L’introvertie

Le psychiatre Carl Gustav Jung a été le premier à diviser l'humanité en extravertis et introvertis. Selon lui la différence réside dans la direction de l'énergie personnelle, sortante ou entrante. C’est un peu abstrait. La marinière rapide de déterminer son apparence est la réponse à la question : Avez-vous besoin solitude ou de compagnie ?

La différence sur le niveau biologique est manifestée par le niveau d'activité requis pour les hormones de rendre le cerveau satisfait. Pour ma part, je n’ai pas besoin de beaucoup. Chaque fois que j'entends l'expression « à peu près si amusant que de regarder de la peinture sécher », je pense « mais il ne me semble pas si ennuyeux ».

Les extraverties représentent trois quarts de la population. Leur combustible mentale est interaction avec des autres. Contrairement aux introvertis ils trouvent des textes longs et réfléchissants ennuyeux. Les introvertis aiment la lenteur en général, de penser avant de parler et ils ont un beaucoup besoin d'être seules.

Même si les introverties sont une minorité il s’agit d’une ressource valable car il existe une corrélation entre un QI élevé et des tendances introvertis. Néanmoins, la tendance dans la société est en train de passé de l'idéal travailleur silencieux, vers une norme où les qualités extraverties sont vénérées, chez les enfants comme les adultes. Les annonces d'emploi décrites l’idéal comme une personne qui osent prendre son place et qui aime la compétition.

« Sociale » est un mot positivement chargé malgré le fait qu’il n’est pas du tout la même chose que « professionnellement compétent ». Celui qui pratique du pessimisme défensive, c’est-à dire réfléchisse sur tous les problèmes qui possiblement peuvent apparaitre dans un projet et comment les contrarier, n’a pas de valeur chez les recruteurs.

Les introverties ne sont pas des nerds comme dans les caricatures Hollywoodiennes, mais des gens intelligents, intéressants et amusants. Ce sont des personnes qui ne racontent n'importe quoi à n'importe qui. Une relation entre deux introverties est caractérise par une lente progression dans la profondeur de leurs âmes respectives. Sous la surface les introverties sont souvent passionnés, penseurs indépendants, libre de conformisme et l'angoisse de ne pas plaire aux autres.

Un exemple d’une personnalité français introverti est Charles-Pierre Baudelaire qui flânait en Paris, seul aussi dans la foule.