·
Le niveau de revenu par habitant.
·
Le revenu médian.
·
La différence entre les revenus les plus élevés
et les plus bas.
·
Le taux de chômage.
·
L'espérance de vie.
·
La durée des études.
·
La sécurité financière.
·
Taux d'homicide.
·
L'écart de rémunération entre les sexes.
·
Pollution de l'air.
Ces sont des factures que l’Office européen de la
Statistique examine pour déterminer le
bonheur des citoyens dans les pays d’Europe. Les pays Scandinaves sont en
top avec plus de 8 points. La France n’est pas si mal placé, 7,2 points mais
les pauvres Bulgares n’ont que 5,5.
Une explication possible est que la consommation
d’antidépresseurs n’est pas inclut dans la statistique. Dans ce cas c’est les
islandais qui sont en top avec un taux de 10% de la population, en France ils
ne sont que 5%.
Peut-être s’agit-il seulement d’un effet du marketing
de l’industrie pharmaceutique. Elle fait constamment de la pression pour
que tant de personne que possible soit diagnostiqué comme malades. Les critères
américains sont dans Le
Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux mais il semble
aussi être utilisé ici. Dans la dernière version il a beaucoup été critiqué
pour avoir inventé des maladies douteuses, vaguement appelées « troubles ».
Certains psychanalystes français le qualifient comme de la pseudoscience.
Le bonheur est compliqué !
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