans le processeur, est interprété en code binaire. Voila la séquence, des 3 étapes et 2 traducteurs, dont presque toutes les langues informatiques dépendent.

La complication est que tous les processeurs n’ont pas la même langue maternelle. Pour contourner ce problème il y a un genre d’esperanto généré par la langue Java qui en exécution est traduit à une code spécifique pour chaque type de processeur. Donc, dans le Java, il n’y a plus le besoin de compiler une version pour Windows et un autre pour Macintoche, qui dans des applications sur le web considérablement facilite la tâche.

Les langues maternelles d’ordinateurs ne sont pas des bonnes candidates pour le prix Nobel en littérature. Linguistiquement elles ont une distorsion considérable dans le vocabulaire. Les impératifs du verbe dominent et les noms sont plus rares. Pour ces dernières il pourrait s'agir d’une adresse dans la mémoire ou par un nome des registres dans la petite mémoire central du processeur où de bric et de broc constamment sont traités. De la poésie agréable ne se produise pas dans une langue aussi pauvre.

Mais, les langages de programmation ont rapidement dépassé le stade de : Parler avec les savants en latin et avec des ordinateurs en la langue machine. Des langues de haut niveau sont très vite apparues. Elles sont beaucoup plus abstraites et moins clairement lié au processeur. Ces langues ne sont pas indigènes aux processeurs mais une sorte de langage symbolique raffinée qui se situent quelque part entre la langue humain et le code de la machine. Elles sont nombreuses. Un des plus anciennes est ALGOL, né en 1950, et rapidement suivie par beaucoup d'autres.

Toutes ces langues ne font rein que d'exprimer des algorithmes. Le mot algorithme vient du nom du mathématicien arabe médiévale Al-Khwarizmi. Il s'agit simplement de décrire d'une méthode qui par étapes effectue une tâche. La chose n’est pas simple car les ordinateurs sont bettes et surtout, ils ne savent pas lire entre les lignes. Il faut que les instructions soient très précises.

Voici un exemple structurelle mais dans tous autres aspectes imaginaire :

NAME : Faire cuire et manger la pomme de terre ;
  Placez les pommes de terre dans la casserole ;
  Ouvrez le robinet ;
  REPEAT versez l'eau dans la casserole UNTIL casserole=plein ;
  Fermez le robinet ;
  Mettez la casserole sur la plaque chauffante ;
  Allumez le feu ;
  Mettez le couvercle ;
  REPEAT chauffez l'eau UNTIL l’eau=bout ;
  Réduirez le chauffage ;

  LABEL : Ebouilliez ;
  Faites cuire les pommes de terre ;
  Essayez la dureté avec une fourchette ;
  IF pommes de terre=dur THEN GOTO Ebouillez 
     ELSE étendrez la plaque et videz la casserole d’eau ;
  Placez les pommes de terre sur une assiette ;
  REPEAT
    Coupez les pommes de terre en morceaux ;
    Ouvrez la bouche ;
    Mettez les morceaux dans la bouche avec aide de la fourchette ;
    Mastiquez ;
    Avalez ;
  UNTIL assiette=vide ;
END : Faire cuire et manger la pomme de terre ;

Peut-être ne pas de la grande poésie, mais quand même…

jeudi 27 juin 2013

Biomimétique


Des machines qui volent comme libellules, des bras robotiques qui imitent le tronc d’éléphants ou des véhicules de sauvetage qui se déplacer sur 6 jambes. Tous sont des exemples de produits développés ou en cours de développement ces dernières années. Il s’agit de la biomimétique, c’est-à-dire de se laisser inspirer par la nature.

L’intérêt est croissant et ce n'est pas si surprenant. La technologie utilisée par les animaux a évolué au fil des millions d'années et c’est pourquoi ils sont aussi bien adaptés qu’elles le sont aujourd'hui.

Voici quelques exemples :


La société allemande Festo a construit le robot Bionicopter qui imite vol de libellule. Foto: Festo.


