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vendredi 24 mai 2013

Guerre modernes


Les conflits armés international ont changé. Cela se produit environ tous les 30 ans et le phénomène est appelé RMA, Revolution in Military Affairs.
 
La majorité des conflits armé dans le monde sont aujourd'hui des guerres asymétriques, une des parties possède des vastes ressources et des armes avancés, telle que drones, tandis que l'autre partie pratique la tactique de guérillas comme attentats suicides, opérations sur internet et les réseaux mobiles.


Le cauchemar est que les pirates informatiques russiseraient à assommer l'approvisionnement énergétique, des services bancaires et les télécommunications. Le plus qu’un pays est connecté les plus il est vulnérable. D’effectuer un cyber-attaque est peu cher mais de se protéger coûte beaucoup, d'où le terme guerre asymétrique.

Aujourd'hui, n'importe qui peut pour quelques centaines de dollars acheter tout l'équipement nécessaire pour bloquer le réseau de téléphonie mobile dans une ville entière.

Des terroristes islamistes comme Al-Qaïda sont considérés d’avoir une bonne connaissance dans le domaine de cyber-terrorisme et des analystes militaires ont mis des responsables en garde contre attaques imminentes.

Cependant, il n'est pas seulement les terroristes et les bonimenteurs criminels qui utilisent internet pour leurs sombres projets. Les organisations de sécurité dans des nombreux pays ont un service de renseignement qui suive ces développements. Les États-Unis ont depuis quelque temps, une section qui uniquement s’occupe avec la cyber-guerre, United States Cyber​Command.

La Chine a une histoire de guerre d’information ancienne. Sun Tzu formulait déjà dans les 500 un stratège avec sur un certain nombre de façons de gagner un conflit en utilisant désinformation, furtivité et espionnage dans un livre intitulé L’art de Guerre. Entre autre il trait des sujets tels qu’écoutes, interférences, manipulations d'information, tromperies et destructions.

Il est dit que la Chine et la Russie ont des organisations qui continuellement entre dans les systèmes d'autres pays. Ils essayent naturellement de le faire sans laisser de traces mais parfois les intrusions ont été détectées. En 2009 un réseau chinois d'ordinateurs malveillants nommés Ghost-net a été découvert. Selon les revendications américaines il est logé dans un bâtiment de 12 étages dans une banlieue de Shanghai.

Il y a beaucoup de spéculations autour du cyber-terrorisme et des futures attaques. Certain choses sont claires.

En 2007 les estoniens ont décidé de replacer un monument de libération représentant un soldat soviétique de centre-ville à un endroit plus isolé. Le résultat a été une énorme cyber-attaque, (probablement russe), contre le gouvernement, les banques et les communications. Il a fallu les estoniens tout un jour pour mettre leurs systèmes informatiques en ordre.

Une année plus tard, juste avant la guerre du Caucase, les lignes de communication de l'armée géorgienne était la cible. Alors que ce pays est peu informatisé les conséquences n’ont pas été si toxiques qu’en Estonie.

En 2008 un avion d'Iberia air a craché prés de Madrid et 154 personnes sont mortes. Il s'est avéré que l'ordinateur de l'avion avait été infecté par des logiciels malveillants qui ont donné des informations erronées aux pilotes.

Le peintre suédois Lars Vilks a fait un dessin du prophète Mahomet en 2007 qui a provoqué de la colère dans le monde musulman. Des drapeaux enflammés et des attaques contre les légations suédoises ont suivi et aussi une vague de cyber-attaques. Pourtant, à cause d'une mauvaise connaissance de la géographie elles ont visé des banques suisses.

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