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dimanche 30 avril 2017

Des pneus à partir des déchets de nourriture



La technologie automobile progresse à grands pas. Carburants de remplacement, véhicules électriques et véhicules autonomes font partie des derniers progrès. Pourtant, quelle que soit la technologie les voitures roulent encore sur des pneus basés sur la même technologie que lorsque la voiture était jeune.

Un des domaines dont les fabricants doivent avancer est sur des matériaux plus durables. Il est dans ce contexte que des chercheurs d’Ohio State University récemment ont découvert que certains déchets de nourritures peuvent réellement remplacer le noir de carbone dans des pneus.

Le noir de carbone consiste essentiellement de particules de carbone minuscules, produit à partir de la suie. Dans des pneus il est utilisé dans un taux tant élevé qu’environ 30%. Le but est de augmenter la rigidité, minimiser les usures et les fatigues mécaniques et aussi à protéger contre les néfastes rayons UV.

Cependant, les chercheures ont maintenant découvert que de la peau de tomates et coquilles d'œufs sont des excellentes remplaçantes pour le noir de carbone. Des tests avec divers mélanges de ces deux composants ont effectivement démontré une meilleure performance que pour le noir de carbone.  

Les avantages sont triples : La production de pneus devient plus durable, l'utilisation du pétrole pour produire de la suie n’est plus nécessaire et des déchets n’auront plus besoins d’être envoyés aux décharges.

Pourtant, la source envisageable n’est pas les tables de petit-déjeuner dans des foyers mais l’industrie alimentaire. La moitié des de 100 milliards d'œufs qui sont produit aux États-Unis chaque année est utilisé par l’industrie alimentaire. La quantité de tomates est aussi impressionnante et pour la plus part elles sont pelés avant la préparation. Dans les deux cas, des déchets indésirables peuvent être utilisés pour quelque chose d’utile.

La découverte peut sembler étonnante. Cependant, l’équipe de chercheurs a constaté que les coquilles d'œufs ont une microstructure poreuse qui augmente la surface en contact avec le caoutchouc et que les peaux de tomates sont très stables à des températures élevées.

Pourtant, ce nouveau type de matériel pour pneus diffère un peu au caoutchouc classique. Il n’est plus noir mais plutôt rouge-brun.

samedi 29 avril 2017

Comment éviter les pièges dans des rencontres professionnelles



Le monde n’est plus comme avant. Il est plus compliqué et quiconque qui a l’ambition à faire avancer une idée, ne peut plus le faire seul. Les jours d’Edison et Nobel sont passés. Maintenant ces sont des équipes qui comptent.

Tout d’abord, avant de commencer à travailler comme une équipe, il faut trouver des participants de bonnes qualifications. Dans des très grandes structures il se fait parmi les employés. Mais, pour des petites entreprises et des startups il faut chercher les compétences à l’extérieure.

La recherche peut se faire sur des plateformes sociales tel que Linkedin ou Facebook mais ne rien est mieux que des rencontres personnelles. Ces pourquoi la coutume d’organiser des rencontres thématiques, mais peu structurés, avec le but de créer des contacts professionnels est devenue populaire. Le mot anglais est mingle, qui en français se traduit par se mélanger.

Les fêtes et des occasions où peu de personnes se connaissent ont toujours existé mais le mingle professionnel est relativement nouveau. Pour qu’il soit personnellement gratifiant il faut savoir comment se comporter dans un tel environnement.

Voici quelques conseils par un spécialiste :

Il faut être visible avant, pendant et après le mingle. Commencez par remercier pour l'invitation sur Facebook et introduisez-vous brièvement, qui vous êtes et avec quoi vous travaillez. Puis, vous pouvez twitter « je suis en route ». Après, n’oubliez pas de remercier pour l’arrangement.

Vous pouvez poster des selfies et des groupies du mingle, mais il faut toujours demander la permission des personnes dans les images. Ne publiez jamais des images dont les gens ont l'air étrange.

De rencontrer des personnes que on ne connait pas est pour beaucoup une grande épreuve. D’où la tentation de parler avec ceux dont on déjà est familière. Pourtant, ce comportement est contre l’idée même du mingle, c’est-à-dire faire des contacts. Pour soulager l'inconfort il existe quelques moyens.

D’entrer dans une salle pleine où tous déjà se sont rencontré peut être un problème. Venez donc au début. Il vous donne un avantage que les venants viennent vers vous pour dire bonjours au lieu de vice versa. Vous pouvez également demander l'organisateur si vous pouvez lui aider avec quoi que ce soit.

Il vaut mieux regarder autour de la salle et ne pas allés à ceux qui déjà ont formé un groupe de deux ou trois. Trouvez la personne qui est seul et à l’air d’être un peu perdu. Elle sera très reconnaissante quand vous venez vous présenter.

Avant de mingler, cependant, vous devez surtout savoir pourquoi vous voulez participer.

Il faut avoir un but précis, sinon le mingle prend le caractère d’une fête ordinaire. Avant d’accepter l’invitation il vaut donc mieux se poser des questions du type : Qu'est-ce que j’espère recevoir ; qu'est-ce que je peux donner.

vendredi 28 avril 2017

Le coq Claes ne peut plus vivre chez lui



Cocorico, cock-a-doodle-doo, ki-ke-ri-ki ou ko-ke-kok-koh. Que vous soyez français, anglais, allemand, japonais ou autres, les cries du coq est un marqueur du matin.

Mais, quoi est-ce qui pousse les coqs à crier les matins ? Est-ce que c'est le temps, ou y a-t-il d’autres facteurs qui peuvent déclenchent les cocoricos.

C’est la question que des scientifiques japonais se sont poussés et maintenant ils pensent avoir trouvé la réponse.

De la recherche antérieure a montré que les cries du coq peut être déclenché par de la lumière, par exemple des phares d’une voiture, mais aussi par d'autres coqs qui font entendre leurs voix.

Cependant, les chercheurs ont voulu exclure ces stimulants pour tester si l’horloge biologique pourrait être une explication additionnelle. Par conséquent, ils ont laissé des coqs héberger dans un environnement dont l’environnement lumineux et sonore, ne changeait pas.

Le résultat montre que même lorsque la lumière n’est pas un facteur, les coqs commencent leurs concertes juste avant l'aube.

Pourtant l'horloge biologique est en fait encore plus forte que cela. Les chercheurs ont aussi voulu tester si d’autres simulies externes, tels que le crie d’un coq secondaire incitait un coq à crier plus. Il se relevé que ces stimulantes, antérieurement constaté, aussi étaient importantes mais plus les matins que d’autre temps de la journée.

Le coq Claes dans le petit village suédois Hemmestorp de 138 habitants n’est pas une exception. Il « chante » fort les matins et donné que le soleil en été se lève entre 3 et 4 heure, ces voisines ne sont pas contents. Cependant, leur procédure juridique qu’ils ont entamée déjà en 2012 et devenu une longue histoire.

La cour d’environnement dans la commune a décidé que Claes ne pouvait plus habiter chez son propriétaire. Suivant un recours à la cour régionale, il a été décidé que Claes pouvait habiter chez lui. Les voisins ont formellement contesté cette décision et une plus haute instance a décidé que Claes ne peut pas habiter dans la zone urbaine. Peu contant le propriétaire a fait encore un recours mais ce fois un cours, encore plus haut, a décidé de ne plus juger le litige.

Suivant 5 ans de querelles juridiques, la décision est maintenant définitive. Claes doit quitter le lieu qui pendant si longtemps a été son domicile.