Le film
plastique est biodégradable mais protège
quand même le
fromage, la salade de roquette et les biscuits d’humidité et d’odeurs.
Les plastiques biodégradables d’aujourd’hui
ne sont pas en mesure de rivaliser avec
les plastiques fossiles comme emballage
alimentaire. C’est dommage car pour décomposer du plastique
conventionnel il faut des très long temps : Un sac plastique 400 ans ; une bouteille
plastique 450 ans et un filet de pêche de nylon 600 ans.
Le problème avec les options biodégradables d’aujourd’hui est qu'ils ne sont pas assez imperméables. Par conséquence humidité et odeurs peuvent pénétrer des emballages faits de ces matières.
Le problème avec les options biodégradables d’aujourd’hui est qu'ils ne sont pas assez imperméables. Par conséquence humidité et odeurs peuvent pénétrer des emballages faits de ces matières.
Cependant, dans le cadre d’un projet de recherche européen, le Dibbio Pack, les chercheurs ont maintenant mis au point
une barrière à base biologique qui peut être combiné avec les plastiques biodégradables.
Ces nouveaux matériaux laminés sont maintenant
capable de hermétiquement enfermer produits tels que des pharmaceutiques
ou des cosmétiques. Il est également possible de les
donner une fonction antibactérienne.
Une solution importante est le film biodégradable mis
au point à l'Institut Fraunhofer ISC
appelé Bioormocer. Il est applicable comme un vernis sur n’importe quels films et scelle le chemin pour l’humidité. Utilisé comme par exemple emballage de café l’arôme n’échappe pas.
Les chercheurs se sont laissés inspirés par des polymères naturels tels que la cellulose et le chitosane, (un matériau fibreux à partir de carapaces de crustacés), qu’ils ont pu modifier pour créer en genre de squelette de silice.
Suivant des tests effectués dans la nature il
est clair que leur décomposition commence après environ six
semaines.
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