Les politiciens hors de temps

La ville de Stockholm va examiner si le « codage » pourrait être inclus dans le programme « linguistique » scolaire. C’est une décision étrange pour plusieurs raisons.

1.      

Un programme existe déjà en Angleterre. La Suède ne devrait pas se laissé derrière.

2.

Le programme scolaire est normalement fixé par le conseil national scolaire, qui est une autorité sous tutelle du parlement, qui ne fait rien. On se demande dans quel siècle les élus vivent ?

3.

L’enseignement de codage existe déjà dans certaines écoles de Stockholm mais les politiciens dans le conseille municipale n’en savent rien.

Un des professeurs enthousiastes qui déjà aujourd'hui enseigne le codage dit : « Ce est quelque chose qui est déjà est en cours dans les écoles. Il existe dans au moins 5 écoles en Stockholm et beaucoup plus dans le pays, qui ont la programmation et de la technologie numérique sur le calendrier. Nous, les enseignants, ont commencé un groupe Facebook, Teacherhack, où nous échangeons des idées et des conseils. Nous aurons bientôt 1000 de membres dans ce groupe ».

Pour donner de la place ces enthousiastes ont « piraté » le curriculum. C’est-à-dire qu’ils ont pris quelques minutes ici et là d’autres sujets. C’est année ils    sont en train de lier l’enseignement de mathématiques avec le codage pour les élèves qui ont 12 ans.

Leurs utiles de programmation sont des logiciels gratuitement disponibles sur internet, par exemple Scratch et Kojo. Avec Kojo, les élèves peuvent coder une tortue à se déplacer, qui selon les enseignantes est très apprécié.

Donné que beaucoup dans l’informatique est en anglais, pourquoi ne pas aussi l’intégrer dans cet enseignement ? L’écart entre l’apprentissage et l’application doit être aussi mince que possible. C’est un principe fondamental dans la pédagogie. Donnez les professeurs d’anglais quelques semaines de classes de codages pour qu’ils puissent adapter leur enseignement.