Il
n'y a pas de différence dans la qualité des analyses. Mais, il y a une
différence entre la manière dont les acteurs sur le marché financier américain réagissent
aux analyses fait par personnes avec des noms associés au Moyen-Orient. Ils les
donnent moins de confiance que les autres.
Quatre
chercheurs de divers domaines économiques ont étudié la manière dont le marché
financier américain réagit aux analyses boursières. L'étude comprend un total
de 762 780 analyses, signées par 5 516 auteurs entre 1996 et 2014. Parmi les
analystes il y avait 3 983 noms de famille différents.
Les
chercheurs identifiaient ces noms comme typiques pour divers langues, telles
qu’allemand, français ou arabe. Donné l’histoire de la bourse ils pouvaient
aussi juger la qualité des analyses. Il n’y avait aucun lien entre les noms la
qualité. Par contre, la corrélation entre les noms de famille et la réaction du
marché était fort.
Suivant
les attaques terroristes contre les États-Unis le 11 septembre 2001, les
acteurs boursiers prenaient de moins en moins note des analyses faites par auteurs
avec noms perçus comme d’origine du Moyen-Orient. Selon les chercheurs, ces
noms érodaient la crédibilité des analyses.
Un
développement similaire, mais moins fort, était observé pendant l'invasion de
l'Irak, à laquelle les français et les allemands se opposées. Dans ce cas
il était des auteurs avec noms typiques de ces pays qui ont souffert de
crédibilité.
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer