Des petites drones, maniables
en distance et propulsé par plusieurs hélices
horizontales, n’est pas une nouvelle idée. Cependant, ce concept n'a pas pu être réalisé pendant longtemps. Il a
fallu plusieurs sauts technologiques avant de les mettre en air.
Le moteur électrique
Dans un moteur électrique traditionnel le routeur est place à l’intérieure d’un cylindre. Cependant, en laissent un cylindre avec aimants tourner autour une bobine statique, il est possible de produire beaucoup plus de puissance par poids. L’effet se produit en partie parce qu'il n'y a plus besoin de balais pour la transmission le courant, (pas de friction), et en partie parce que l'aimant est faite d’une matière légère, le néodyme. Ce type de moteur existe depuis le milieu des années 1980, lorsque la production d’aimants de néodyme est devenue industrielle.
Dans un moteur électrique traditionnel le routeur est place à l’intérieure d’un cylindre. Cependant, en laissent un cylindre avec aimants tourner autour une bobine statique, il est possible de produire beaucoup plus de puissance par poids. L’effet se produit en partie parce qu'il n'y a plus besoin de balais pour la transmission le courant, (pas de friction), et en partie parce que l'aimant est faite d’une matière légère, le néodyme. Ce type de moteur existe depuis le milieu des années 1980, lorsque la production d’aimants de néodyme est devenue industrielle.
Le capteur de mouvement
Ces sont des capteurs micro-électromécaniques. Ils mesurent l'angle de la gravitation et réagissent aux accélérations et rotations de sorte que le petit ordinateur soit capable de maintenir le drone en position horizontal.
Il y a dix ans, ils coûteraient environ 500 €. Grâce au smartphones, qui ont déclenché une production en masse, le prix d’aujourd'hui est plutôt 10 €.
Ces sont des capteurs micro-électromécaniques. Ils mesurent l'angle de la gravitation et réagissent aux accélérations et rotations de sorte que le petit ordinateur soit capable de maintenir le drone en position horizontal.
Il y a dix ans, ils coûteraient environ 500 €. Grâce au smartphones, qui ont déclenché une production en masse, le prix d’aujourd'hui est plutôt 10 €.
Ordinateur de vol
Un microprocesseur interprète les signaux provenant de capteurs de mouvement et un récepteur GPS. Puis, il crée des mouvements voulu en changeant la vitesse d'un ou plusieurs hélices. La quantité de données traitées est immense, et les calculs doit être fait avec une rapidité foudroyante. Sinon, le drone risque d’auto-osciller ou s’écraser. Ces types de microprocesseurs sont devenu assez légers, puissants et peu coûteux dans les années 2000.
Un microprocesseur interprète les signaux provenant de capteurs de mouvement et un récepteur GPS. Puis, il crée des mouvements voulu en changeant la vitesse d'un ou plusieurs hélices. La quantité de données traitées est immense, et les calculs doit être fait avec une rapidité foudroyante. Sinon, le drone risque d’auto-osciller ou s’écraser. Ces types de microprocesseurs sont devenu assez légers, puissants et peu coûteux dans les années 2000.
Récepteur de GPS
Le Pentagone a lancé ses applications GPS dans les années 1970. Les premiers récepteurs commerciaux ont été mis en vente en 1981. Ils pesaient 25 kg et coûtaient près de 100 000 €. Les récepteurs d'aujourd'hui coûtent environ 20 € et ils ne pèsent que quelques dizaines de grammes, y compris l'antenne. L’ordinateur utilise les signaux du GPS de pour garder sa position en cas du vent ou turbulence.
Le Pentagone a lancé ses applications GPS dans les années 1970. Les premiers récepteurs commerciaux ont été mis en vente en 1981. Ils pesaient 25 kg et coûtaient près de 100 000 €. Les récepteurs d'aujourd'hui coûtent environ 20 € et ils ne pèsent que quelques dizaines de grammes, y compris l'antenne. L’ordinateur utilise les signaux du GPS de pour garder sa position en cas du vent ou turbulence.
La batterie Lithium-ion
En 1991, les scientifiques avait assez bien réussi de manipuler le métal lithium, hautement réactif, pour que Sony a osé de lancer la première batterie lithium-ion rechargeable. Ces batteries pouvaient stocker environ 2 fois plus d'énergie que celles à base de nickel, qui á l’époque dominaient le marché.
En 1991, les scientifiques avait assez bien réussi de manipuler le métal lithium, hautement réactif, pour que Sony a osé de lancer la première batterie lithium-ion rechargeable. Ces batteries pouvaient stocker environ 2 fois plus d'énergie que celles à base de nickel, qui á l’époque dominaient le marché.
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