La même entreprise a aussi développé un bras robotique inspiré par le troc d’éléphantes. Le bras a trois doigts intégrés munis de capteurs conçus pour réduire la pression sur objets délicats. Avion = Appareille Volant Imitant Oiseaux Naturelle. Foto: Scanpix.


 La barge rousse est plus efficace qu'un avion à convertir énergie chimique en énergie de vol. Cela fascine les ingénieurs et les biologistes qui essayent de découvrir comment le processus fonctionne. Foto: U.S. Fish and Wildlife Service.

 
Avec caméras à haute vitesse une équipe de chercheurs du Georgia Institute of Technology a étudié comment des fourmis se promènent. L’idée est que les mouvements rapides et les corrigions fait pour garder l’équilibre pourrait être utiles pour des robots de sauvetage en terrains difficiles. Foto: Stephen Ausmus / USDA.


Le bombardier commun se défend en éjectant de la vapeur chaude de l'arrière de son corps. Il est un modèle pour chercheurs qui sont en train de développer un nouveau principe d’injecter le carburant dans des moteurs diesel. L'insecte génère de la vapeur en utilisant de la chaleur et ne pas de la pression, qui est le cas dans les moteurs d'aujourd'hui. En cas de réussite cela signifiera des injecteurs moins chers et des moteurs moins gourmands en énergie. Foto: Swedish Biomimetics 3000.

mercredi 26 juin 2013

Ferme de prêtre

Le clergé jouait un rôle majeur au Moyen Age. Les représentants appartenaient à la noblesse spirituelle et étaient exemptés d’impôts parce qu’ils aidaient les gens avec des services religieux.

Les gens ordinaires rencontraient le prêtre dans toutes les situations de la vie, du baptême à l'enterrement. Ils le croisaient à l'église le dimanche et dans des nombreux contextes quotidiens. Le prêtre enseignait, distribuait le pain sacré et le vin et racontait des histoires sur saints, mais il était aussi présente dans la vie quotidienne remplie de travail acharné et efforts. Les gens pouvaient aussi se confier à un prêtre. Il écoutait, donnait pardon pour péchés et aussi des bons conseils sur la façon de vivre. Le prêtre était très présent dans la vie de ses paroissiens et il les connaissait bien.

Il y avait une grande différence entre un évêque et un prêtre rural. Les évêques et les prêtres des villes avaient une longue éducation, souvent dans une université à l'étranger. Ils savaient le latin et venaient le plus suivant d'une famille bourgeoise ou noble. Les évêques avaient aussi des places dans le conseil du roi et il écoutait ce qu'ils avaient à dire. Un prêtre rural n'avait pas la même formation et sa connaissance du latin était beaucoup plus rudimentaire. Il était généralement le fils d'un bourgeois ou un paysan. Sa vie ressemblait beaucoup celle d’un agriculteur ordinaire.


Déjà dans les lois provinciales médiévales il y avait l'obligation pour la paroi de fournir le prêtre avec une terre et des bâtiments. Ces devoirs variaient selon le coin du pays. Par fois il devrait y avoir 4 bâtiments, le principale, l’héberge, la grange et le grenier, par fois plus. Les paroissiens étaient également responsables pour la maintenance des bâtiments. Donné qu’ils presque tous était de bâtiment en bois il n’en reste peu du Moyenne Age. Mais la coutume à survécu des siècles. 

Une ferme de prêtre

Le comble était le début des années 1800. Dans cette époque les paroissiens arrangeaient des bâtiments entourait de grands jardins, potagers, arbres fruitiers, arbustes et parcs. Peu d’entre eux sont encore habitable car ils sont très cher à chauffer, les murs un bois sont suivant pourrit et des facilités modernes comme salle de bains manquent. Pourtant, l’obligation de la paroisse de fournir le prêtre avec un logement reste mais aujourd’hui ils sont plutôt des appartements.  

 Maison d’un évêque

La situation pour les évêques est un peu mieux. Leurs bâtiments ont le plus suivant était bien entretenus même si des complaintes ne manquent pas.

