De la
technologie utilisée dans l'industrie du gaz et pétrole peut être utilisée pour
comprimer l'air dans les vides souterrains de mines abandonnés. Actuellement il
existe quelques stockages d’énergie de ce type mais à développer cette
technologie sur grande échelle est toujours difficile.
La
raison fondamental est tous gaz augment en température quand ils sont comprimés
qui fait que les pertes en énergie sont considérables quand le gaz se
refroidit. Un autre problème est à trouver des espaces entourés de roches assez
solides pour pouvoir retenir l’air en haute pression.
Des
chercheurs de l’Université d’Édimbourg sont engagés dans un projet pour
conserver le surplus des installations éoliennes et marémotrices dans les roches
poreuses au fond de la mer du Nord. Cependant, pour le moment le projet reste
très théorique mais un des résultats est qu’il y a assez de espaces pour
stockages saisonnières.
La société canadienne
Hydrostor est un
leader dans le domaine qui a le problème de ne pas posséder leurs propres
grottes. Leur
système est basé sur des compresseurs développés par l'industrie du gaz et
pétrole. L’air comprimé est conduit dans des salles souterraines spécialement conçu
et partialement remplies d'eau, ce qui rend possible à maintenir une haute
pression.
Hydrostor
a maintenant un contrat pour installer un système d’air comprimé à grande
échelle, d’une puissance de 5 MW, en Australie méridionale. L’arrangement utilisera une mine
de zinc abandonné. L’idée est que les cavités soient chargées lorsque le prix
de l’électricité est bas afin de fournir énergie quand la consommation est haute.
Il
s’agit agit donc d’un système de stockage de courte durée qui aussi est capable
à stabiliser la fréquence d’un réseau qui inclut beaucoup de sources d’énergies
renouvelables.
Diverses
autorités soutiennent le projet avec un montant près de 6 millions euro. L'entreprise
est actuellement en attente des derniers permis. Le plan est que le stockage sera
opérationnel vers le milieu de 2020.
Le
projet australien sera la troisième pour Hydrostor. Le premier était un pilote
avec des ballons sous-marins et le second un système de 2 MW pour un opérateur
indépendant d'Ontario.
À
l’échelle mondiale, la société prévoit de créer plus de 15 installations. Une
centrale suffisamment grande, de 500 MW, devrait selon Hydrostor, atteindre la limite magique de 100 $/kWh.
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