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mardi 2 juillet 2013

Aria retrouvé

Aria retrouvé

Heureusement mon père a insisté que j’aurais un nom simple, court et facile à écrire. Je me demande si Maria Luigi Carlo Zenobio Salvatore Cherubini n’a jamais signé un formulaire avec son propre nom ?

Ce compositeur, (né le 14 septembre 1760 à Florence, mort le 15 mars 1842 à Paris), n’est pas le plus connu mais apparemment très apprécié par les initiés. Il a largement été considéré comme l'un des plus grands compositeurs de son temps. Même Ludwig van Beethoven le tenait en haute estime. Il admirait la disponibilité de « tisser sa virtuosité de la polyphonie, style polonais classique, vrai sentiment du drame romantique dans un musique de profondeur extraordinaire et sa puissance dramaturgique ».

Regardez la langue corporelle de Paul Mauffray quand il dirige l’œuvre Dies irae, « jour de colère » qui fait allusion au sentiment de dieu le dernier jour, (l’apocalypse).

 
Quand Cherubini a effectué son premier chef-d'œuvre, l'opéra Médée, les critiques se sont moqués de la longueur. La légende raconte que Cherubini, dans un geste de défi, tout simplement a noirci les lignes de fermeture pour rendre la pièce plus courte. Pendant des siècles, son opéra a été réalisé dans sa forme incomplète.

Il est connu que l'encre utilisé par Cherubini était riche en fer, tandis que les lignes sur le papier notes pré-imprimés contenaient du zinc. Cependant, Cherubini utilisait du charbon pour l'effacer. Cette différence a rendu possible pour des chercheurs de détecter le fer et le zinc avec rayons X.

Mais, une radiographie conventionnelle ne fonctionne pas dans ce cas. Au lieu les chercheurs ont utilisé une méthode ultramoderne. Lorsque intense rayons X bombarde de la matière quelques électrons sortent de leurs orbites d'énergie. Les places disponibles sont remplies par d’autres électrons et dans ce processus des rayons X secondaires d’une autre énergie, appelé fluorescence, sont émis. Puisque le niveau d’énergie est unique pour chaque matière il fonctionne comme en genre de empreint identifiable.

Les notes de l’aria final de l'opéra Médée, composé par Maria Luigi Carlo Zenobio Salvatore Cherubini et perdu depuis 2 siècles, sont maintenant lisibles.

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