Palliais de l’archevêque

Le plus somptueux bâtiment de tous est le palais de l’archevêque. Il a été édifié en 1691 mais depuis sujets de nombreuses rénovations.   

mardi 25 juin 2013

La dîme


Les impôts ne sont pas une nouveauté. La dîme, c’est-à-dire de payer une dixième de ses revenues est déjà mentionné dans l'Ancien Testament. Dans l'église primitive, bien avant que l'église chrétienne avait été formellement fondée, la dîme était une cotisation facultative.

 Grange de dîme en France


À partir des années 500 le haut ecclésiastique insistait que la dîme serait obligatoire. Pendant le temps de Charlemagne, vers la fin des années 700, cet impôt est devenu pratique courant à travers une grande partie de l'Europe. Il a été suivi par des siècles de querelle entre prêtres, religieux et laïcs au sujet à qui la dîme locale appartenait.

En Suède il n’est pas exactement connu quand la dîme une fois pour toutes a été acceptée. Dans le sud du pays les historiens estiment qu’elle est devenue générale vers la fin des années 1100 car les paysans résistaient le plus longtemps que possible. Plusieurs évêques ont encore au début des années 1200 dû avertir ses sujets de payer la dîme. Dans les provinces d’est, aujourd’hui la Finlande, la dîme a été introduit à la fin des années 1200. Aussi là, il a fallu un certain temps avant que l’impôt soit accepté. Dans des lettres, envoyées le 23 Août 1329, le roi d’époque, Magnus Eriksson, a ordonné les habitants de Tavastland, Karelen, Savolax, Salo et Kemi de payer la dîme.

Étant donné que les sources historiques seulement révèlent les règles à appliquées et non sur la façon dont elles ont été suivi, il est impossible de savoir à quelle degré les dîmes ont été dur pour les citoyens pendant cette époque. Néanmoins, pour les années 1300 et 1400 il est connu que la dîme a été l'objet de négociations et compromis et que certains agriculteurs se sont endettés à l'église parce qu’ils ne pouvaient pas la payer.

La dîme a été la ressource principale pour la construction d’églises en pierre. Le besoin de frontières bien définit entre paroisses augmentait avec la taille des revenus collecté et un grand partie sont les même aujourd’hui. L’impôt a canalisée une richesse croissante à l'église et les moyennes pourraient être transmises à la construction d’églises et décorations. Il est donc peu surprenant que des règles strictes sur ces dépenses ont surgi.

Un principe fondamental était que la dîme devait être divisée en trois parties, un tiers pour le curé personnellement et les deux autres répartis entre l'église et les pauvres. Pour la plupart des prêtres la dîme a été la principale source de revenu, c’est-à-dire ce que nous appelons salaire.

Les relations de pouvoir dans la communauté étaient cruciales pour le partage de la dîme. Il s'est réellement passé que des prêtres influents ont réussi garder la moitié. Le plus éloigné du centre du pouvoir qui était la paroisse, le plus difficile il était pour l'évêque à recevoir sa partie. Parce que l’île de Gotland était fort paysan et à la périphérie du diocèse, les insulaires ont décidé que l'évêque n'avait pas le droit de récupérer aucune partie de la dîme.

La partie de la dîme utilisée pour la construction de l'église est finalement devenu importante pour les agriculteurs. Car, une fois que l’église avait été édifié et les livres liturgiques et les bougies acheté, les recettes dépassé les dépenses, qui a rendu possible pour paysans d’emprunter de la dîme. L’église a dans ces cas fonctionné comme une banque.

La part pour les pauvres, certes sur un niveau faible, correspondait à ce qu'on aujourd’hui appelle service social. S'il n'y avait pas de pauvres il est devenu difficile de réclamer cette partie de la dîme. Dans certains coins du pays les gens avaient pour habitude d’intégrer les pauvres dans leurs foyers et dans ces cas ils refusaient de payer ce tiers. Mais, l’église avait dans ces cas la ruse de redéfinir pauvreté. Vers la fin du Moyen Age, il est devenu assez fréquente que l’église payait des séjours dans une université étrangère pour des étudiants doués.

