De plus en plus de
mariages finissent par un divorce et cela surtout après
une cohabitation serré à l'été.
On le voit bien dans la statistique car les applications de divorces ont un pic
en Septembre et Octobre. Le taux de divorces en Suède est de
55% et la durée moyenne d'un mariage est de 10,9 années. Il y a 16 ans, il était de 12,2 ans. La situation semble
similaire dans la majorité des pays d’Europe.
La vie de vacances, d’être proche 24/24
heure, semble compromettre la relation. Il y a donc des
raisons à croire que cette
période de repos dans beaucoup de cas est moins idyllique que dans les
brochures.
Le mariage n’est apparemment pas un lit de
rose. Où est le problème est que faire ? Alain de Botton, philosophe, journaliste et écrivain suisse, a des propos.
Il fait valoir que la raison principale de tant de ruptures et
simplement que nous faisons des mauvais choix et cela parce que nous nous ne connaissons pas nous même. Nous ne savons
simplement pas, qui nous sommes, que
nous voulons et quelles sont nos besoins. Nous nous ne comprenons pas et par
conséquence nous ne comprenons notre partenaire
non plus. Et, parce qu’elle probablement
ne comprend pas qui elle est, elle ne peut pas l’expliquer.
Nous sommes des mystères l’un à l'autre. Au début d'une relation nous sommes obsédés d’essayer à nous comprendre. Nous rencontrons des amis et la famille de l'autre, nous visitons la maison d'enfance et nous nous expliquons nous nourritures et nous couleurs préférées. Peu utile dit Botton, parce que rien de cela n’explique qui nous sommes vraiment.
Nous sommes des mystères l’un à l'autre. Au début d'une relation nous sommes obsédés d’essayer à nous comprendre. Nous rencontrons des amis et la famille de l'autre, nous visitons la maison d'enfance et nous nous expliquons nous nourritures et nous couleurs préférées. Peu utile dit Botton, parce que rien de cela n’explique qui nous sommes vraiment.
Selon Botton nous devons
au lieu, dès le premier rencontre demandé :
« Dans quelle manière es-tu fou ». Car Botton note que nous
sommes tous un peu singles dans une façon ou l’autre. L’astuce est de trouver une
personne avec le type de folie
que nous pouvons vivre avec.
« Un bon partenariat n'est pas tant entre deux individus équilibrés, (il n'y a pas beaucoup sur la planète), comme il est entre deux personnes perturbées qui ont eu la chance de trouver un équilibre dans leur folies ».
« Un bon partenariat n'est pas tant entre deux individus équilibrés, (il n'y a pas beaucoup sur la planète), comme il est entre deux personnes perturbées qui ont eu la chance de trouver un équilibre dans leur folies ».
La volonté et la
capacité de reconnaître nous propres
fautes est un bon début pour une
relation qui fonctionne. Le problème est que ce comportement est contre-instinctif. Nous voulons instinctivement cacher tous les laideurs pour la personne dont nous
avons des sentiments chauds. Le début d'une relation
est souvent lourd
en auto-tromperies et en mensonges.
Nous ne pouvons pas, dit de Botton, laisser quelque chose
d'aussi important que le mariage au hasard et aux sentiments. Il propose des
tests psychologiques avancés pour accoupler des bonnes partenaires.
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