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mercredi 28 février 2018

L'arbre le plus solitaire du monde serait le point de départ de notre ère



Selon des experts nous vivons toujours dans l'ère cénozoïque qui a commencé il y a 65 millions d'années. Elle est caractérisée par l'extinction des dinosaures et l’expansion des mammifères, parfois aussi appelé « l'âge des mammifères ».

Cependant, tous n’est pas d’accord. En raison des conséquences importantes et permanentes du comportement humain sur notre climat et notre écosystème, ils font valoir que nous vivons dans l’anthropocène. Pourtant, il y a peu d’entente sur le début réelle de cette ère.

L'industrialisation a été considérée comme un point de rupture possible mais aussi l’alunissage en 1969. Le problème avec ces propositions est qu’il est difficile à prouver qu’ils ont laissé des marqueurs temporels physiques, ce qui généralement est requise pour caractériser une nouvelle époque.

Une équipe de recherche internationale a maintenant publié une étude qui montre que l'anthropocène a commencé 4 ans avant l’alunissage de 1969.

La preuve? Un arbre qui pousse sur l'île inhabitée de Campbell Island, 200 km sud de la Nouvelle-Zélande. Il est connu comme l’arbre le plus solitaire du monde au monde, séparé par de centaines de km d’autres exemplaires de son espèce.

En examinant les anneaux annuels de cet arbre de 10 m les chercheurs ont trouvé certaines avec des niveaux de radioactivité inhabituellement élevée. C’est une conséquence des essais d'armes nucléaires des années 1950 et 1960. Le comble mesuré représente la période entre octobre et décembre 1965. Ce fait est selon les chercheurs un marque incontestable que l'anthropocène a débuté en 1965.

« Il montre que l'homme avec ses essais d'armes nucléaires a créé des traces  permanentes qui définiront cette nouvelle époque géologique pour les générations futures ».

mardi 27 février 2018

Bientôt 2 500 employés plus pour un entreprise suédois de panneaux solaires



La société de panneaux solaires Sol Voltaics, qui a développé un nano film qui augmente le rendement de panneaux solaires est en train d’accroitre. Bientôt, la société déménagera aux locaux beaucoup plus volumineux.

Les nouveaux locaux de 3 000 m carrés offriront de meilleures conditions pour la production de leur produit. De plus, la société prévoit d'augmenter le nombre des employés de les 62 actuellement à 500-2 500 dans 5 ans.

Leur produit est une couche d’un polymère transparente avec des nano fils d'arséniure de gallium. Les fils agissent comme un genre d’antennes qui captent la lumière. Selon des tests la méthode augmente la production d'électricité de 50% ou plus.

Il n’y a pas d’information sur le prix mais l’entreprise juge apparemment que leur produit est rentable.

lundi 26 février 2018

Le tracteur du futur est autonome



Des véhicules électriques et autonomes sont beaucoup discutés ces jours. Les experts nous disent qu’ils seront communs sur les rues dans quelques années. Ce qui est moins connues est que ces technologies premièrement font, et feront, leurs entrées dans des applications loin de nos rues.

Un exemple est machines dans des mines. Parce que les moteurs diesels émettent des échappements il a été nécessaire d’injecter des quantités d’air énormes, compté en poids parfois même plus que les minéraux extradé. C’est pourquoi cette industrie maintenant est en train d’électrifier leurs parques de machines. Des véhicules autonomes ont aussi fait leurs entrés dans cette environnement, simplement parce que la situation de la circulation est beaucoup plus simple que sur des routes.

Un autre domaine où des véhicules électriques et autonomes bientôt seront profitables est l’agriculture. Le tracteur du futur ressemble plus à un insecte  ou un vaisseau spatial - au moins ce Dynium Robot qui bientôt peut atteindre le marché. Le premier prototype sera testé sur une ferme dans le Herefordshire, Royaume-Uni.


Une autre machine autonome déjà commercialisée est Greenbot, développée par une société hollandaise.

Il y a  beaucoup d’avantages avec des tracteurs autonomes. Car des machines moins lourdes compactent moins la terre. En plus, elles rendent l’électrification plus simple. Une machine automatique et électrique peut travailler plus d’heures qu’une manuelle. Mais, elle peut aussi faire plus de pauses pour recharger les batteries qui réduisent le poids des batteries et leur coût.

Des machines à traire automatiques, où les vaches entrent et se traitent elles-mêmes, et des divers types de guidance par GPS existe déjà sur le marché. Mais avant que les tracteurs deviennent entièrement automatiques il faut réviser la législation.

Les règles de circulation d'aujourd'hui sont basées sur la responsabilité du conducteur, mais pour un tracteur entièrement automatique, la répartition des responsabilités doit être revue. Des initiatives pour régler l’affaire ont déjà été prises par divers gouvernements.

La nouvelle technologie signifie également une réduction de la capacité des agriculteurs à réparer leurs machines quand elles tombent en panne. Au départ cette nouvelle technologie sera coûteuse.

Cependant, ce fait ne semble pas inquiéter les fabricants de ces nouvelles technologies. « Toute technologie est chère au début mais en même temps c'est un investissement qui conduit à une productivité et une durabilité accrues ».