Il aura une transition énergétique en France.
Il est inévitable car le nucléaire est associé avec tant de problèmes. On en parle
beaucoup et ceux qui suivent le sujet comprennent qu’il s’agit d’une transition
vers les énergies renouvelables mais les mises en œuvre concrètes restent
un mystère.
Dans des pays sans réacteurs nucléaire,
comme par exemple le Danemark,
la transition est déjà en cours. Le but est d’avoir 50% d’énergies renouvelables
dans le réseau électrique en 2020. La première étape a été la construction d’éoliennes.
Actuellement elles sont si nombreuses qu’il est devenu difficile de trouver des
nouveaux locaux. C’est pourquoi la recherche danoise sur de nouvelles sources d’énergies
maintenant aussi est focalisée sur la mer.
Un des premières innovations pour extrader l’énergie
des vagues a été fait par le professeur Stephen Salter
de l'Université d'Edimbourg en 1974. En
anglais elle est connu sur le nom « Salters Duck » en français appelé
« Batteur de
Salter », probablement parce que le mot canard en argot français a une
notion de tromperie.
La forme de ce flotteur est si ingénieusement
conçu qu’il, en basculant d'avant
en arrière, dans des tests en laboratoires est capable d’extrader 80% de
l’énergie des vagues. Mais, de l’adapter aux conditions de la mer c’est avéré
difficile. Par exemple, lorsque plusieurs
unités sont placés sur une longue ligne il y a un problème de
les tous orienter parallèlement avec les vagues. Parce que le prix du pétrole
a diminué dans les années 1980, il est devenu difficile de
trouver un financement pour son développement.
Maintenant c’est l’entreprise danoise Weptos,
une startup issue de l’université d’Aalborg, qui poursuive l’idée. Leur concept
en forme d’un « V » et des flotteurs qui bougent séquencement, semble
avoir résolu le problème d’orientation. Exactement comment les mouvements sont
transmises à le générateur électrique n’est pas bien décrit.
Parce que le concept récupère énergie des
vagues le long d'une grande
étendue il devrait être plus économique que systèmes basés sur flotteurs
individuels où chaque un a son générateur.
La puissance maximale pour une unité sera 4
MW. Cependant, le fait que le « V » se plie pour s’adapter aux conditions
variables, rendra possible d’extrader entre 90 – 100% de cette puissance jour
et nuit.
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