Aucune artiste ne dépeint la vie
harmonieuse à la campagne autrefois en Suède comme Carl Larsson, (1853-1919). Pourtant, la vie idyllique,
qu’il avec la main d’un maitre décrivait, n’était qu’une façade.
Le CV de malheurs les plus profondes de
cette artiste est long. Un père alcoolisé qui a quitté
la famille, pour revenir et systématiquement harceler
le petit Carl. Deux camarades proches qui sont
meurt dans une épidémie de choléra qui a ravagé Stockholm qui en plus a tué beaucoup de monde dans
son entourage. Un petit frère bien-aimé qui meurt
pour des raisons inconnues.
Pendant ses années d'études, il a une relation avec une femme qui tombe enceinte, mais le bébé meurt à la naissance. Elle a eu un nouveau grosses et ce fois c’est la femme elle-même qui est meurt à la naissance et peu après aussi le deuxième enfant.
Dans son autobiographie Carl écrit : « Je n'avais que 24 ans mais j'avais déjà vécu beaucoup plus qu’un vieux homme tout au long de sa vie ».
Lors d'un séjour
à Paris, il a été désespéré, sur le point de se suicider. Puis
il a rencontré Karin, sa femme pour le reste de la vie. Mais,
malgré leur relation harmonieuse il y avait plus de chagrins. Un de leurs fils est meurt peu après la naissance et encore un, à 18
ans, suivant une appendicectomie échoué.
Carl Larsson semble, en plus de ces nombreuses tribulations, aussi avoir souffert d’un trouble bipolaire. Cette affection lui donnait des changements de l'humeur incessante, de rayonnements aux plus profonds doutes de soi-même. Et, comme voyeur de classe il a toute sa vie lutté contre la peur de ne pas être assez bon. En comparaison avec les parents de Karin, il a honte les siennes. Même la fortune et le succès international semblent pour lui inadéquat dans les cercles de personnalités qu’il fréquente, dont Strindberg.
« Car, je suis fondamentalement sous-classe et je le serais jusqu’au ma mort. »
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