La dîme n’était pas le seul impôt à payer. Les charges variaient beaucoup entre diocèses et districts. Dans les années 1200 il y avait en Finlande une taxe que chaque ferme devrait payer, nommée « matskott ». Elle allé directement aux curés et était composée d'une redevance fixe en soit du beurre soit du seigle. Dans l’ouest il y avait une forme spéciale nommé dîme principale. Cet impôt est aussi connu de la Norvège et de l'Islande. La dîme principale était calculée à partir de la richesse totale en cas d’héritage, consécration des églises et, en réalité, aussi comme une amende si quelqu’un avez commis un péché grave.

Un agriculteur pouvait payer sa dîme en argent, mais cela n’était pas l’habitude. Les lois provinciales proscrivaient des produits à payer. Les lois des années 1300 de Dalarna mentionnent grain, veaux, agneaux, oies, cochons, pois, houblon, lin et poissons. En Hälsingland, où la chasse et la pêche étaient d'une grande importance, la dîme pourrait être payée en phoques, fourrures et saumons.

  Grange de dîme dans le nord de la Suède

En 1527 le Suède est devenue un état protestant et tous les pouvoirs religieux ont tout d’un coup été transférés au roi. Ce changement a eu des effets énormes sur la société. Les confiscations des biens de l’église n’ont pas tardé. Mais, la source de revenus, la dîme, était trop important pour être abandonné, elle a seulement pris une autre forme. Désormais, 2/3 de la dîme apparierait à l’état mais les prêtres, maintenant appelés pasteurs, ont pu garder leurs tiers. Il a fallu attendre jusqu’au 1910 avant que ce pratique soit abandonné.

lundi 24 juin 2013

Blasphèmes

L'année dernière ils sont 99 individus d’avoir été condamnés par les tribunaux maltais pour blasphème publique. C’est un peu moins par rapport à l’année passe, 119 condamnations. 

L'information fait partie du rapport sur les pratiques des droits de l'homme, établie par le Département d’État américain.

La législation maltaise interdit diffamation et actes offensives ciblant l'Église catholique, qui aussi est la religion officielle de Malte.

Dans ce pays il est une infraction criminelle de publiquement prononcer des mots obscènes ou indécents, faire des actes ou gestes obscènes ou de toute autre manière offenser la morale publique, la bienséance ou la décence. Sans surprise, la plupart des affaires blasphèmes sont portées par l’église catholique et ils comprennent souvent des accusations d'obscénité ou l'indécence.

Un cas qui a fait des rubriques a eu lieu en 2009. Quand au carnaval annuel 7 personnes ont été arrêtées pour « dénigrement de la religion catholique ». Les sujets, dont 6 femmes et 1 homme, avaient été habillés comme des religieuses et Jésus. Les évêques locaux ont trouvé cette manière terriblement insultant et ils ont appelé à une action en justice à la défense des droits de la majorité. Les femmes costumées ont ensuite été acquittées parce que le tribunal a considéré que les religieuses ne sont pas « prêtres de la religion catholique », et ne donc pas protégés par la loi. Cependant, l'homme a reçu une peine d'emprisonnement avec sursis d'un mois.

La loi française voit depuis long temps le sujet autrement.

Les articles 10 et 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ont aboli la notion de blasphème comme tel. Il ne peut y avoir de sanction que lorsqu'il y a abus ou trouble à l'ordre public. « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi » (article X). « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi », (article XI).

Selon une étude par le Pew Forum 8 des 45 pays européens ont des lois contre le blasphème, tandis que 35 d'entre eux ont des lois contre la diffamation de la religion en général ou discours de haine contre les membres d'une confession.

Les 8 pays sont Danemark, Allemagne, Grèce, Irlande, Italie, Malte, les Pays-Bas et Pologne. Une loi sur le blasphème en Angleterre et Pays de Galles a récemment été abandonnée, en 2008. Les Pays-Bas et l'Irlande envisagent sérieusement l'abolition de leurs lois sur le blasphème, tandis que la loi, vieux de 50 ans, en Danemark n'a jamais été utilisée.

dimanche 23 juin 2013

Histoire de la langue anglaise


Je viens de regarder l’histoire de la langue anglaise sur youtube. La vidéo explique beaucoup de choses.


