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lundi 26 janvier 2015

Les centres de serveurs peuvent réduire leurs émissions de CO2



Le centre de serveurs de Facebook à Luleå
Un chauffage urbain est une infrastructure qui distribue la chaleur générée en un point central vers les résidences et les immeubles commerciaux d'une vaste région. Presque toutes les grandes villes en Scandinavie ont une installation mais en France ils semblent rares.

L’avantage est qu’elles rendent possible d’utiliser des combustibles qui ont besoin d’une purification des échappements pointus tels que de la tourbe et des produits restants de l’industrie forestiers. De plus, il est possible d’alimenter les systèmes avec de la chaleur résiduelle de diverses activités industrielles.  

Un colloque international sur le chauffage urbain a récemment eu lieu à Stockholm. L'un des invités étaient Nicolas Dube. Chez Hewlett-Packard il est intitulé Technologue Distingué. Il a affirmé que les centres de servers d'aujourd'hui globalement consomment 3% de l’électricité produit et que cette activité a une « relation brisée à l'énergie ».  

Dans le passé il n’a pas été une priorité d’économiser l’énergie. Sur 3 W alimenté, 1 W est utilisé pour les serveurs, le reste est « perdu » dans des transformateurs, des ventilateurs et des énormes appareilles de climatisation.

Beaucoup des acteurs n’examinent que le prix de l'électricité au moment de choisir le lieu. C’est pourquoi des grands centres de serveurs sont en cours de construction dans les régions chaudes des États du sud, a dit Nicolas Dube.

Il croit que c’est irrationnel pour plusieurs raisons.

Si les centres de serveurs au lieu seraient placé dans des villes avec un climat froid, ils pourraient fournir de grandes quantités de chaleur aux les systèmes de chauffages urbains.  

Le chauffage d'une maison moyenne en suédoise a besoin d’environ 25 000 kWh par année. Selon les calculs de Nicolas Dubé, un centre de la taille en construction en USA, pourrait chauffer 7 000 maisons. Dans ce manière les centres de serveurs pouvaient réduire les remisons de CO2 et de plus être payé pour la chaleur fourni. 

Mais un climat froid n’est pas le seul critère. Un exemple est le centre de serveur de Facebook, localisé à Luleå, qui a été choisi à cause du climat froid et la présence d’une bonne infrastructure. Cette installation consomme environ 100 mégawatts, qui selon les calculs de Nicolas Dubé serait assez pour chauffer 35 000 maisons.

Mais, Luleå a un système de chauffage urbain qui principalement est alimenté par la chaleur résiduelle de l'usine d'acier SSAB.

Les choses dans la technologie d’information ces sont développé très vite. De la bonne infrastructure n’est pas en place. De plus, il faut développer un refroidissement des composants électroniques par l’eau qui la rende assez chaude, autour de 100 C, pour être utile dans un système de chauffage urbain.

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