Le Danemark est un pays
plat. Le plus haute point est le pic de Himmelbjerget, (La montagne du ciel), à 147 m d'altitude. Par
conséquence la possibilité à générer électricité par installations hydrauliques
n’existe pas. Non plus veulent les
danois du nucléaire. Par contre, le vent ne manque pas et depuis 40 ans il y a
eu un fort développement d’éoliennes, ce qui beaucoup a profité au fabricant Vestas.
Pourtant, même si les
éoliennes sont nombreuses elles ne couvrent qu’un tiers des besoins et pour le
reste Danemark dépende de sources fossiles et importations.
Il y a quand même eu un
peu de progrès en 2019. La combustion de charbon a diminué à près de la moitié
et actuellement elle ne représentant que 5% de la consommation totale dans le
réseau électrique. Le gaz naturel recule plus modestement, de 8%. En revanche,
le pétrole a légèrement augmenté de 2% et contribue maintenant aux besoins avec
40%.
Le pétrole reste donc la
source le plus important, l'éolien et les autres énergies vertes ont passés de 33
à 35%.
Mais le ministre du climat
et de l'énergie, Dan Jørgensen est content que la source le plus sale, le
charbon, est en voie de disparation et que les émissions de CO2 dans le réseau
électrique ont diminué de 4% en 2019.
« L'essentiel est que
nous soyons sur la bonne voie, même s'il est clair qu'il nous reste une
certaine parcours », a-t-il dit.
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