En
2018 la vente de voitures
électrique en France était de 2,11%. C’est plus qu’en Allemagne sur 1,9%
mais loin des leaders dans la statistique, la Norvège sur 49,1 et l’Islande sur
19%.
C’est
une différence étonnante. Un facteur définitivement important est que les prix
de kWh sont bas en Norvège et Island. Cependant, il semble que l’envie des acheteurs
et la volonté politique aussi jouent un rôle important.
En
Suède, qui en 2018 était sur 8,2%, les experts s’attendent maintenant un véritable
boom, car la statistique pour le mois de février 2019 est bien plus haute, de 12%.
Cette
augmentation inattendue a fait que l’organisation BIL Sweden, une association d’acteurs
industriels et commerciaux de voitures, maintenant a dû accroitre leur prévision.
Les vents en 2020 seront de 24% et en 2021 de 30%.
Pourtant,
il ne faut pas se laisser éblouir par cette prévision.
Préliminairement,
parce que il y a une pénurie de batteries et matière primaire. Il faut 10 ans
pour ouvrir une mine et 4 ans pour dresser une fabrique. Il n’est pas sûr que ces
facteurs freinâtes soient incluses dans la prévision.
Deuxièmement,
le chemin vers 100% électrique est encore très longe. Le duré de vie d’une
voiture est en moyenne 14 ans, qui se traduit en 7% novelles voitures par an. Même
si les ventes de voitures électriques neuves seraient de 50%, elles ne progresseront
donc que de 3,5% par an.
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