Le plein emploi
dans la société n’y est plus et le chômage est
devenu un fardeau. Beaucoup de mesures pour résoudre le problème sont discutés.
Mais sont-ils vraiment efficace ?
Près de 1 personne sur
4 dans les âges de 15 à 24 ans sont au chômage en Suède. Ce fait a incité certaines débatteurs à parler d'une « génération perdue » et qu’un moyen de
résoudre ce problème serait d'augmenter le nombre de
départs à la retraite.
Il est évidemment clair que des postes de travail manquent
mais dans cette proposition il y a deux idées fausses.
Le premier est que tous les étudiantes qui cherchent un
travail d’été par Pôle Emploi sont enregistrées comme des chômeurs et cela même
si ils en ont eu. C’est un souci statistique qui probablement soit possible à
corriger. Mais, dans ce cas il deviendrait difficile de comparer le chômage
d’une année à l’autre. D’autres chiffres montrent plutôt que la
grande majorité des jeunes maitrisent bien la transition entre leur éducation et une vie active.
Le deuxième problème avec la proposition est l’idée que la quantité de travail dans une société
est plus ou moins constante. En fait, la quantité de travail disponible
pour la population active - la proportion de gens qui sont prêts et capables de travailler – est
toujours en augmentation. Du travaille génère simplement
du travail. Les 35 heures en France a certainement eu plusieurs effets
positives mais l’argument que ils éradiqueraient le chômage n’a pas été
réalisé.
Le professeur d’économie national, Anders Forslund, a examiné et rapporté la
recherche actuelle du domaine d’emploi.
Durant les années 1970 et 80, il y’a eu une forte
augmentation du nombre de femmes dans
la vie professionnelle. Il a été le changement plus important et le plus rapide qui a eu lieu
en 50 ans. Cependant, le chômage n'a
pas augmenté.
Non plus est le chômage affecté par plus d'immigration. Il existe plusieurs exemples où un pays ou une région a reçu un afflux massif d'immigrants, sans aucun effet sur le niveau du chômage et les salaires.
Non plus est le chômage affecté par plus d'immigration. Il existe plusieurs exemples où un pays ou une région a reçu un afflux massif d'immigrants, sans aucun effet sur le niveau du chômage et les salaires.
Le coût totale de la société pour soutenir une jeune
jusqu’au fin de lysée, incluant la maternelle les écoles, les allocations et
cetera, est en Suède environ 250 000 euros. Un immigrant qui arrive sans
cette charge est naturellement très avantageux pour une société, ce qui
considérablement stimule l’activité économique.
Un peu près le même argument est valable des personnes âgés.
Ils ont repayé ces charges et de les laisser travailler quelques années de plus
est du pur profit pour la société.
Lorsque la crise financière
a frappé en 2007-08, le chômage a
augmenté et il est encore plus
élevé qu'auparavant. Mais, en
même temps, les postes de travail ont augmenté.
En fait, le chômage chez
les jeunes affecte principalement ceux qui ont quitté l’école sans
diplômes ou diplômes non-complets. Pour lutter contre le chômage des jeunes
c’est donc dans cette problématique qu’il faut concentrer les efforts.
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