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lundi 31 juillet 2017

Le sucre ne pas si innocente

Les médecins ont pendant des années nous informé que trop de sucre dans notre apport alimentaire quotidien nous rend obèse et avec l’obésité suive tant des problèmes corporelles. Quelques pays ont décidé de lutter contre cet excès avec des impôts et en France les distributeurs de soda sont maintenant interdits dans des écoles.

La quantité de sucre par jour recommandée est maximum de 90 g ou 22 morceaux. Dans une canette de Coca Cola il y a 35 g ou 7 morceaux. En ajoutant d’autres produits sucrés, telles que yaourt et jus de fruits, ce limite est facile a passé.

Cependant, après tant d’années d’information il semble que les gens maintenant font plus d’attention. Le chiffre d’affaire de Coca Cola est en baisse.

Ce qui est moins connu est que le sucre aussi a un impact sur la santé mentale.

Depuis quelques temps il est connu qu’il existe une corrélation entre une haute consommation de sucre et dépressions. Mais, une corrélation n’est pas une causalité. Il se peut que la maladie elle-même incite à manger plus de sucre. Ces études n’ont donc pas pu éclairer si la cause fondamentale est le sucre ou la maladie.

Une nouvelle étude pour clarifier cette interrogation a maintenant été publiée. Les scientifiques ont analysé les habitudes de prise de sucre de 5 000 hommes et plus de 2 000 femmes pendant une période de 22 ans, entre 1983 et 2013. Is ont constaté que les personnes ayant des problèmes de santé mentale ne sont pas plus susceptibles de consommer plus de sucre que les autres. D'autre part, ceux qui avaient une consommation de sucre significativement élevé, avaient aussi un risque accru de troubles mentaux. La causalité dans cette statistique est en fait assez simple.

Au bout de cinq ans les hommes qui consommaient plus de 67 g, (90 g recommandé en France), avaient un risque accru de 23% de troubles mentaux, par rapport à ceux qui consommaient moins de 39,5 g.

Les gens mangent souvent des sucreries pour remonter leur moral. Mais, cela ne fonctionne pas. Les hommes et les femmes souffrant de troubles mentaux et qui consommaient beaucoup de sucre, avaient un plus grand risque d’une nouvelle dépression au bout de 5 ans, par rapport à ceux qu’en mangeaient moins. Cependant, un fait intéressant est que la consommation élevée de sucre est beaucoup plus endommageant pour les hommes que pour les femmes.

La raison fondamentale est inconnue mais les chercheurs donnent une liste d’explications possibles. Elle inclut le rôle du niveau sautant d’insuline, la circulation de marqueurs inflammatoires et les effets psychologiques d’un corps obèse.  
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Livres écrites par des amies

Les Docks de Marseille
de Hugues Serraf

dimanche 30 juillet 2017

Haut débit connexion via ampoules



La technologie d'envoyer messages avec des rayons de lumière a une longue histoire. Alexander Graham Bell a inventé le téléphone sans fil déjà dans les années 1800 où le son était transmise via de la lumière modulé du soleil. Bell l’appelait son invention le photophone mais il n'a jamais été un succès. Les ondes radio étaient beaucoup plus pratiques. 

 Le photophone

Pendant les dernières quinze années des chercheurs ont peu à peu commencé de à nouveau explorer la possibilité d'envoyer des données via de la lumière visible mais cette fois avec l'aide de diodes électroluminescentes, LED. Contrairement aux ampoules incandescence ou fluorescentes les ampoules de LED réponde très rapidement aux changements de la tension du courant électrique. Ainsi, il est possible d'atteindre des débits de données très élevés. Pour captiver ces signaux il faut évidemment avoir un convertisseur qui les transforme en pulsations électriques.

Cette technologie commence maintenant à quitter les laboratoires. Une poignée de start-up sont en train de développer l’équipement nécessaire pour ce type de connexion rapide. La possibilité attire aussi des grands acteurs d'éclairage. L’année dernière Philips a acheté un de ces start-ups.

Avec la possibilité de conjointement pouvoir diffuser de la lumière et de l’information, l’industrie de l'éclairage espère agrandir leurs marchés. L’éclairage LED est de plus en plus utilisé dans beaucoup d’applications, de phares de voitures aux appareils de bureau. Les conditions nécessaires pour un percé technologique sont donc en présentes. Mais, jusqu'à présent la possibilité n’existe que dans des installations de tests et démonstrations.

Un facteur qui pèse en faveur de cette technologie est que nous nous dirigeons vers une crise du spectre. C’est-à-dire que l'expansion des données dans des réseaux sans fil est si rapide que l'espace ne suffise plus.

Le sauvetage est signalisation par lumière. Car, le spectre lumineux peut porter immensément plus d’information que les ondes radio. Dans des lieux où beaucoup de monde sont connectés simultanément, comme hôtels et aéroports, les réseaux wifi sont déjà surchargés. Une « simple » installation dans l’éclairage pourrait soulager cette pression.

Cependant, pour qu’un tel système fonctionne comme le WiFi il faut que la communication fonctionne dans les deux sens et que les signaux doivent suivre d’une ampoule à l'autre quand les utilisateurs se déplacent dans des grandes surfaces. Les acteurs dans le domaine l’appellent LiFi. Au moins une entreprise, le pureLiFi, est en train de tester un système dans un bureau.

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Les Docks de Marseille
de Hugues Serraf

samedi 29 juillet 2017

Le premier parc d’éoliens flottants au monde sera construit

L’entreprise norvégienne Statoil a pris la décision finale de construire le premier parc d’éoliennes du monde qui flotte dans la mer. Le lieu est 25 km au large de la ville écossaise Peterhead. Vers la fin de l’année il y aura 5 turbines de 6 MW pour le prix de 200 millions euro.

Y compris les pales ces éoliennes s’étendent à 178 m au-dessus de la surface de la mer. Elles sont portées par des flotteurs de la forme légèrement conique et la profondeur de 80 m, qui au bout ont des grands poids, un genre de quilles.

Des éoliennes flottantes existent depuis quelques années mais elles sont tous  expérimentales. Il est probablement aussi le but de ce parc, car si un parc vraiment soit économique il faut plus de 5 turbines. Le but pour Statoil semble être à trouver une alternative à la production de plateformes pétrolières dont il n’y a plus de demande.

L’avantage des éoliennes flottantes est qu’elles ne gênent personne et surtout que en moyenne elles produisent environ 40% de la puissance maximale, contre 30% si localisés sur la terre.

Il existe d’autres idées sur la façon à faire flotter des éoliennes. Parce que ces plateformes automatiquement s’orientent dans la direction du vent, il semble que les nacelles peuvent être fixées sur les tours, qui naturellement facilitent la conception. 


Un de ces idées est très différent. C’est l’entreprise Sea Twirl qui a conçu une éolienne à axis verticale d’où le flotteur est une extension de cet axis qui tourne dans la mer.

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Les Docks de Marseille
de Hugues Serraf