Lorsque Jules César a envahi la Grande-Bretagne en 54 AJ, l’île était habitée par des tribus Celtes. Leurs langues sont encore parlées dans quelques coins en Écosse, Irlande, Pays de Galles et Bretagne.

La Grande-Bretagne a resté sous le tutelle des Romains pendant plus de 400 ans. Ils sont partie vers les années 500. Trop faible pour se défendre les celtes ont été repousse vers les périphéries de l’île par des tribus germanique venant de la côte nord d’Europe. Les Angles, Saxons et Jutes parlaient des dialectes germaniques qui plus tard se développeront à Allemand et les langues Scandinaves.


Les Vikings sont venu en 793. Cette invasion a été très sanglante et a fini par un divisons de l’île. Pourtant les Vikings n’étaient pas seulement des guerriers mais aussi des marchandes qui grâce à ses bateaux pouvaient transporter des produit en quantités importants. La population commençait de se mélanger et la langue a changé. Beaucoup de mots Scandinaves se sont intégré dans la langue anglo-saxonne. Plus remarquable encore, la langue des Vikings ont eu un impact sur la structure de la langue anglais. Les prépositions, antérieurement marqué comme suffixes, ont été introduit et l’ordre des mots dans les phrases a pris une séquence plus Scandinavie.

La prochaine invasion a été celle des ex-Vikings, les normandes, qui a culminé avec la bataille de Hastings 1066. Guillaume le Conquérant et ses patriotes parlaient du Français et cette langue dominait bientôt les cercles de pouvoirs. Elle a beaucoup réduit anglais et Angleterre était sur le chemin de devenir francophone. Un événement historique a changé la donne. En 1201, le roi de France, Philippe Auguste a confisqué le Duché de Normandie. Les francophones en Angleterre ont tout d’un coup été coupés de leurs bas sur le continent. Il est dans ce contexte que l’anglais a pu se redresser même si la langue maintenant avait absorbé un important nombre de mots français.

Est-ce que la langue anglaise est un créole ? Si ces changements bouleversants auraient eu lieu plus tard dans l’histoire la langue serrait surement a été considéré comme un créole.  

samedi 22 juin 2013

Le piège Kodak



Il y une dizaine d’années que des appareilles de photo jetable du marque Kodak étaient vendu chez chaque les buralistes. Depuis, la marque est disparu dans l’ombre de sorte qu’elle probablement n’est plus connue par la jeune génération. La marque existe encore mais elle est loin de ses jours grandioses. 

Il n’est pas que Kodak a manqué la technologie digitale. Un petit élit d’ingénieures l’avait mis en place mais la nouveauté a pris le reste des employés avec surpris. Ils ne savaient pas quoi en faire. La chute a été brutale et l’effet est depuis appelé le piège de Kodak.


Kodak n’est pas la seule victime d’un changement de technologie. La liste est longe Nokia, Hasselblad……….Lorsque un conflit entre le nouveau et l’ancienne apparaisse, c’est celui que génère des profits qui a l’avantage. Pourquoi les risquer avec investissement dans le nouveau ? C’est ce facteur conservateur qui est le piège.

Pour aider les entreprises de préparer leurs avenirs le consultant Mckinsey a publié une liste de technologies qui sur l’horizon 1025 sont préalables de fondamentalement changer les donnés.

1.     Internet mobile
Quelques milliards personnes sont sur le chemin de se connecter, dans toutes les couches sociales et sur tous continentes.

2.     Services automatisés
Les ordinateurs gagnent constamment d’intelligents. Ils remplaceront des services autrement fait par personnes un peu par tout, dans le monde commerciales comme dans les systèmes de santés.

3.     L’internet des choses
Il rendra possible de contrôler et manipuler des appareilles de tout genre, de lits des hôpitaux aux containers.

4.     Services du nuage
Les plus part des logicielles vont migrer vers le nuage. Le résultat sera plus d’efficacité et moins de coûts.

