Une fois quand je bavardais avec deux amies il
m’est arrivé à dire que je
n’aime pas de travailler sur « des alarmes à feu ». Ils ont compris
que c’était des détecteurs de fumée. En effet, dans le jargon des ingénieurs une
alarme à feu signifie un problème qui est si grave qu’il risque d’invalider
tout un projet.
Cela n’est qu’un exemple car il y a
généreusement de différences entre la langue de tous les jours et les langes
professionnelles. Les dernières sont surtout plus précises. Un mot qui est particulièrement flou est « théorie »,
qui dans la langue courante peut signifier tout entre « idée » et
« vérité ». Dans le langage scientifique la signification est plus
précis, « explication vérifié ». Cette glose et tant d’autres, ne font
pas des ravages contextuels dans des situations banales. Cependant, dans un encadrement
scientifique c’est très grave de confondre « théorie » et
« hypothèse ».
Une linguiste, Anna Maria
Hipkiss, a maintenant fini une thèse, (trop
volumineuse pour une traduction automatique), sur l’utilisation des langues professionnelles
dans les écoles suédoise. Elle a particulièrement étudié la langue dans les salles de classe de biologie, chimie
et économie domestique.
L'objectif était de
comprendre comment les étudiants rencontrent des
langues spécialisés qui emploient beaucoup d’expressions abstraits
et termes généralistes particulière pour chaque discipline. Ella a enregistré
des leçons afin de pouvoir analyser
la communication entre les enseignants
et les étudiants et conversations sur le sujet entre étudiants.
Des termes spécialisés est quelque chose
que les étudiants principalement
rencontrent dans les manuels
scolaires. Ils sont aussi présents dans la communication
écrite de l'enseignant. Mais,
qu’a montré Anna Maria
Hipkiss, il n'y en rien dans les discussions en
classe. Là, la communication
verbale se fait dans un langage quotidien.
Parce que les langues spécialisées n’apparaissent que dans des manuels, les
étudiantes peuvent éventuellement comprendre tous les
significations mais ils n’utilisent pas le glossaire eux-mêmes.
C’est-à-dire que les termes spécialisés, aux mieux, sont enregistré dans leur
vocabulaire passif. Ce fait est comparable avec un trou de
connaissances.
La maîtrise des langues
spécialisées est en partie un moyen d'atteindre des bons résultats à l'école, et en partie un moyen de se préparer à la rencontre des jargons qui caractérise les manuels et l'enseignement dans les universités.
La solution que propose Anna Maria Hipkiss
est des méthodes d'enseignement qui
encouragent les élèves à utiliser des langues
spécialisé. Une manière est de créer des situations
dont l'enseignant non seulement apportent ses connaissances, mais aussi pose
des questions aux élevés pour les entrainer d’utiliser le bon vocabulaire. Cela
peut être fait en se référant à
des expériences, tel qu’une observation dans le laboratoire
de chimie, et ainsi crée des liens. Parce que la discussion est fondée sur des
expériences, dont les élèves déjà sont familiarisés,
il devient plus facile d’employer des termes correctes.
Une bonne pédagogique, qui aide les élèves
à conquérir les langues spécialisé, rend aussi plus facile pour
l'enseignant de transmettre leurs connaissances et donner les étudiants une
meilleure compréhension du sujet.
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