En
discutant les gens dans le sud d’Europe gesticulent beaucoup. Dans le nord les
gestes sont moins utilisés et surtout plus modestes. J’ai longtemps pensé que
l’explication serait de la chaleur, ne pas la chaleur mentale, mais plus
concrètement la température entourant. Quand il fait froid il n’est évidemment
pas une bonne idée d’agiter les bras tandis les gestes aident à se refroidir
quand il faut chaud. De la recherche sur l’emploi de gestes à maintenant
encrassé ma si bonne explication thermodynamique.
Il
n’est pas les différences culturelles en elles-mêmes qui déterminent pourquoi
certains gesticulent plus que d'autres. Au lieu c’est le style narratif qu’est
le facteur déterminant. C’est que fait valoir des chercheurs en psychologie de
l'Université de l'Alberta, Canada, dans une étude publiée dans la revue Language and Cognition.
Selon
une idée largement répandue, il est plus courant que certaines cultures
gesticulent plus que d’autres au cours d’une conversation. Les chercheurs
remarquent que surtout les francophones et les hispaniques ont cette
réputation. Des locuteurs d’autres langues, qui utilisent des gestes dans une
moindre mesure, sont dans la culture populaire considérés comme moins
émotionnels.
Mais,
selon les chercheurs il n'est pas vrai. Ils font valoir que l’usage de gestes est
lié à la technique narrative.
Pour
montrer cette affirmation les chercheurs laissaient des sujets de test regarder
un dessin animé. Ensuite, ils devraient raconter ce qui s'est passé.
Les
participants étaient des locuteurs natifs de français, espagnol, hindi et mandarin.
Selon les chercheurs, il est dans des pays comme la Chine et l'Inde courant de
se concentrer sur le moral d'une histoire. Dans d'autres pays, les gens préfèrent
à raconter une histoire en ordre chronologique.
C’était
aussi le cas pour les participants de l’étude. Ceux qui parlaient espagnol et
français racontaient le contenu pas à pas, et le drame dans l'histoire était
accompagné de gestes vivants. Ceux qui parlaient hindi et mandarin faisaient
moins de gestes. Mais ils réalisaient la tâche d'une manière différente. Ils se
concentraient sur les facteurs à l'origine du développement du film.
Les
chercheurs concluent que c'est le style narratif qui détermine le degré de
gesticulation. Toute personne qui, de manière chronologique et dramatique,
raconte un événement utilise volontiers des gestes. Mais, ceux qui, de manières
réfléchies et analytiques, décrivent la même histoire utilisent moins de
gestes.
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