5.     Robots avancés
Les robots, remplaceront beaucoup de travaux manuels.

6.     Voitures autoguidés
Des véhicules sans conducteurs abaisseront les accidentes et les émissions de CO2.

7.     Modifications génétiques
Les DNAs artificielles pourront servir à fabriquer des nouvelles substances.

8.      Stockage d’énergie
Des batteries plus performantes vont augmenter la flotte des voitures électriques. Suit à ce développement les énergies renouvelables, comme le vent et le soleil, seront mieux utilisés.

9.     Imprimant 3D
Une technologie qui se développe rapidement. Elle sera bientôt utilisée dans la production.

10.            Matériaux avances
Par exemple le graphène qui peut améliorer les batteries et les panneaux solaires.

11.            Extraction de gaz et pétrole
La technologie de fraction permettra de mieux utiliser les ressources existantes.

12.            Énergies renouvelables
De captiver l’énergie du vent et soleil vont s’étendre. Extraction d’autres ressources comme par exemple les vagues sont en développement.

vendredi 21 juin 2013

La maladie hollandaise


Contrairement à la maladie anglaise, (autre manche connu comme la maladie français), la maladie hollandaise n’est pas une affliction honteuse.

Lorsque les hollandais durant les années 50 - 60 ont trouvé du gaz naturel, beaucoup pensaient que l'avenir du pays serrait assuré mais le contraire s’est produit. Certes, les exportations de gaz ont monté en flèche. Mais, le Florin, leur monnaie de l’époque, a malheureusement suivi la même trajectoire. Elle a monté si fort que toutes les autres exportations ont été paralysés. Ce phénomène économique est aujourd'hui appelée le syndrome hollandais.

Des gisements de l’or noir provoquent suivant le même phénomène - la malédiction du pétrole. La plupart des pays qui ont ces typés de dépôts souffrent. Les profits restent dans les mains d’une élite, la corruption augmente, l'inflation frappe les plus pauvres et d’autres industries ne peuvent pas payer les même hauts salaires que l’industrie pétrolière. L'Angola et le Nigeria sont deux exemples de pays durement touchés.

Pourtant, il y a une exception scintillante, la Norvège. Les politiciens de ce pays ont été assez intelligents pour ne pas dépenser les profits sur des projets extravagants. Au lieu, ils ont placé une grande partie des revenus dans un fond.

Il est maintenant immense et comprend actions, titres de créances et obligations. La valeur est estimée à un peu plus de 500 milliard d'euro, qui distribué parmi les citoyens serrait 100 000 euros pour chaque un. Selon un calcule fait par Financial Times les norvégiens serraient propriétaires de 2,5 % de toutes les entreprises en Europe.

La politique norvégienne a fait ses preuves, mais les décideurs doivent partager une grande partie de l'honneur avec un géologue iraquien, Farouk al-Kasim. En 1968, il et sa femme norvégienne ont décide de se rendre en Europe pour que l'un de ses fils, handicapé, puisse être soigné.

Il pensait gagner sa vie comme chauffer de taxi. Au lieu, il a été embauché par le gouvernement norvégien pour évaluer les rapports indiquant qu'il n’y avait pas de pétrole au large des côtes. Il a découvert l'erreur et toute une démarche pour l’extraire á débuté.

Les Norvégiens réalisaient que des milliards commenceraient à remplir la caisse d’état et ils se sont demandé comment évités les problèmes classiques. Farouk al-Kasim et ses collègues ont rédigé plusieurs rapports de conseilles. Entre autres ils proposaient d’ouvrir les gisements graduellement et qu'une grande partie de l'argent devraient être fondé.

L'industrie pétrolière a protesté. Pourquoi ne pas appuie sur l’accélérateur ? Mais, les politiciens ont résisté à cette tentation populiste. Au lieu ils se sont engagés dans l’art difficile de maîtrise de soi.

Apres plusieurs décennies d’exploitation la stratégie est encore intacte. Dans le parlement il n’y qu’un partie populiste qui propose d’investir les fonds dans les systèmes d’éducation, santé et services sociaux. La tentation est évidente et dans toutes les compagnes électorales les autres politiciens font leur mieux pour convaincre le peuple que l’idée est dangereuse.

