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jeudi 16 mai 2013

Métiers en danger

 Depuis deux siècles les machines font de plus en plus les travaux autrefois manuels. Tout a débuté avec l’industrie textile et personne ne tisse plus leurs draps de lit. Rein n’a pu stopper ce développement technologique. Depuis quelques décennies les machines ont graduellement été dotées avec intelligence. Voici quelques métiers qui sont à la voie de disparation. 

Vendeur de billets. Le client le fait en ligne.

Peintre de voitures. C’est un travail malsain qui dans l'industrie aujourd'hui en principe n’est plus réalisée manuellement, les voitures de luxe inclut.

Cueilleurs de fruits. Des robots cueillent dans des cultures spécialement arrangés.

Fondeur. La chaleur est excessive et dangereux. L’occupation n’est pas bien pour humains.

Mineur. Les opérations dangereuses sont maintenant effectuées par robots avec des systèmes de contrôle automatisés.

Soins à domicile. Des robots capables de se déplacer dans un appartement sont en train de développement.

Caissiers. Les clients passent leurs achats devant un lecteur et payent avec carte.

Chirurgien. Les robots ne sont pas indépendants mais contrôlés par un chirurgien.

Ouvrier d'entrepôt. Des élévateurs mobiles et programmés sont capable de trouver leurs chemins et grâce a communications sans fil.

Pilot. De nombreux vols ont des pilotes qui seulement interviennent « au cas où ». Les avions sans pilotes sont déjà utilisés par les militaires et les cartographes.

Journaliste. Des logiciels sont maintenant capable d’écrire une description d’un match à partir des donnés principales.

Pompier. Des robots guidés à distance peuvent intervenir en cas de danger.

Serveur de restaurant. Les premiers robots ont été testés.

Nettoyeurs. Les aspirateurs robotisés existent déjà. Ils seront bientôt complétés par d’autres, par exemple pour vitres.

Livraison de journaux. Les publications imprimées vont disparaître.

Conducteurs de train. Plusieurs métros sans conducteurs roulent déjà.

Standardiste. Des messages automatisés sont actuellement utilisé par les opérateurs.

Y a-t-il des raisons d’optimisme ou pessimisme ? Tout dépende de l’attitude. En France on préfère de ne pas trop discuter les avantages dans les médias mais dès qu’un métier est menacé, il y a des gros manifestations.

Le développement rapide de la technologie, combinée à des coûts élevés de main-d'œuvre, rend nécessaire pour les entreprises de constamment développer leurs production. Certains métiers disparaissent mais ils sont remplacés par d'autres technologiquement plus avancés. Cela exige que les individus aussi doivent se développer. Les jours quand on apprenait un métier et puis l’exerçait pour le reste de la vie sont passés.

Que le système scolaire seulement servirait les jeunes est une tradition obsolète. Il y a tant des possibilités mais le conservatisme, (dans toutes ailes politiques), frêne considérablement le développement en France.

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