Il est dit que la
première ville espagnole dans le
Nouveau Monde, Santo Domingo sur
Hispaniola, tout à coup a été envahie
par des fourmis et a dû être abandonné
pour un certain temps.
L’hypothèse est que les espagnoles en 1516 avaient introduit des platanes africains dans la ville. Malheureusement, avec ces arbre ils avaient aussi importé des passagers clandestins, y compris une espèce de puceron qui en l'absence d'ennemis naturels se sont multiplié de façon exponentielle. Ceci à la grande joie des fourmis domestiques qui se sont nourris de leurs excréments riches en sucre. Le résultat a été un accroissement correspondant de la population de fourmis, d’où l’invasion.
L’hypothèse est que les espagnoles en 1516 avaient introduit des platanes africains dans la ville. Malheureusement, avec ces arbre ils avaient aussi importé des passagers clandestins, y compris une espèce de puceron qui en l'absence d'ennemis naturels se sont multiplié de façon exponentielle. Ceci à la grande joie des fourmis domestiques qui se sont nourris de leurs excréments riches en sucre. Le résultat a été un accroissement correspondant de la population de fourmis, d’où l’invasion.
Les colons ont commencé leurs efforts d'européaniser le
Nouveau Monde déjà dans les années 1500. Des céréales et d’autre plantes européennes ont
été introduites et aussi des animaux domestiqué tels que chèvres, moutons, couchons et chevaux. Bientôt ces nouveaux arrivés se
rependaient sur le continent, de plus, un certain nombre
de resquilleurs tels que rats,
souris, vers de terre, insectes et champignons.
Cependant, certains des passagers clandestins indésirables étaient si petits qu'on ne pouvait pas les voir.
Des bactéries et les virus ont causé des problèmes graves.
En 1516 les Espagnols ont fait un recensement
de la population autochtone sur l'île, parce
qu’ils voulaient savoir le nombre potentiel d’esclaves. Ils ont
constaté 26 000. Dans un nouveau compte, 34 ans plus tard, il n’y avait que 500 individus
restant.
Pratiquement toute la
population sur l'île d'Hispaniola
avait succombé aux maladies involontairement introduis de l’Europe : Variole, grippe, hépatite, rougeole, encéphalite, tuberculose,
diphtérie, choléra, typhoïde, scarlatine, et encore plus.
Les indigènes manquaient complètement résistance de ces maladies.
Quand le supercontinent
Pangée s’est fissuré, il y a 200 millions d'années, un océan a
séparé l’Amérique et l’Europe et les évolutions biologiques
ont pris des directions différentes. Que les plantes, les animaux et les
micro-organismes tout à coup eu l'occasion à faire le grand saut à travers l'Atlantique,
dans les deux sens, est appelé l'échange colombien.
Beaucoup de plantes cultivée que nous associons avec le Nouveau Monde ont leurs origines en Eurasie et vice versa. La banane ne
vient pas de l'Amérique centrale, mais de la Nouvelle-Guinée. La tomate n’a pas ces origines en Italie mais
en Amérique du Sud. Il est dit que Colomb a été le premier européen goûter un ananas, un fruit qui principalement est associée à Hawaï, mais la bas il n’a été planté que dans les années 1700.
La plante le plus important du Nouveau Monde
est sans doute la pomme de terre, qui est originaire des Andes.
Les pommes de terre sauvages contiennent naturellement une toxine, la
solanine, mais les
Incas avaient réussi à produire des variétés comestibles. Certaines variétés
de pommes de terre au Pérou doivent encore être consommées
avec un peu d'argile. La solanine est
absorbée par les particules d'argile et empêche la toxine de se répandre dans le corps.
La pomme de terre
a été portée à l'Europe en 1539 où elle est devenue un aliment de base. De là, elle s’est répandu dans tout le monde ancien. Dans les années 1700,
elle est devenue l'une des principales sources de nourriture
à l'intérieur de
la Chine.
Le maïs a fait le même voyage, tandis que le soja et le blé ont pris le sens
de l'Asie Sud-Est vers les grands camps en Amérique du Nord et du
Sud.
L'arbre à caoutchouc est du Brésil et de la Bolivie, mais dans les années 1800 les importantes plantations ont été établies dans une grande partie de l'Asie du Sud-Est.
L'arbre à caoutchouc est du Brésil et de la Bolivie, mais dans les années 1800 les importantes plantations ont été établies dans une grande partie de l'Asie du Sud-Est.
Il existe aussi des plantes
cultivé qui ont été conçus par croisement et
hybridations. Un exemple est la fraise, créé en
France à partir de fraises des bois, un d'Amérique du Nord et l'autre d'Amérique du Sud.
Malheureusement, il
n'y a pas que les plantes utiles qui
se sont globalisé. Dès que des cultures
sont introduites en grand échelle dans des
nouveaux lieux, les ennemis invisibles, des parasites, menacent
de soudainement apparaitre. La peste
de pommes s’est répandue à travers l'Europe et a conduit à la famine en Irlande au milieu des années 1800.
À la fin des années
1800, le phylloxéra a ravagé l'Europe
du sud et en quelques années il avait détruit les vignobles
en attaquant les racines. Ce pou,
originaire du Nouveau Monde, est probablement venu par importation de plantes à
Kew Gardens à Londres. Les vignes ont été
secourues par des greffé sur
les racines de vignes américaines résistantes.
Le platane, qui, avec
son écorce typique est tant
commun dans des avenues en Europe du Sud, est un hybride
entre une variante Américaine et
une variante orientale. Les platanes
gèrent bien les polluants urbains
et protégée des innombrables cafés du soleil. Malheureusement, ces arbres sont maintenant attaqués par un
champignon. Il a probablement été introduit en Europe via
le bois de caisses de munitions américaines pendant la
guerre.
Au cours des dernières décennies, les platanes infectés sont morts dans
la Grèce, l'Italie et le sud de la France. Tout le long
du Canal du Midi il y a 42 000 platanes
qui doivent être abattus et remplacés. Le champignon a même
pénétré jusqu'à le sud de la Suède. Heureusement les sélectionneurs ont maintenant trouvé
un nouvel hybride qu’ils espèrent
soit résistant.
Aussi bananes sont menacés par une
maladie de l'Asie qui
complètement pourrait faire disparaître
les plantations en Amérique.
Les chênes, les ormes, les châtaigniers,
et les agrumes sont également menacés
par des champignons et les virus
parasitaires.
Livre : 1493
- Comment la découverte de l'Amérique a transformé le monde, par Charles C.
Mann.
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