Le boom pétrolier a créé une énorme demande de main-d'œuvre. Ne pas moins que 80 000 suédois travailler dans le pays voisin. Ils sont engagés un peu par tout mais les conditions sur les plateformes pétrolières sont particulièrement favorables. Un calendrier typique est 2 semaines de travaille, 3 semaines de congé, 2 semaines de travail et 4 semaines de congé et le tout pour un salaire considérablement plus élevé qu’en Suède.

Pourtant, des nuages sombres commencent d’apparaitre sur l’horizon. Les sources se vident lentement et la production baisse. Des nouveaux gisements ont été trouvés mais certains experts pensent quand même que la production cessera vers les années 2035 – 2040. Le défi est de dresser une activité industrielle qui sera capable de prend le relais quand le pétrole n’y est plus. Il faut en penser maintenant.

jeudi 20 juin 2013

Le béton romain


Des bons ports étaient cruciaux pour la stabilité politique militaire d’empire romain. Un de ces constructions est maintenant immergé dans la baie Pozzuoli prés de Naples.  

Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie, Berkeley, a récemment examiné un échantillon. Le béton s’avérait composé d’hydrate de calcium-aluminium-silicate qui l’a rendu extrêmement stable. Après 2000 ans dans la mer ce béton n’avait pas encore des faiblisses. En effet, si cette construction aurait été réalisée avec de la technologie moderne, le ciment Portland, il n’aurait duré qu’autour de 50 ans.

Le processus de fabrication de ciment Portland nécessite de brûler calcaire et argile à une température très élevé, 1450 C. 7 % des émissions de CO2 du monde proviennent de cette source. La fabrication de béton romain se fait a une température plus bas, environ 1000 C, qui le donne une empreinte environnementale moins important.

La recette est connue et décrit par Marcus Vitruvius Pollio environ 30 AC.  Il était ingénieur chez Octave, plus tard devenu empereur Auguste. Les ingrédients principales sont cendre volcanique, chaux et l’eau, qui ensemble forme une masse plastique, le mortier. Pour construire les romains remplissaient des moules de bois immergés dans l'eau de la mer avec le mortier et des pierres. Contrairement au béton de Portland, le sel rende ce béton plus fort.

Le béton des romains est extrêmement durable mais le grand désavantage est qu’il durcit très lentement. Ce fait le rend difficilement utilisable pour des constructions modernes. Mais, il y aura peut-être des applications nichées, telle que constructions sur îles volcaniques.

mercredi 19 juin 2013

Technologie pour enfants


L’usage de la technologie se fait à plus et plus jeune âge. Une amie m’a raconté que sa nièce, 4 ans, déjà est un virtuose sur des ordinateurs d’écrans tactiles. Avec l’introduction de karaoké-livres il est possible de stimuler les encore très jeunes.

Un karaoké-livre est un livre classique avec des textes de chansons mais aussi doté d’une électronique ingénieuse pour l’accompagnement. Voici un produit pour enfant qui à peine coûte 20 €. Le contenu est des chansons traditionnelles pour des petites enfants qui, pour stimuler la capacité motrice, aussi sont accompagnés par gestes. Les tout jeunes aiment ce genre d’activité. Voici un exemple :


La minuscule toute petite araignée
À son fil a grimpé
La pluie est tombée
Et a emporté l'araignée
Le soleil est arrivé
La pluie il a fait sécher
Et la minuscule toute petite araignée
A regrimpé.

mardi 18 juin 2013

L’alphabet anarchiste

On dit suivant que nous écrivons nos langes avec l’alphabet latin. Il est vrai que le squelette a ses origines dans le latin mais il y a aussi d’autres influences. 

L'ensemble des caractères montre comment le système est anarchique. Les romains avaient hérité un alphabet étrusque. Au début ils n’utilisaient que 20 lettres mais plus tard ils ajoutaient 3.

Variante archaïque :
A, B, C, D, E, F, H, I, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, V, X

Variante classique :
A, B, C, D, E, F, G, H, I, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, V, X, Y, Z

D’où lettres grecques :
K, Y, Z

L’idée fondamentale était que chaque lettre désignerait un son unique. De la mettre en œuvre c’est rapidement avéré impossible. La prononciation de X ressemblait par exemple celles de K et S. Le Q et le C sonnaient exactement de la même manière et pour encore compliquer la situation un troisième lettre, le K grecque, a été introduit. Le Z n'avait aucun avantage direct de car il ne remplaçait que le S mais c'était un icône amusant.

Variantes :
I, J – V, U, W

Le I et le J ne sont que des variations sur le même thème. Etrangement un est considéré comme une voyelle est l’autre comme une consonne. De même, les trois variantes classiques de V, ont dans les langues modernes pris différentes fonctions.

Donné que les sons sont plus nombreuses que les lettres, nous avons été forcé de d’employer des combinassions de 2 ou 3 lettres pour certains sons. La situation du français le montre bien.

Les 6 voyelles françaises :
A, E, I, O, U, Y

Les 16 voyelles phonétiques françaises :
a, ɑ, e, ɛ, i, o, ɔ, u, y, ə, œ, ø, ɑ̃, ɔ̃, ɛ̃, œ̃. 

Le suédois a une solution à ce problème qui n’a pas séduit les pratiquants d’autres langes. A la fin d’alphabet est ajouté :
Å, Ä, Ö - En français : O, È, E

Les 9 voyelles suédoises :
A, O, U, Å, E, I, Y, Ä, Ö

Il est évident que cette spécificité ne résoudre pas le problème. Néanmoins, mon opinion est qu’elle facilite les choses, en tout cas sur un clavier suédois. Autrement, c’est de l’anarchie moderne. Les ordinateur portable a un peu atténué la difficulté mais je me souviens de l’époque quand je pendant mes voyages professionnelles avait besoin de communiquer avec mes collègues sur claviers d’origines divers.

Etrangement la signification de séparateurs et d’autres icônes, (, :  ; ? / \ @  # ......), est le même par tout, sauf l’étrange point d’interrogation espagnole, ¿, (shift+ctrl+alt+ ?). Mais, donné qu’ils sont très fréquent dans les langues informatiques et que le placement des touches sur touts les différentes variantes de claviers est absolument chaotique, il est presque impossible de codifier avec une bonne vitesse sur un ordinateur de nature étranger.

lundi 17 juin 2013

Une tarte de Västerbotten

Les gens du nord aiment bien des plats caloriques. Dans une autre époque où le travaille musculaire dominait, ils en avaient aussi besoin. Il a été estimé que 5000 kcal/jour, environ 2 fois plus que recommandé aujourd’hui, serraient nécessaire pour un bûcheron. 


Mais, la tradition oblige et quand c’est la fête ces plats réapparaissent. Voici la recette d’un vrai classique, la tarte de Västerbotten.

Pâtisserie :
3 tasses de farine
0,5 tasse à thé de sel
125g beurre
1 œuf

Remplissage :
3 œufs
300 g fromage de Västerbotten râpé
2,5 tasses de crème
1 tasse de lait
un peu de sel et poivre noir

1. La pâte : Mélanger la farine, le sel et le beurre, dispersez.
2. Ajoutez l'œuf et mélanger rapidement pour former une pâte. Formez la pâte dans un moule à tarte de 24 cm.
3. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ une demi-heure.
4. Piquez le fond avec une fourchette et précuirez la à 200 degrés pendant 10-15 min.
5. Garniture : Battez ensemble les œufs, le lait et la crème, puis ajoutez le fromage râpé. Assaisonnez avec le sel et le poivre.
6. Versez la garniture dans la croûte à tarte et faites cuire pendant 25-30 minutes dans le four inférieur. La tarte est cuite lorsque le remplissage a cessé d’agrandir est a pris un bon couleur.
7. Décorez avec les herbes aromatiques telles que l'aneth, origan frais ou thym.
8. Servez la tarte chaude.